Enquête publique : un référendum d’initiative populaire?

IStock_000008160911XSmall[1] Par Sophie Stival

Ça fera bientôt trois ans que les scandales dans le milieu de la construction ont éclaté. Faut-il le rappeler, il est question ici de gonflement de factures, de blanchiment d’argent, de financement politique occulte et j’en passe? Les révélations du rapport Duchesneau donnent froid dans le dos.

Depuis 30 mois, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, mais pas assez, semble-t-il, pour effacer le flot de protestations des citoyens. Les Québécois réclament toujours haut et fort une enquête publique que lui refusent Jean Charest et son parti.

Comment se faire entendre? Le député péquiste Bernard Drainville propose d’organiser des référendums d’initiative populaires (RIP). Cette idée a provoqué plusieurs discussions chez nous. Mais de quoi s’agit-il au juste? Est-ce réaliste?


Le référendum d’initiative populaire (RIP) donne au citoyen le droit de s’exprimer sur une question précise. Habituellement, on doit recueillir la signature d’un nombre précis d’électeurs (pétition). Ce nombre est souvent élevé afin d’éviter les débats inutiles. M. Drainville propose de fixer ce pourcentage à 15 % des électeurs au Québec. On s’entend, c’est énorme, soit plus de 800 000 signatures. 

En gros, si on remplit cette condition, le gouvernement serait dans l’obligation de déclencher un référendum et de convoquer les électeurs à venir voter, par exemple, sur la tenue d’une enquête publique dans le secteur de la construction. 

M. Drainville veut doter le Québec d’une Loi sur les RIP afin que la souveraineté du Québec soit plus facilement réalisable. C’est un fait. Un référendum ce n’est pas gratuit. On doit en faire pour les bonnes raisons. Dans le cas précis d’une commission d’enquête, je crois que ça serait à propos. Les sondages nous disent que 80 % des Québécois sont pour une telle enquête. Et des milliards de dollars sont en jeu, ne l’oublions pas.

Les pressions de l’opinion publique sont à un sommet. Pendant ce temps, le PQ déposera une 8e motion en deux ans pour demander la tenue d’une enquête publique. Jean Charest est le gouvernement élu. Rien ne semble l’ébranler. Il faudra, semble-t-il, attendre la prochaine élection pour qu’un éventuel nettoyage soit fait dans la construction. C'est bien dommage.

Seriez-vous pour un référendum d’initiative populaire?

Pour en savoir plus :

Éditorial du magazine L’actualité, qui traite des RIP

Échange houleux entre Richard Martineau et Bernard Drainville

 

11 réflexions sur « Enquête publique : un référendum d’initiative populaire? »

  1. Seriez-vous pour la tenu d’un RIP ??? La réponse est non !!!!!! Ça fait 2 ans que les média, les partis d’opposition et les spécialiste des finances nous disent que le Québec est dans le rouge et que nous devons couper dans les dépense pour assainir les finances publique et voilà que, sans avoir fait aucune coupure et après avoir augmenté les taxes, ont voudrait dépenser plus que le peut que l’on a réussi à économiser pour quelque chose de totalement inutile et très coûteux.
    Pour ce qui est de la commission d’enquête publique sur l’industrie de la construction, une autre belle affaire qui réglera rien et qui coûtera une petite fortune que nous n’avons pas. Souvenez-vous des dernière commission d’enquête, soit la commission Gomery, celle sur les accommodement raisonnable et la commission Bastarache, y a-t-il eu des accusations de porté ???? Avons-nous eu réponse à nos questions ??? Avons-nous trouvé des solutions à nos problèmes ???? Des dizaines de millions de dollars dépensé pour du vent !!!!!

  2. Et il faut faire attention avant de pointer du doigt toute l’industrie de la construction, de la corruption il n’y en a pas tant que ça et elle est dans les gros projet et non dans les petit. Pour les projets de 0$ à 2-3 millions, ça ne vaut même pas la peine de corrompre qui que ce soit. C’est comme la folie des extra ou des dépassements de coût, il y a 3 chose qui motive un extra, des travaux supplémentaire demandé par le donneur d’ouvrage, une variation dans les quantités et un changement important de la nature du sol. Exemple : Je soumissionne un projet qui comprend 500m d’aqueduc, 525 d’égout et 515 de pluvial mais que sur le chantier il s’en pose 510 d’aqueduc, 550 d’égout et 535 de pluvial, le dépassement de coût est justifié. Dans le même projet, la ville demande de faire des travaux qui ne sont pas dans le contrat, encore une foi l’extra est justifiable. Et si en plus dans le même projet, il y a du roc ou une venue d’eau importante dans la tranché ou encore le sol est instable et que ce n’était pas prévue, encore une foi le dépassement de coût est justifié. C’Est pourquoi un projet peut passer de 550 000$ à 700 000$ et le 150 000$ de plus ne vas pas dans les poches du maire ni dans celle de l’ingénieur.
    Et en plus je ne voit pas ce qu’il y a de si grave dans la collusion. Si je fait 100 000$ de plus en profit net sur une job, le gouvernement vient en chercher un bon % en impôt, avec ce qui reste je risque de renouveler ma machinerie, payer des bonis à mes employé ou à moi même et même engager de nouveau employé donc le fameux 100 000$ de plus vas servir à faire tourner l’économie local et le gouvernement viens le chercher un grande partie en taxes de toute sorte.

  3.  » Seriez-vous pour un référendum d’initiative populaire?  »
    NON
     » Jean Charest est le gouvernement élu. Rien ne semble l’ébranler. »
    Les citoyens continuent à voter, mais leur vote a été vidé de tout contenu. Ils votent pour des responsables qui n’ont plus de pouvoir réel.

  4. Les fonctionnaires n’ont pas peur de la redondance. Nous le réalisons aussitôt que
    nous avons affaire à n’importe lequel des paliers gouvernementaux.
    Alors commissions d’enquêtes et référendum nous coûteront un bras et une jambe.
    Ce ne sont pas les entreprises qui paieront mais le peuple et, pour le reconnaître,
    il suffit de savoir combien d’impôts, en pourcentage, paient les individus comparés
    aux entreprises.
    Une enquête doit être mise en branle, mais, existe t-il une réelle volonté d’agir et
    de sévir??? Je suis très loin d’être convaincu.
    Il existe quelques palliers de corps policiers au Québec. Mais je pencherais plutôt
    en faveur de la Gendarmerie Royale car la corruption englobe certaines personnes
    bien placées pour les pots de vin, lorsqu’il est question de projets
    gouvernementaux. Un projet peut revenir en soumission après qu’il soit passé au
    BSDQ sous le prétexte d’un amendement au projet qui ne revêt pas plus
    d’importance qu’une virgule dans mon texte. Alors le gagnant n’est plus le même.
    Lorsque le prix est connu, il devrait être obligatoire d’octroyer le contrat au plus
    bas soumissionnaire, point final !
    Toute altération au projet est quotée par celui qui obtient le contrat.

  5. le probleme viens du fait que ceux qui cause le probleme. pense réelement qu’il ne font pas de probleme et qu’ils sont correct. alors comment voulez-vous que ca change dans ces conditions. Ma belle-soeur travaille dans la santé comme préposé et elle est obligé de prendre des congé de maladie meme si elle n’est pas malade. Alors quand elle est en congé sa boss la rappel pour qu’elle se remplace elle meme a temps double donc ca fait temps triple parce que son congé est payé. croyez vous un instant qu’elle est indigné du fait que le systeme coute plus cher? Pas le moins du monde, elle dit que c’est a eux autres de pas l’appeler. Wow belle mentalité… bravo.Il y a aussi ceux qui sont fier de travailler au noir et disent que c’est normal de frauder le gouvernement parce qu’apparement ils nous fraude aussi.méga wow. Maintenant extrapolé ca a toute une population et vous vous demendez pourquoi on est tant endetté? Il y a un proverbe qui dit de ne jamais sous-estimé l’imbécilité en groupe. Le quebec va changer quand il y aura un vrai changement de garde dans tout les domaines. en attendant …

  6. Depuis un certain temps, les partis d’opposition, des groupes de pressions, des journalistes demandent aux gens de se révolter. Je trouve inconcevable et irresponsable de la part de ces personnes de demander aux Québecois de se révolter et d’exiger une commission d’enquête sur la construction qui ne règlera rien et qui aura permis aux partis d’oppositions d’avoir la tête du gouvernement, ce qu’il ne sont pas capable de faire démocratiquement. Il faut l’avouer, politiquement, on fait dur. Le PQ agonise et se déchire l’héritage politique de René Lévesque, Qs et l’ADQ sont loin dans les sondages. On est prêt à élire un parti qui n’est même pas formé. S’il y avait des élections prochainement, on serait dans le trouble. Je ne suis pas un libéral, alors je voterais pour qui ? Si François Legault pourrait ranger son tablier et sortir des réunions de cuisine et s’affirmer comme leader en formant un parti politique, alors là les choses changeraient. Le peuple serait derrière lui. Il y aurait une continuité après la révolte. Il faut redonner au Québec les valeurs sociales, morales et culturelles qui lui sont propres. Dans certains pays, on se bat pour obtenir la démocratie. Au Québec, nous l’avons cette démocratie. Malheureusement, nos dirigeants politiques brillent par leur incompétence. Tant qu’à se révolter, pourquoi ne pas en profiter pour indiquer la sortie aux dirigeants des partis d’oppositions. La meilleure façon d’aider le Québec, est d’arrêter de lui nuire. Présentement, je considère que les chicanes de ménage du PQ et les débats stériles de nos politiciens font davantage de tort au Québec que la corruption dans le domaine de la construction. Mme Marois, M. Charest, si vous avez la société Québecoise à coeur, cessez de faire passer vos intérêts personnelles avant l’intérêt des Québecois et quittez la vie politique. C’est le plus grand service que vous pouvez nous rendre.

  7. @Jacques Gagnon
    Vous avez 100% raison. Politicien ne devrais jamais être un choix de carrière car comment quelqu’un qui cherche à protéger sa carrière peut prendre les décision qui s’imposent au moment où elles doivent être prise. Un politicien de carrière ne veut pas faire de vague, reste toujours vague dans ses réponses et, surtout, chercher à protéger ses votes donc au final, c’est toujours la même rengaine qui revient jour après jour, mandat après mandat et rien ne se passe. Il devrait avoir une loi qui dit que après X nombre d’année (8 ans ou 2 mandat) tout député doit quitter ses fonctions et ne peuvent plus se présenter avant X nombre d’année mais peuvent occuper des poste de soutient pour aider les nouveau venu. De cette façon nous aurions des dirigeants qui seraient plus préoccupés par l’avenir du Québec que par l’avenir de leurs poste.

  8.  » On s’entend, c’est énorme, soit plus de 800,000 SIGNATURES.  »
    800,000 SIGNATURES? FACILE!
    CONTRAT TACITE DES GENS QUI DORMENT
    Mes chers amis,
    Peu importe nos croyances ou nos idées politiques, le système mis en place dans notre monde libre repose sur l’approbation tacite d’une sorte de contrat passé avec chacun d’entre nous, dont voici dans les grandes lignes le contenu:
    1) J’accepte la compétition comme base de notre système, même si j’ai conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour l’immense majorité des perdants.
    2) J’accepte d’être humilié ou exploité à condition qu’on me permette à mon tour d’humilier ou d’exploiter quelqu’un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale.
    3) J’accepte l’exclusion sociale des marginaux, des inadaptés et des faibles car je considère que la prise en charge de la société a ses limites.
    4) J’accepte de rémunérer les banques pour qu’elles investissent mes salaires à leur convenance, et qu’elles ne me reversent aucun dividende de leurs gigantesques profits (qui serviront a dévaliser les pays pauvres, ce que j’accepte implicitement). J’accepte aussi qu’elle prélèvent une forte commission pour me prêter de l’argent qui n’est autre que celui des autres clients.
    5) J’accepte que l’on congèle et que l’on jette des tonnes de nourriture pour ne pas que les cours s’écroulent, plutôt que de les offrir aux nécessiteux et permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année.
    6) J’accepte qu’il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en revanche je tolère qu’on le fasse lentement en ingérant ou en inhalant des substances toxiques autorisées par les états.
    7) J’accepte que l’on fasse la guerre pour faire régner la paix.
    J’accepte qu’au nom de la paix, la première dépense des états soit le budget de la défense. J’accepte donc que des conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks d’armes et faire tourner l’économie mondiale.
    8) J’accepte l’hégémonie du pétrole dans notre économie, bien qu’il s’agisse d’une énergie coûteuse et polluante, et je suis d’accord pour empêcher toute tentative de substitution s’il s’avérait que l’on découvre un moyen gratuit et illimité de produire de l’énergie, ce qui serait notre perte.
    9) J’accepte que l’on condamne le meurtre de son prochain, sauf si les états décrètent qu’il s’agit d’un ennemi et nous encouragent à le tuer.
    10) J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système. j’accepte d’ailleurs toutes sortes de divisions possibles, pourvu qu’elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux.
    11) J’accepte que le pouvoir de façonner l’opinion publique, jadis détenu par les religions, soit aujourd’hui aux mains d’affairistes non élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis convaincu du bon usage qu’ils en feront.

  9. 12) J’accepte l’idée que le bonheur se résume au confort, à l’amour, au sexe, et la liberté d’assouvissement de tous les désirs, car c’est ce que la publicité me rabâche toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je consommerai: je remplirai mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de notre économie.
    13) J’accepte que la valeur d’une personne se mesure à la taille de son compte bancaire, qu’on apprécie son utilité en fonction de sa productivité plutôt que de sa qualité, et qu’on l’exclue du système si elle n’est plus assez productive.
    14) J’accepte que l’on paie grassement les joueurs de football ou des acteurs, et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de l’éducation et de la santé des générations futures.
    15) J’accepte que l’on mette au banc de la société les personnes agées dont l’expérience pourrait nous être utile, car étant la civilisation la plus évoluée de la planète (et sans doute de l’univers) nous savons que l’expérience ne se partage ni ne se transmet.
    16) J’accepte que l’on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours, pour que je puisse apprécier a quel point notre situation est normale et combien j’ai de la chance de vivre en occident. Je sais qu’entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique pour nous.
    17) J’accepte que les industriels, militaires et politiciens se réunissent régulièrement pour prendre sans nous concerter des décisions qui engagent l’avenir de la vie et de la planète.
    18) J’accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans qu’on me le signale explicitement. J’accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier, permettant ainsi aux trusts de l’agroalimentaire de breveter le vivant, d’engranger des dividendes conséquents et de tenir sous leur joug l’agriculture mondiale.
    19) J’accepte que les banques internationales prêtent de l’argent aux pays souhaitant s’armer et se battre, et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu’il vaut mieux financer les deux bords afin d’être sûr de gagner de l’argent, et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s’ils ne peuvent pas rembourser les emprunts.
    20) J’accepte que les multinationales s’abstiennent d’appliquer les progrès sociaux de l’occident dans les pays défavorisés. Considérant que c’est déjà une embellie de les faire travailler, je préfère qu’on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des droits de l’homme et du citoyen, nous n’avons pas le droit de faire de l’ingérence.
    21) J’accepte que les hommes politiques puissent être d’une honneteté douteuse et parfois même corrompus. Je pense d’ailleurs que c’est normal au vu des fortes pressions qu’ils subissent. Pour la majorité par contre, la tolérance zéro doit être de mise.
    22) J’accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de l’agroalimentaire vendent dans les pays défavorisés des produits périmés ou utilisent des substances cancérigènes interdites en occident.

  10. 23) J’accepte que le reste de la planète, c’est-à-dire quatre milliards d’individus, puisse penser différemment à condition qu’il ne vienne pas exprimer ses croyances chez nous, et encore moins de tenter d’expliquer notre Histoire avec ses notions philosophiques primitives.
    24) J’accepte l’idée qu’il n’existe que deux possibilités dans la nature, à savoir chasser ou être chassé. Et si nous sommes doués d’une conscience et d’un langage, ce n’est certainement pas pour échapper à cette dualité, mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte.
    25) J’accepte de considérer notre passé comme une suite ininterrompue de conflits, de conspirations politiques et de volontés hégémoniques, mais je sais qu’aujourd’hui tout ceci n’existe plus car nous sommes au summum de notre évolution, et que les seules règles régissant notre monde sont la recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples, comme nous l’entendons sans cesse dans nos discours politiques.
    26) J’accepte sans discuter et je considère comme vérités toutes les théories proposées pour l’explication du mystère de nos origines. Et j’accepte que la nature ait pu mettre des millions d’années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants.
    27) J’accepte la recherche du profit comme but suprême de l’Humanité, et l’accumulation des richesses comme l’accomplissement de la vie humaine.
    28) J’accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons de rivières et de nos océans. J’accepte l’augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d’éléments radioactifs dans la nature. J’accepte l’utilisation de toutes sortes d’additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si on les y met, c’est qu’ils sont utiles et sans danger.
    29) J’accepte la guerre économique sévissant sur la planète, même si je sens qu’elle nous mène vers une catastrophe sans précédent.
    30) j’accepte cette situation, et j’admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l’améliorer.
    31) J’accepte d’être traité comme du bétail, car tout compte fait, je pense que je ne vaux pas mieux.
    32) J’accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci, et de ne formuler aucune véritable opposition car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis. J’accepte même de défendre à la mort ce contrat si vous me le demandez.
    33) J’accepte donc, en mon âme et conscience et définitivement, cette triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m’empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui de tous, et je vous en remercie.

  11. CONTRAT TACITE DES GENS QUI DORMENT
    Ce texte inspiré a été envoyé par une personne anonyme à la radio « Ici et Maintenant » le 11 Septembre 2003.

Les commentaires sont fermés.