On le sait. La corne de l’Afrique connaît une nouvelle famine. La pire sécheresse depuis 60 ans. 12 millions d’êtres humains menacés sans compter les milliers de morts des dernières semaines.
Ces images ne nous touchent plus comme il y a 30 ans. Du moins, on évite de les regarder de trop près. Pourquoi cette indifférence? Il y a certainement un peu de «à quoi bon » là-dedans. Puisque l’Histoire se répète continuellement…
Le pape s’est mis de la partie pour nous secouer. « Nous ne devons pas être indifférents à la tragédie de la faim et de la soif », a lancé Benoit XI à Castel Gandolfo, de sa somptueuse résidence d'été en Italie.
Je vous entends : « La richesse de l’État du Vatican permettrait à elle seule d’aider toute l’Afrique! » J’ai une proposition. Et si on lançait une vaste quête silencieuse?
La grand-mère d’une amie lui a raconté que petite, lors des célébrations de Pâques et de Noël, il était de mise (de bon ton) pendant la quête à l’église de mettre un billet et non de l’argent sonnant dans le panier (d’où l’absence de bruit pendant la quête). C’était il y a plus de 50 ans, alors imaginez-vous ce qu’il en coûtait aux plus pauvres…
Quête moderne
Ma proposition ne serait pas seulement cléricale puisque nos églises sont presque vides. Une quête silencieuse serait de nos jours bien moins compliquée avec Internet et pourrait récolter beaucoup de sous. À chacun son organisme favori.
Et pourquoi ne pas demander au Vatican « d’accoter » les dons du public? Nos gouvernements le font bien. Le Vatican est un tout petit État, mais il regorge de monuments et de splendeurs d’une valeur inestimable.
C’est facile de se dire que de toute façon rien ne changera. Bien sûr, la guerre en Somalie complique les choses. Les gens se réfugient pas milliers au Kenya, notamment. Des conditions de vie atroces. Heureusement, la communauté internationale se mobilise, même si c’est toujours trop peu à notre goût.
« Les animaux ont le droit d'être indifférents. Moi, je suis un animal avec quelque chose en plus, quelque chose qui change tout, qui m'ôte le droit à l'indifférence : je sais » (extrait de Coups de sang, François Cavanna).
La famine en Afrique vous touche-t-elle? Que pouvons-nous faire pour changer les choses?
Il y a des multimilliardaires en Afrique. Eux ne semblent pas se soucier du bien-être
de leurs esclaves. Les esclaves blancs n’ont pas les moyens de nourrir les esclaves noirs.
@Maurice Lalancette
Il y a seulement 9 milliardaires en Afrique. La plupart oeuvrent dans le domaine des mines, des diamants, de la construction, de l’immobilier, des biens de luxe, des télécoms. Des secteurs souvent peu respectables, selon certains.
http://eco.rue89.com/2011/04/30/ces-milliardaires-africains-qui-font-mentir-les-cliches-201672
La situation africaine est complexe et délicate. Plusieurs pays sont en perpétuelle guerre civile. Les « seigneurs de la guerre » terrorisent les populations. La majorité à moins de 15 ans. On utilise les enfants pour faire la guerre. Ces conflits sont souvent liés au tracé des frontières qui n’a souvent pas tenu compte des ethnies en présence (après la colonisation de l’Afrique par l’Europe). À cela s’ajoutent les actes de piraterie. Sans compter les guerres pour le contrôle des richesses et des matières premières. On est bien chez nous…
@Sophie Stival | 1 août 2011 20:27:38
Je suis étonné d’apprendre qu’il n’y a aucun milliardaire dans le milieu du pétrole en
Afrique. Incroyable, considérant le coût à la pompe, en Europe et en Amérique.
@Maurice Lalancette
Selon le site Eco89, il y en aurait un: Mike Adenuga du Nigeria. Il préside Conoil, une compagnie pétrolière du Niger. Il oeuvre également dans les télécoms et le milieu bancaire.
http://eco.rue89.com/2011/04/30/ces-milliardaires-africains-qui-font-mentir-les-cliches-201672
@Sophie Stival | 1 août 2011 21:35:55
Oui merci Sophie. J’avais visitè le site à la suite de ton commentaire. C’est juste que
le M. Adenuga n’est pas strictement orienté sur le pétrole.
« Heureusement, la communauté internationale se mobilise… »
L’EUGÉNISME, UNE PASSION MONDIALISTE
Citations de personnalités sur la dépopulation:
« Le cancer est une multiplication incontrôlée des cellules; l’explosion démographique est une multiplication incontrôlée des gens… Nous devons passer du traitement des symptômes au traitement du cancer lui-même. Cette opération exigera de prendre des décisions qui pourront sembler brutales et dénuées de sentiments. » — Paul Ehrlich, Professeur à Stanford, dans « The Population Bomb »
« Afin de stabiliser la population mondiale, nous devons éliminer 350.000 personnes par jour. C’est une chose horrible à dire, mais il est tout aussi mauvais de ne rien dire. » — J. Cousteau, 1991 Explorateur et messager de l’UNESCO
« Je crois que la surpopulation humaine est le problème fondamental sur la terre aujourd’hui » et « Nous, les humains sommes devenus un fléau, « l’humanovariole ». » — Dave Foreman, membre du « Sierra Club » et co-fondateur de « Earth First! »
« Nous devons parler plus clairement de la sexualité, de la contraception, de l’avortement, des valeurs qui permettent le contrôle de la population, parce que la crise écologique, en un mot, est une crise démographique. Réduisez la population de 90%, et il n’y aura plus assez de gens pour causer beaucoup de dégâts sur le plan écologique. » — Mikhaïl Gorbatchev
« Ce qui est illégal, nous le faisons immédiatement. Ce qui est inconstitutionnel prend un peu plus de temps. » — Dr. Henry Kissinger New York Times, 28 octobre 1973
« La dépopulation devrait être la plus haute priorité de la politique étrangère envers le tiers monde, parce que l’économie américaine aura besoin de quantités considérables et toujours croissantes de minérais provenant de l’étranger, en particulier des pays les moins avancés « . — Dr. Henry Kissinger
« Le pouvoir constitue l’aphrodisiaque ultime », et « Les personnes âgées constituent autant de bouches inutiles » — Dr. Henry Kissinger
« La population mondiale doit être réduite de 50% » — Dr. Henry Kissinger
« La guerre et la famine ne seraient pas suffisantes. Au lieu de cela, les maladies sont le moyen plus efficace et le plus rapide pour décimer les milliards qui doivent mourir bientôt si nous voulons que le problème de la crise de population soit résolu. Le SIDA n’est pas un tueur efficace, car il est trop lent. Mon candidat favori pour l’élimination de 90 pour cent de la population mondiale est le virus Ebola disséminé par voie aérienne (Ebola Reston), parce qu’il est à la fois extrêmement meurtrier et tue en quelques jours, au lieu de quelques années. « Nous avons pu obtenir des maladies disséminées par voie aérienne avec un taux de 90 pour cent de mortalité chez l’homme. Pensez-y. « Vous savez, la grippe aviaire est aussi géniale. Pour chaque survivant, il y aura neuf morts » — Dr. Eric Pianka de l’Université du Texas, écologiste et spécialiste de l’évolution du lézard, a indiqué les solutions pour réduire la population mondiale lors d’une conférence sur le contrôle de la population.
« Le principe qui soutient la vaccination obligatoire est suffisamment large pour comprendre la ligature des trompes de Fallope. » — Oliver Wendell Holmes Justice
EUGÉNISME ET AGENDA MONDIAL DE DÉPOPULATION
Par François Marginean
Le 12 aout 2009
Les 7 du Québec
«Dans l’éventualité où je serais réincarné, je voudrais revenir comme un virus mortel, afin de contribuer en quelque chose pour résoudre la surpopulation» – Extrait de la préface de la biographie «Si j’étais un animal» du Prince Philip
Différentes personnes à différents moments ont été attirées par différents aspects de l’eugénisme – et ont aussi souvent rejeté d’autres. Il n’y a pas d’emballage parfait, pas de quartier général ni de maitre guide. L’eugénisme est plutôt une collection d’idées et de projets à propos de l’amélioration de la race humaine par le contrôle social de la reproduction humaine. Le mouvement eugénique s’est répandu à travers le monde et affecte toutes les facettes de la vie sociale. Personne n’a besoin de chercher bien loin pour trouver l’eugénisme. C’est dans les livres d’école, dans les journaux et tous les médias, dans la science-fiction, dans les gouvernements et ainsi de suite. C’est une manière de penser à propos de la vie que des personnes très intelligentes ont fait la promotion depuis un siècle, avec peu ou pas de résistance les cinquante dernières années. (Source)
Il existe encore un grand nombre de personnes parmi le public en général, les universitaires et spécialement ceux qui travaillent pour les médias corporatifs, qui sont toujours en déni face à l’agenda de réduction de la population mondial pourtant bien documenté, ainsi que des conséquences de ce programme que nous voyons déjà prendre forme. Cet article, qui fait suite à Eugénisme & darwinisme social qui lui jetait les bases historiques de cette idéologie, se veut une compilation d’évidences en vue de prouver que l’élite a été obsédée par l’eugénisme et son incarnation moderne, le contrôle de la population, depuis plus d’une centaine d’années, et que ce but de réduction de la population globale est toujours en pleine force jusqu’à ce jour.
1• Des philanthropes milliardaires qui ont assisté au sommet organisé par l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté de joindre leur force pour vaincre les obstacles politiques et religieux qui s’opposent au changement concernant la surpopulation mondiale. Ce club, nommé le «Good Club», discute de dépopulation mondiale.
Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.
La rencontre, qui s’est tenue à New York le 5 mai dernier, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David Rockefeller. Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence d’information financière du même nom ; Peter Peterson, fondateur du groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire ; Julian Robertson, patron du fond Tiger Management ; John Morgridge, ancien pdg de Cisco Systems ; Eli Broad, spéculateur immobilier ; David Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de CNN ; et Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.
La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la « surpopulation », comme la cause supérieure qui englobe les autres. Un autre participant a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en place une stratégie« dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle ». Les participants ont souligné leur « besoin d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir ». De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie. (Source)
2• Ted Turner, l’un des participant et riche propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996: «Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies. Cette organisation créée par Turner et la Turner Fondation, sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des «organisations charitables» qui servent réellement à promouvoir le mouvement eugénique. Turner a même reçu un prix de l’ONU pour son travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour la réduction de la population. (Source)
3• La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés; Syngenta, une compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta; la Fondation Rockefeller, ce groupe privé qui a créé la «révolution génétique», avec plus de 100 millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970; le CGIAR, réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture, travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.
Le CGIAR a été façonné lors d’une série de conférences privées tenues au centre de conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les principaux participants aux débats de Bellagio étaient George Harrar, de la Fondation Rockefeller ; Forrest Hill, de la Fondation Ford ; Robert McNamara, de la Banque mondiale, et Maurice Strong, l’organisateur international de la famille Rockefeller au niveau de l’environnement et qui, en tant que fiduciaire de la Fondation Rockefeller, organisa Sommet de la Terre (Earth Summit) de l’ONU, à Stockholm, en 1972. Cela faisait partie de l’objectif de la fondation depuis des décennies afin de mettre la science au service de l’eugénisme, une hideuse version de la pureté raciale, et qui a été appelé Le Projet.
Pour assurer un impact maximum, le CGIAR a appelé l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies, le Programme de développement des Nations Unies et la Banque mondiale. Ainsi, par le biais d’une levée soigneusement planifiée de son premier appel de fonds, la Fondation Rockefeller, à partir du début des années 1970, était en mesure de façonner la politique agricole mondiale. Et elle l’a façonnée, en effet.
Financé par de généreuses bourses d’étude de Rockefeller et de la Fondation Ford, le Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale (CGIAR) a veillé à ce que les scientifiques et agronomes principaux de l’agriculture du Tiers-Monde soient amenés aux États-Unis afin de «maitriser» les concepts de production de l’agro-industrie moderne, et afin de les ramener dans leur patrie. Durant ce processus, ils ont créé un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie américaine dans ces pays, et plus particulièrement la promotion de la «Révolution génétique» des OGM dans les pays en voie de développement, et tout cela au nom de la science et d’un marché agricole efficace et libre. (Voir l’article «L’arche de Noé végétale»).
Créer génétiquement une race de maitres ?
«Le Projet» est le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers depuis les années 1920 afin d’utiliser l’eugénisme, plus tard rebaptisé génétique, pour justifier la création d’une race de maitres créée par génie génétique. Hitler et les Nazis l’appelaient la race des maitres Aryens.
L’eugénisme d’Hitler fut financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui une «réserve de semences du jugement dernier» afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre planète. A présent, ceci devient vraiment intrigant. La même Fondation Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie humaine à la «définition d’une séquence génique» qui, espéraient-ils, pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les caractéristiques humaines à volonté. Les scientifiques de l’eugénisme d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au sein du troisième Reich par les généreuses bourses de la Fondation Rockefeller.
La même Fondation Rockefeller créa ce que l’on appelle la révolution verte, durant un voyage au Mexique effectué en 1946 par Nelson Rockefeller et l’ancien Secrétaire à l’agriculture du New Deal et fondateur de la compagnie Pioneer Hi-Bred Seed, Henry Wallace.
La Révolution verte visait à résoudre le problème de la faim dans le monde à un haut degré, au Mexique, en Inde et dans d’autres pays choisis où Rockefeller travaillait. L’agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug, remporta un prix Nobel de la paix pour son travail, une chose dont il n’y a pas de quoi se vanter lorsque des gens tel que Henry Kissinger ont partagé le même prix.
En réalité, comme cela est apparu des années plus tard, la révolution verte était une brillante idée de la famille Rockefeller pour développer une agro-industrie mondialisée dont ils pourraient ensuite prendre le monopole tout comme ils l’avaient fait dans le monde de l’industrie pétrolière et qui avait commencé un demi-siècle auparavant. Comme Henry Kissinger l’a déclaré dans les années 1970 : «Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l’alimentation, vous contrôlez la population.» (Source)
4• L’idéologie d’eugénisme et de réduction de la population est bien intégrée dans le mouvement environnementaliste et celui de la théorie du réchauffement climatique causé par l’homme. Que ce soit correctement attribué à l’homme ou pas, les mêmes idées de réduire le nombre de population mondiale, de contrôler les naissances en adoptant des mesures eugéniques imitant la politique de l’enfant unique de la Chine et autres mesures dont l’avortement et la taxation d’enfants supplémentaires, sont présentes. L’humain et même les enfants sont le problème qu’il faut éliminer.
Alors que la planète subit une chute drastique de la production de biens indispensables au maintien de sa population, le Fonds mondial pour la nature (anciennement World Wildlife Fund) a publié le 29 octobre son Rapport Planète vivante (Living Planet Report 2008), affirmant que, puisque «les besoins des hommes en nourriture, eau, énergie et matériaux» représentent la plus grande menace pour la biodiversité, la consommation humaine devrait être réduite d’au moins 30% — pour commencer.
Selon ce rapport, plus des trois quarts de la population mondiale vivent dans des pays dont la consommation dépasse leur bio-capacité (exprimée sous forme d’«empreinte écologique»). Les auteurs en viennent à demander la «réduction de la population, de la consommation individuelle et des ressources utilisées ou des déchets émis pour produire des biens et des services». Pour la première fois, le WWF s’en prend même à la consommation d’eau.
Ce rapport, dont les recommandations, si elles étaient appliquées, conduiraient à la mort de centaines de milliers d’hommes, a été co-rédigé par des membres de la Société zoologique de Londres. A l’origine du WWF, on trouve le prince Bernard des Pays-Bas et son co-penseur, le Prince Philip d’Edimbourg, le prince consort de la Reine Elisabeth II d’Angleterre. Le prince Bernard était un nazi, membre des SS, qui, contraint de démissionner du parti en vue de sa fonction royale, signa sa lettre de démission par un «Heil Hitler !».
Le critère d’«empreinte écologique» dont se sert le WWF fut élaboré par une fondation britannique, l’Optimum Population Trust, qui fait ouvertement campagne pour réduire des deux tiers la population mondiale afin de la ramener à deux ou trois milliards d’individus. (Source)
5• Dans une des rares sortie publique par les médias, Jonathon Porritt, un des principaux conseillers environnemental de Gordon Brown, a averti que la Grande Bretagne doit réduire radicalement sa population si elle désire construire une société durable. L’annonce a été faite à la conférence annuelle du groupe Optimum Population Trust (OPT), duquel il est le patron. Selon leur recherche, la population britannique devrait être réduite à 30 millions, soit la moitié de ce qu’elle est présentement. (Source)
En Australie, un groupe de lobby environnemental, le Sustainable Population Australia, soutient que nous devons réduire drastiquement la population mondiale ainsi que d’adopter une politique d’un enfant unique pour sauver la planète. Selon ce groupe de 1300 activistes, c’est le seul moyen d’éviter un «suicide environnemental». La présidente du groupe, Sandra Kanck, suggère que la population australienne soit réduite de 22 à 7 millions de personnes pour s’attaquer aux changements climatiques. (Source)
De même, la BBC publiait un article de John Feeney, déclarant que la croissance non contrôlée de la population mine les efforts pour la sauver la planète. Il demande au mouvement environnemental de cesser de fuir ce sujet controversé. On y mentionne une autre organisation qui lutte en ce sens: Global Population Speak Out. (Source)
6• Des scientifiques qui se joignent en groupes tels que le Global Population Speak Out (GPSO) font pressions sur les médias pour briser le tabou de la surpopulation mondiale:
Je fais partie d’un groupe de scientifiques, répartis dans 24 Pays, qui s’est engagé à convaincre les médias de faire cesser le tabou qui s’oppose à toute discussion relative aux problèmes posés par la taille et la croissance de la population humaine en relation notamment avec la dégradation de l’environnement. Nous maintenons ce tabou à notre péril et à celui de millions d’autres espèces.
La surpopulation est étroitement liée à toutes les formes de dégradation de l’environnement dont nous prenons conscience maintenant : disparition d’espèces, modifications du climat, pollutions, désertifications, diminution des réserves aquatiques, déforestations, etc., or la croissance démographique mondiale est préoccupante.
Il est illusoire de penser qu’en réduisant notre consommation (même s’il est bon de le faire) nous arriverons à corriger les excès dus à la croissance ininterrompue de la population humaine; personne ne peut réduire ses besoins organiques à zéro, il faut pour cela ne pas exister. Il est temps de réfléchir à ces problèmes démographiques et de préparer l’opinion à une perception nouvelle de leur évolution.
Le problème de la limitation des naissances est difficile dans les pays en voie de développement où de grossières erreurs ont été commises dans le passé. Mais les erreurs doivent être utiles pour progresser.
Il faudra dans ces pays, par recours aux médias sans doute, mieux y éduquer les femmes en exposant de nouvelles options concernant la taille des familles ; il faudra mieux protéger l’enfance pour qu’une forte mortalité ne soit plus la justification des familles nombreuses; il faudra enfin rendre les moyens de contraception facilement accessibles à tous.
Le projet d’aboutir rapidement à un palier de croissance de la population humaine et, par la suite, à sa décroissance est une option dont dépend l’avenir de notre espèce et du reste du monde vivant. (Source)
D’autre, comme le Dr Eric R. Pianka, un biologiste américain basé à l’Université du Texas à Austin qui prononce des discours au niveau international, fait la promotion d’un génocide de masse de 90% de la race humaine pour sauver la planète et est applaudit chaudement par ses pairs. Durant un discours à l’Académie des sciences du Texas en 2006, Pianka proposait d’exterminer 90% de la population mondiale à l’aide du virus Ebola. (Source)
En 2002, le Melbourne Age rapportait que des documents nouvellement découverts détaillaient le plan de l’éminent immunologiste Sir Macfarlane Burnet pour aider le gouvernement australien à développer des armes biologiques qui pourraient être utilisées contre l’Indonésie et autres pays «surpeuplés» de l’Asie du Sud-Est. Sir Macfarlane recommandait dans ce rapport secret de 1947 que des armes chimiques et biologiques pouvaient être développées pour détruire les cultures de pays asiatiques surpeuplés et répandre des maladies infectieuses qui affecteraient que ces pays tropicaux et non pas l’Australie. Cet homme a notamment été le directeur du Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research et il reçu un prix Nobel de médecine en 1960. Il est décédé en 1985, mais ses théories sur l’immunité et la «sélection de clonage» ont servi à établir la base de la biotechnologie moderne et de l’ingénierie génétique. (Source)
La controverse entourant les commentaires d’un autre favori du milieu scientifique, le généticien James Watson, qui a déclaré au journal le Sunday Times que les noirs sont moins intelligents que les blancs de façon inhérente, ne devrait pas surprendre personne qui sait que Watson a rempli un important rôle en promouvant la pseudo-science de l’eugénisme. Watson fut le directeur du Projet génome humain jusqu’en 1992 et reconnu pour avoir été le co-découvreur de la structure de la double-hélice d’ADN, une réussite qui lui méritera un prix Nobel en 1962. Mais ce que la plupart ignore, c’est que Watson a joué un rôle crucial dans l’avancement de la légitimité de l’eugénisme/réduction de la population depuis des décennies.
James Watson est un important promoteur du dépistage génétique, un test qui détermine si un couple est plus à risque d’avoir un bébé ayant un désordre génétique héréditaire. Puisque le dépistage a évidemment augmenté le nombre d’avortement d’enfants considérés «imparfaits», plusieurs ont dénoncé son introduction comme étant rien de moins qu’un camouflage pour l’eugénisme ou «eugénisme volontaire». (Source)
7• Dans un document que Henry Kissinger rédigea en avril 1974 alors qu’il était Conseiller à la Sécurité Nationale américaine, le National Security Study Memorandum 200, il conclut : «Le dépeuplement est l’axe prioritaire de la politique étrangère américaine dans les pays du Tiers-monde». Le document, qui visait treize pays en particulier pour une réduction massive de leur population, suggérait d’employer la famine, la stérilisation et la guerre pour y parvenir. Ce document gouvernemental fut rendu public en 1989 et identifiait ces pays comme étant d’un intérêt spécial pour les objectifs géopolitiques des États-Unis et expliquait ce pourquoi la croissance de la population, particulièrement celle des jeunes personnes, était vue comme une menace révolutionnaire contre les corporations américaines. Les pays nommés étaient l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan, le Nigeria, le Mexique, l’Indonésie, le Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l’Égypte, la Turquie, l’Éthiopie et la Colombie.
8• Lord Bertrand Russell écrivait dans son livre «The Impact of Science on Society»: «Présentement, la population du monde augmente… La guerre jusqu’à maintenant n’a pas eu de grands effets sur cette augmentation… Je ne prétends pas que le contrôle des naissances est le seul moyen par lequel une population peut être empêchée d’augmenter. Il y en a d’autres… La guerre a été plutôt décevante à cet égard, mais peut-être qu’une guerre bactériologique pourrait s’avérer efficace. Si une Mort Noire pouvait se répandre à travers le monde à chaque génération, les survivants pourraient procréer librement sans trop remplir le monde…» (Source)
9• «…des formes avancées de guerre biologique qui peuvent cibler des génotypes spécifiques peuvent transformer la guerre biologique d’un royaume de la terreur en un outil politiquement pratique.»
Qui a écrit ces mots dans leur propre document de stratégie? Les nazis? Le régime de Pol Pot?
Non, c’était Paul Wolfowitz, Dick Cheney, William Kristol, Donald Rumsfeld et le reste des collaborateurs néo-cons qui ont formé ce qui était nommé le Project For a New American Century – qui constituait le cadre idéologique de l’ancienne administration Bush. (Source)
Il existe aujourd’hui des armes biologiques qui ont la capacité d’affecter et de tuer seulement certains génotypes particuliers, comme les Africains, Asiatiques, etc.
10• Le Georgia Guidestones a été érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis, en Géorgie, près d’Elberton. Il est surnommé le «Stonehenge américain».
Dix «nouveaux» commandements sont gravés sur les deux faces de 4 pierres érigées verticalement et écrits en 8 langues différentes qui sont: l’anglais, le russe, l’hébreu, l’arabe, l’hindou, le chinois, l’espagnol et le swahili. (Source)
Voici trois des dix commandements inscrits:
1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 (sic) individus en perpétuel équilibre avec la nature
2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité
3. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature
11• De 1932 à 1972, le Tuskegee Study Group a délibérément infecté des pauvres de communautés noires en Alabama avec la syphilis sans leur consentement et ils ont même refusé de les soigner alors que les malades faisaient des dégâts à travers la ville tuant des familles. Des expériences sur des sujets humains non-consentants et à leur insu, par des autorités qui disaient vouloir «observer» ce qu’il adviendrait de ces gens.
Pourquoi leurs donner de l’argent ???? Un billet de 100$ sa ce mange pas à ce que je sache !!! Ils sont en famine et non en faillite !!! Donnons leurs de la nourriture, des graines pour qu’ils puissent semer leurs champs et aidons les en leurs enseignant comment cultiver efficacement leurs terre ce serait beaucoup plus utile !!! L’argent ne se rendra pas à ceux qui ont faim donc ne donnez pas d’argent. Un sac de pomme est bien plus précieux, quand tu a faim, qu’un chèque.
« La famine en Afrique vous touche-t-elle? »
OUI.
« Que pouvons-nous faire pour changer les choses? »
Premièrement, enlever vos LUNETTES ROSES, alors peut-être que vos priorités changeront.
@David
Je suis bien d’accord avec vous. Mais les terres somaliennes ne sont même plus cultivables en raison de la terrible séchèresse qui sévit là-bas. Le réchauffement climatique fait aussi des ravages en Afrique (désertification). Mon sac de pommes sera transformé en compote après ce long voyage en Afrique… Il faut nourrir les affamés et ensuite trouver des solutions pour assurer leur autosubsistance. Rien de simple. Merci.
@Mme Stival
Peut-être que au lieux de dépenser des millions de dollars pour cloner un chien et le fendre fluorescent, pour modifier génétiquement des vaches pour qu’elles donnent du lait humain et toute les autres recherche coûteuses et farfelues, ont utilisait cet argent pour trouver de l’eau en Afrique ce serait plus utile dans l’immédiat. Je trouve que nous n’avons pas les priorités à la bonne place et que nous utilisons la voie de la facilité pour ce genre de problème. Envoyons un chèque d’une couple de millions au 2-3 ans et dormons sur nos 2 oriel, on a fait notre part……..