J’ai quelques amies agentes d’immeuble. Elles trouvent le temps long ces temps-ci. Le marché immobilier québécois et canadien ralentit. Les données économiques nous le confirment d’un mois à l’autre.
En décembre, les ventes de maisons existantes ont chuté de 17,4 % au pays par rapport à décembre 2011. Quant aux mises en chantier, un indicateur clé de notre santé économique, elles ont piqué du nez en janvier.
Ce n’est peut-être pas le meilleur temps pour investir dans la construction neuve.
Les mises en chantier incluent la construction de nouvelles unités résidentielles. Ça comprend les maisons, les copropriétés et les logements locatifs.
En janvier, les constructions neuves ont chuté de 30 % au Québec. Selon Hélène Bégin, économiste principale de Desjardins, il fallait s’attendre à un ralentissement vu le « virage des ventes de propriétés existantes depuis l’été dernier ».
Mais au Québec, la faiblesse des mises en chantier est plus dure à encaisser, note-t-elle. Un niveau d’activité aussi faible n’avait pas été enregistré depuis l’automne 2001! Le nombre de constructions neuves a toutefois déjoué les prévisions l'an dernier.
(*DDA : données désaisonnalisées annualisées, source : SCHL)
Même si la construction connaît un léger regain au cours des prochains mois, la tendance baissière est bien installée, croit l’économiste.
Ce ralentissement immobilier vous touche-t-il de près ou de loin?
Je ne veux pas crever la bulle de vos amis agents immobiliers, mais des changements encore plus brutaux les attendent. Je suis d’avis que l’industrie du courtage immobilier va connaitre le même sort que celui des valeurs mobilières. Une pression globale sur les prix immobiliers et les frais afférents s’est engagée de manière irréversible. A présent, les clients exigent des prix plus bas.
Le secteur tertiaire au complet sera pris d’assaut, surtout les dernières chasses gardées, les professions libérales et celle de la vente. Aucune firme ne sera à l’abri : les consultants, les avocats, les ingénieurs, etc… Les raisons de cette déflation sont pourtant simples, les universités dans le monde crachent de véritables armées de ces professions, les clients refusent de payer pour des augmentations, les progrès technologiques….
Aux E-U, a l’échelle nationale, le pays a connu son top immobilier en 2005-2006, il donne des signes de vie depuis un an, on parle d’une correction qui a duré 6 ans. Certaines régions furent décimées et ne s’en remettront jamais, d’autres prendront plus de temps à récupérer, d’autres ont simplement marquée l’évènement par une simple pause (je pense à Manhattan, Boston,Chicago).
Au Canada, on devrait suivre la même tangente. Bien malin qui peut deviner les régions qui souffriront le moins.
Les ventes de maison ont diminués simplement parce que les prix sont trop élevé !!! La bulle est sur le point de crever. Lorsque les gens trop gourmand comprendrons que leur bicoque ne vaut pas le prix faramineux qu’il demandent, les maisons vont recommencer à ce vendre. C’Est le même principe pour les constructions neuves, les terrain ne sont pas achetable. C’est rendu qu’un terrain coûte près de 50% de l’investissement total que tu aura à faire pour te construire.
David
N’oublions pas l’augmentation de la facture foncière, les évaluations foncières qui ont explosé, ensuite, le taux de taxation, les taxes d’eau, les taxes scolaires,les taxes d’affaires, la CMM qui veut augmenter la taxe d’essence a Moureal…. Tout le monde veut son dû, en contrepartie, le contribuable lui se fait littéralement savonner, les aqueducs qui explosent, les égouts qui débordent, les nids de poule qui avalent les autos, le réseau routier en décrépitude, les trains qui s’arrêtent régulièrement. Agréable, vraiment agréable…
vous savez je connais une personne qui a payé sa maison 225,000 et apres 5 ans cette meme personne la me a vedre 305,000 mais aucun acheteur une maison qui est bien ordinaire sans ame l’interieur es-ce que sa vut le prix absolument pas