Selon le nouvel indice Vivre mieux (IVM) lancé par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), le Canada se classe en tête de peloton sur 34 pays membres.
Mesurer la qualité de vie et le progrès social des pays a la cote. Le développement économique est aujourd’hui étroitement lié au développement social, ce qui est une bonne chose.
On ne peut plus mesurer la richesse (produit intérieur brut) d’un pays sans examiner la progression du niveau de vie de ses habitants.
C’est d’ailleurs le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz qui a proposé dans un rapport d’améliorer la mesure de la croissance économique des pays la plus connue, soit le produit intérieur brut (PIB).
Avec cet indice, « l’OCDE a voulu s’intéresser plus précisément aux gens en mesurant ce qui compte pour eux», explique Martine Durand, directrice des statistiques de l’organisation. Il ne s'agit pas, par exemple, de calculer les dépenses de santé effectuées par un gouvernement, mais d'évaluer l'efficacité d'un système de soins dans tel ou tel pays », a-t-elle ajouté.
L’indice « Vivre mieux » évalue 11 sous-indices : le logement, le revenu, le réseau social, l'emploi, l’éducation, l'environnement, la gouvernance, la santé, la satisfaction générale, la sécurité et l'équilibre travail-famille.
À chacun son classement
L’OCDE ne présente pas sur son site Internet de classement officiel, chacun pouvant établir le sien selon l’importance qu’il accorde aux 11 critères. Mais si on donne la même pondération à chacun d’eux, le Canada et l’Australie prennent la tête du peloton. La Suède et la Nouvelle-Zélande font très bien en environnement. En éducation, la Finlande, la Corée, le Canada et le Japon se démarquent aussi.
Quelles sont nos faiblesses? La gouvernance et l’équilibre travail-famille. Dans le premier cas, on a mesuré le niveau de confiance des citoyens envers leurs institutions politiques (taux de participation aux élections inférieur à la moyenne de l’OCDE) et la liberté d’accès à l’information plus difficile (parlez en Stephen Harper!).
Bien que les femmes soient plus nombreuses sur le marché du travail au Canada que la moyenne de l’OCDE, les enfants en bas de 6 ans sont moins souvent inscrits dans une garderie que dans le reste des pays de l’OCDE. On souligne que le Québec fait bande à part grâce à « des politiques familiales plus adaptées aux besoins de la communauté ». Mais la qualité et l’accès aux services demeurent des enjeux importants pour tout le pays.
Que pensez-vous de ce classement? Quels critères mesurent le mieux votre qualité de vie?
—-et la liberté d’accès à l’information plus difficile (parlez en Stephen Harper!). ——
Ces simples mots : Sun TV ….. pas rassurant
——Mais si on donne la même pondération à chacun d’eux, le Canada et l’Australie prennent la tête du peloton.——
C’est la phrase clef du texte. C’est bien d’être à ce niveau mais que ça ne nous empêche pas de continuer à se battre pour avoir mieux. On peut comparer cette attitude à celle d’un rameur sur une rivière : qu’il cesse de ramer et il perdra tout la distance parcourue.
le probleme avec le taux de participation aux elections. C’est le manque de responsabilité des gens (ou peut etre la lacheté au quebec en tout cas) On veut beaucoup de chose mais pas l’effort qui va avec. OUPS j’ai dit effort y en a qui sont parti se caché. On veut du changement mais pas trop quand meme. en considérant que chaque changement demande des sacrifices et des efforts c’est pas demain que les quebecois vont faire de quoi. De toute facon, la grosse majorité des quebecois ont plus de 50 ans et a cette age ont prépare sa retraite et on protege ses acquis. Donc exit la révolution et les changements et f$ »% les jeunes qui vont payer les dettes. Pour ma part, aussitot que j’ai une opportunité je quitte le québec et f »/$ les vieux qui me bloque de partout avec des lois qui visent juste les jeunes et des taxes qui m’empeche de vivre et d’avancer et que chaque fois qu’il y a un probleme la solution c’est une nouvelle taxe ou la création d’un nouveau comité qui reglera rien de toute facon. Ce qui me choque le plus c’est quand je compare la vie que les baby boomers ont eu et toute la merde qui vont nous laisser. Et toute les stupides solutions qu’ils utilisent pour pas regler le probleme a la source. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?
@thurisaz | 28 mai 2011 12:02:24
Ta façon de penser est défaitiste. C’est excusable si nous considérons ton
découragement apparent. Réfléchis à la raison pour laquelle un Charest et un Harper
sont élus. Ne trouve tu pas étrange que l’immigration soit dirigé au Québec et à
l’Ontario? Ne devrait-elle pas servir à développer d’autres provinces comme, en exemple, la Saskatchewan.
En 2009, la population de la Saskatchewan est estimée à 1 023 810 habitants.
Ne serait-il pas logique que cette province accueuille tous les immigrants pour
quelques années, pour arriver, au moins, à égaliser la population de la ville de
Montréal?
Ne serait-il pas préférable que toi et d’autres comme toi, justement rebellés
contre toute cette merde, prennent en charge, comme futur ministre et premier
ministre, toute la destinée de la province et fasse en sorte que les choses
changent?
@thurisaz | 28 mai 2011 12:02:24
Je fais référence à ton texte par les deux phrases suivantes.
—-On veut beaucoup de chose mais pas l’effort qui va avec. OUPS j’ai dit effort y en a qui sont parti se caché.—-
—-Pour ma part, aussitot que j’ai une opportunité je quitte le québec et f »/$ les vieux qui me bloque de partout avec des lois qui visent juste les jeunes et des taxes qui m’empeche de vivre—-
Donc, toi aussi, tu songes à te cacher ? !
@thurisaz | 28 mai 2011 12:02:24
Si tu ne te bats pas, c’est que tu te sens désarmé.
Eh bien! Nous aussi, figure toi donc !
Mais, toi, tu es jeunes. Tu as encore le temps de participer au changement qui
s’impose. Alors, ne baisse as les bras. Propage autour de toi la bonne parole.
J’ai été un des rare citoyens à voter pour le Bloc Québecois. Pourquoi? Parce que
celui-ci, même dans l’impossibilité d’atteindre le pouvoir à Ottawa, maintenait une
sorte d’équilibre des forces.
Que Dieu ait pitié de nous, la merde s’en vient, moi je suis vieux, et toi tu veux fuir.
tu appel ca fuir??? merde pourquoi je me batterais pour une province fini quand je pourrais faire la difference dans une communauté francaise canadienne en dehors du quebec? Pourquoi je ramasserais la merde d’une génération qui est pas foutu de faire les effort pour redresser la barre pour de vrai. Qui pete de la broue en disant qu elle veut du changement tant que ca ne leur touche pas. Pourquoi tu pense que les levés de taxes son progressive? pour que les baby boomers payent pas leur juste part de la foutus dette du quebec. Plus je lis sur l’histoire du quebec plus j’ai envie de foutre le camp au pc.Le quebec est la province la plus taxé et la plus endetté du canada. Parle moi pas des foutus programmes sociaux du québec qui font juste gonfler la facture pour rien. la preuve les autres provinces en ont pas et ca marche aussi bien sinon mieux. Votre génération a fait un choix de société pas moi. Le party a eu lieu dans les années 70 et j’ai pas l’intention de nettoyer le bordel.
tu as voté bloc quebecois. Comme si ca faisait une difference. C’est les gens qui font la difference pas les politiciens. le probleme au quebec c’est que les baby boomers ont toute a gagner de ne rien faire et de laisser aux jeunes le bordel. Mais il a aussi un autre probleme la majorité des jeunes aujourd’hui ont pas de couilles je vois pas comment avec aussi peu de jeune comme moi qui voudrait vraiment que ca s’arrange de voir le bout du bordel. Je suis pas un saint et je perdrai pas ma vie pour une province perdu. Le quebec est l’avant derniere province la plus pauvre d’apres moi ont va les battre les anglais ont va etre les plus pauvres, les plus endettés et les plus corrompus Le quebec va devenir le terre-neuve des année 60 et c’est pas le plan nord qui va arreter ca.
Il en a un jeune qui a voulu faire du changement (mario dumont) . Les baby boomers autour de moi disaient qu’ils voteraient pas pour quelqu’un de plus jeune qu’eux. Jean charest engage pas de ministre en bas de 50 ans et personne ne s’en formalisent. Bien sur que je veux aller perdre mon temps en politique. Les vieux disent des phrases édifiantes comme ¨moi tant que j’ai ma pension je m’en fout¨ ou ¨moi la dette ca me touche pas c’est pas moi qui va la payer¨. wow vive le quebec.
Moi la seule solution que je vois c’est de partir, regarder le quebec mourrir et attendre que le quebec renaisse de ses cendres tout le reste c’est du temps perdu.
IL y a un autre obstacle majeur. Les quebecois aiment pas la confrontation et la chicane. On va aller loin avec ca.
thurisaz | 28 mai 2011 15:38:33
Va en Saskatchewan, la peréquation travaille pour eux.
Le Québec et l’Ontario contiennent 62% de la population du Canada.
La Saskatchewan n’a pas besoin de taxe provinciale, les taxes fédérales perçues en Ontario et au Québec leur suffise.
Alors ….
Il y aurait bien d’autres arguments à mettre dans la discussion, mais finalement je
me contente de te dire bon voyage. J’ai de la famille dans l’ouest … Alberta
Je suis désolé à propos de mon orthographe. Trop pressé d’écrire et de soumettre.
Je devrais, je sais, prendre le temps de me relire.
Dans mon texte précédent :
mots erronés……………correction
peréquation……………..péréquation
suffise…………………….suffisent
:D….:D….:)….:)..Je suis plus tolérant envers moi-même en ce qui concerne la
syntaxe.
@thurisaz
Je ne suis pas d’accord dans la lettre de tes textes mais par contre je le suis dans
l’esprit de celles-ci.
Étant donné le faible taux de natalité, la proportion de « baby boomers » dans la
population, dans 25 ans, le Québec verra sa population baisser drastiquement.
Les dépenses resteront fort probablement au même niveau. Alors, le fardeau de
chacun sera très lourd. Consolez vous car si aujourd’hui le tiers de la population
immigrante nous coûtent les yeux de la tête, les enfants de ceux-ci auront l’occasion
de payer la dette de leurs parents.
Le Québec reçoit 8.5 milliards $$ de péréquation par année (chèque de BS social que le reste du Canada donne aux provinces les plus pauvres (3) dont le Québec.
Le Québec est vieillissant et n’aime les immigrants. Les gouvernements de la province de Québec ont toujours réduit sa population à parler qu’une seule langue alors qu’on devrait tous être bilingue, on vit en Amérique avec une population de 300 millions anglophone où l’on vend 80 % de nos produits. La langue internationale est l’anglais.
Le Québec n’exploite pas ses richesses naturelles (gaz, pétrole) : trop polluant … On aime mieux que les autres provinces le fassent à notre place et mieux vaut chialer pour avoir l’argent.
Dieu merci ! Heuresement que le Québec est dans le Canada et que celui-ci est dirigé par un économiste, M. Harper, n’en déplaise à l’auteure de l’article Sophie Stival.
à Vegas11 (quel nom bien choisi)
Le Québec n’aime pas les immigrants? Qu’est-ce qui vous permet de dire cela. » Les gouvernements de la province de Québec ont toujours réduit sa population à parler qu’une seule langue alors qu’on devrait tous être bilingue, on vit en Amérique avec une population de 300 millions anglophone où l’on vend 80 % de nos produits. La langue internationale est l’anglais. » Ah ? Défendre une langue et le droit de la parler est donc condamnable selon vous. Si nous devons tous être bilingues, que faites-vous donc des unilingues anglophones du Québec, qui sont encore beaucoup trop nombreux. Et pourquoi donc le reste du Canada n’est-il pas bilingue, comme il se devrait? Ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas…
J’ai lu quelques commentaires. Le Québec, un peuple qui s’obstinent pendant 40 ans pour savoir la couleur de la margarine…. On est comme ça a chaque débat, gaz de schiste, colisée, gisement old harry. plan nord etc
Quand je vois des gens qui accusent les baby-boomers de tous les maux de la terre. Je fais partie de cette génération. On a eu à changer des choses. Au début des années 60 on s’est pris en main et on a fait les virages et mis les efforts nécessaires pour faire ces changements. Parce que nous on avait à payer pour être soignés, pour voir un médecin, nos frais scolaires. On avait à marcher pour aller à l’école, souvent à plus d’un mille de la maison et on faisait l’aller-retour le midi, dans la pluie ou la neige et ça ne nous dérangeait pas. Nos enfants, c’est nous qui avons payé pour les garderies familiales qui n’étaient pas subventionnées. Et pour payer tout ça, on travaillait 16 heures par jour, sans toujours quêter le gouvernement. On était les utilisateurs payeurs. On a aussi construit et payé les infrastructures que vous utilisez aujourd’hui et c’est nous qui avons payé LES STATIONNEMNTS de vos écoles et universités pour que vous puissiez y stationner vos automobiles, parce que nous, on en avait pas.
Les baby boomer ont bâti ce pays parce qu’ils ont travaillé, et aujourdh’hui qu’ils ont pris leur retraite et amassé ce qu’ils possèdent vous le leur reprochez? ¨ca prend souvent 2 ou 3 jeunes pour remplacer et faire le travail qu’un baby-boomer faisait. Et malgré tout on continue à payer des impôts et des taxes sur les revenus qu’on a .
Heureusement, les jeunes ne sont pas tous des braillards quki remettent leur responsabilités sur les autres. Il y en a qui se retrousssent les manches et qui croient en l’avenir et qui travaillent pour le bâtir.
Dans l’histoire de l’humanité, il y a toujours eu des braillards et heureusement aussi des gens qui ont contribué à faire le monde tel qu’il est aujourd’hui. Sans eux, on en serait encore à l’âge des cavernes.
@Claude
Étant un enfant de babyboomer, j’ai goûté aux études forcées jusqu’à un âge avancé, faute d’ouverture sur le marché du travail, aux entrevues ratés parce qu’on me trouvait trop jeune, aux salaires de misère et aux clauses orphelines. Je suis finalement devenue travailleuse autonome, comme beaucoup de gens de ma génération. J’ai pu songer à avoir un enfant dans la trentaine avancée. J’ai acheté ma première maison, un taudis situé sur un ancien terrain industriel, que je répare et décontamine au fil des ans, dans la quarantaine. On me dit maintenant que ce n’est pas certain qu’il restera de l’argent dans les coffres de l’état quand je prendrai ma retraite. Je n’ai jamais eu de médecin de famille. On me dit maintenant que ce n’est pas certain qu’il restera de l’argent dans les coffres de l’état quand je serai vieille et malade. Ce que vous avez contruit, vous l’avez construit pour vous, pas pour vos enfants. À vos enfants, il ne restera bientôt que la dette.
@Vegas11
Comme beaucoup de gens, vous oubliez de mentionner que 20% de la péréquation du Québec et des autres provinces est payée par les Québécois eux-mêmes et que si les Québécois n’avaient pas à payer 20% des subventions à l’industrie des sables bitumineux en Alberta, de celle de l’automobile en Ontario, de la guerre en Afghanistan, etc., il aurait assez d’argent pour se passer de la péréquation. Je n’ai aucune honte à recevoir cet argent. C’est juste un dédommagement pour être forcée de rester dans ce pays.
@Maurice Lalancette
Où êtes-vous aller chercher que l’immigration est dirigée vers le Québec ? D’une part, la langue des immigrants n’est pas un critère de sélection. Dans les faits, la proportion d’immigrants francophones est inférieure au poids démographique du Québec. D’autre part, les immigrants sont libres d’aller vivre où ils veulent au Canada.
Cette matrice d’évaluation ne tient évidemment pas compte des conditions de vie minables dans lesquelles vivent la plupart des Premières Nations. On leur arrache un pays, puis on dit qu’on va payer pour tout ce dont ils ont besoin et on les traite comme les derniers des derniers. Pas d’écoles, pas d’eau propre, pas de services dentaires et médicaux. Le Canada, pour eux, le pays au monde où vivre?
@Claude | 30 mai 2011 10:29:15
Bravo !Bravo !Bravo !Bravo !
C’est ça la réalité…. Certains être humains s’expriment à tort et à travers parce
qu’ils en ont assez. Ceux-ci, cependant, négligent de prendre un certain recul ou
un certain regard, disons, à vol d’oiseau, pourt avoir une meilleure vue de
l’ensemble.
Mon premier emploi, je l’ai eu à 14 ans, pour aider mon père. Nous étions huit
enfants. Nous n’étions pas sur l’aide sociale. Le docteur, c’est lui qui le payait…etc
Le nommé Vegas11….quelle blague….lorsque je travaillais je donnais beaucoup plus au fédéral qu’on en recevait. J’ai donné, dans le passé, presqu’autant d »impôt
fédéral dans mes prélèvements que les derniers salaires de pauvre de mes dernières années.
$1,200 dollars par tête de retour en équation….wow…. le jeune, je présume que c’est un jeune, oublie de calculer.
L’ontario et le Québec = 62% de la population du Canada
Les entreprises paient un pourcentage ridicule d’impôts après réinvestissement.
La classe moyenne, dans laquelle je fus, paient une sacrée beurrée d’impôt.
Et ce même Vegas11 dit que le reste du Canada, ce 38%, nous fait vivre.
Réveille toi, pourquoi penses-tu qu’ils ont eu peur qu’on se sépare. Ils nous abusent
comme on abuse des vaches à lait.
À Isabelle,
Mes enfants aussi sont allés aux études, et ils ne m’ont jamais parlé d’ÉTUDES FORCÉES, et tardives, au contraire. Je leur ai donné des outils pour qu’ils puissent gagner leur vie. Et eux, ils ne comptent pas sur le Gouvernement pour se préparer leur retraite, ils y songent maintenant. Ils ne restent pas dans des taudis contaminés comme vous le dites. Ils ont aussi eu à passer des entrevues et eux aussi on les a trouvés jeunes et pourtant… ils ont décroché de bons emplois et bien rémunérés.
Comme moi, ils ont eu à travailler pour gagner leurs études et je les ai aidés comme j’ai pu ,je n’ai jamais compté sur le gouvernement pour prendre ma retraite, car moi aussi j’étais travailleur autonome pendant 30 ans.
Je suis né dans un milieu pauvre et été orphelin en bas âge et j’ai commencé à travailler à 12 ans à écurer des étables et à laver de la vaisselle. Je me suis fais instruire comme j’ai pu et non de force. Alors quand vous venez nous dire qu’on a volé ce qu’on a aujourd’hui, vous repasserez.
Volez-en autant si vous en avez le courage et vous sortirez peut-être de votre taudis comme vous dites. Et n’attendez pas trop, car il y a plein d’immigrants qui rêvent de vivre votre cauchemar et qui saisirait volontiers la chance que vous laissez échapper.
@Isabelle Bélanger | 30 mai 2011 11:10:01
——Où êtes-vous aller chercher que l’immigration est dirigée vers le Québec ? D’une part, la langue des immigrants n’est pas un critère de sélection. Dans les faits, la proportion d’immigrants francophones est inférieure au poids démographique du Québec. D’autre part, les immigrants sont libres d’aller vivre où ils veulent au Canada.——-
Immigration Canada
Ontario 26,8 —- province florissante… coût de la vie beaucoup plus cher qu’au Québec…pas là ou s’installe un immigrant pauvre
Colombie-Britannique 26,1% — coût de la vie exorbitant…pas là ou s’installe un immigrant pauvre
Alberta 14,9% —- où la pénurie de main-d’oeuvre est cruciale
Manitoba 12,1% —- où je considère le pourcentage correct
Québec 9,9% —- où 1/3 des immigrants sont à nos frais
Saskatchewan 5,0% —- où il devrait y avoir une immigration massive
Nouvelle-Écosse 4,6% —- situation normale province très petite
Ile-du-Prince-Édouard 3,1 —- situation normale province très petite
Population : sera révisé le 28 janvier 2011
Saskatchewan 1,024,000
Terre-Neuve 509,200
Ontario 13,000,000
Québec presque 8,000,000
Manitoba 1,213,815
Alberta 3,786,398
Colombie Britanique 4,569,283
Nouveau Brunswick 753,383
Ile du prince edouard 142,828
Nouvelle Écosse 941,140
total 33,940,047
Nouveau-Brunswick 3,1% —- situation normale province très petite
Terre-Neuve et Labrador 1,6% —- province trop pauvre
La population de la Saskatchewan est estimée à 1 023 810 habitants.
L »immigration vers la Saskatchewan s’impose.
Ce qui a fait rater la séparation du Québec, ce sont les votes ethniques aux
circonscriptions cruciales.
Libres d’aller ou ils veulent, ça, c’est ce que le fédéral veut bien nous faire croire.
@Claude | 30 mai 2011 11:37:08
Encore une fois bravo !
J’ajouterai ceci : Les conditions de travail actuelles sont dûes à nos combats.
Pour ma part, j’ai travaillé dans des conditions terribles pour la santé, dans mon jeune âge, et ça ne pouvait même pas suffire à me payer un loyer. Alors encore moins des études poussées.
@Claude
Vous direz ce que vous voudrez : ce que vous avez bâti et que nous avons contribué et continuerons longtemps à le payer, nous en avons très peu profité. Vos enfants ont eu bien de la chance, car malgré la pluie de baccs qui a plu sur ma génération (j’ai une maîtrise, plus divers cours spécialisés, le tout avec d’excellents résultats), tous n’ont pas trouvé de travail relié à leurs études et bien peu ont pu recevoir un salaire à la hauteur de leurs études avant que vous commenciez à prendre votre retraite. On m’a même déjà refusé des postes parce que j’étais trop scolarisée et que j’aurais coûté trop cher ! Maintenant, on s’arrache les jeunes dans la vingtaine pour combler vos postes, car puisque plusieurs personnes de mon âge, déjà pas très nombreuses, se sont débrouillées autrement pour vivre, elles sont habituées à leur autonomie, alors elles sont moins malléables. La pension ? Comment économiser pour la pension quand on a des milliers de dollars en prêts d’études à rembourser ? Nous avons contribué aux coffres de l’état, alors je ne verrais pas pourquoi on n’aurait pas droit nous aussi à une pension et à des soins de santé quand nous serons vieux. Quand vous dites que vous étiez trois à faire le même travail que nous, vous vous mettez le doigt dans l’oeil. S’il y a eu une génération qui a subit les coupures et les fusions de postes dans les entreprises ces dernières décennies, c’est bien nous. J’ai personnellement déjà occupé un poste qui était la fusion de deux postes, pour 10 000 $ de moins par année que le moins bien payé des deux postes. Ce qu’on ne ferait pas pour payer son loyer ! Et vous venez me parler de courage… Du courage, nous en avons eu pour passer au travers de ces décennies où il n’y avait pas de place pour nous – nous avons été les champions dans la catégorie cheap labor surscolarisé – , mais contrairement à vous, nous sommes trop peu nombreux pour avoir une quelconque incidence sur la société. Nous aussi, nous avons de grands projets en tête, comme l’énergie verte, par exemple, mais nous ne faisons tout simplement pas le poids démographiquement parlant. Je suis heureuse que les jeunes dans la vingtaine puisse imposer leurs idées. Tout n’est pas perdu.
Il semble bien que, pour une partie de mes affirmations, j’avais tort….
Je me laisse emporter moi aussi. Cependant ma prose péremptoire a au moins le
mérite d’activer le débat et de participer à mon éducation…..:)….:)….:)
Politique d’immigration………source Wikipedia….Institut de la Statistique du Québec
Les immigrants ayant pour langue maternelle une langue autre que le français et l’anglais étaient déjà majoritaires en 1980 où ils comptaient pour 77,1 % des immigrants. Leur nombre a progressé pour atteindre 83,2 % en 2006.
Immigration au Québec en 2010[1][modifier]
Au cours des neuf premiers mois de l’année 2010, le nombre d’immigrants au Québec s’est élevé à 41 683 personnes, soit une augmentation de 10,3 % par rapport à la période correspondante en 2009.
Les dix principaux pays d’origine de ces immigrants sont:
Maroc : 4486 personnes;
Algérie : 3339;
France : 3033;
Chine : 2696;
Haïti : 2272;
Colombie : 1884;
Liban : 1360;
Moldavie : 1328;
Égypte : 1097;
Philippines : 1057.
La politique d’immigration du Canada est la responsabilité de Citoyenneté et Immigration Canada, un ministère du gouvernement du Canada. Le ministère est responsable du traitement des applications d’immigration (résidence permanente), de travail temporaire, des applications de réfugiés et des applications d’étudiants, en collaboration avec les ambassades et les missions diplomatiques canadiennes à l’étranger. Les provinces ont aussi l’autorité pour designer des individus qui s’adapteront bien au style de vie de leur province, grâce à un accord avec le gouvernement fédéral. La seule façon pour les immigrants de vivre au Québec est d’être selectionné par le Gouvernement du Québec. Il existe plusieurs catégories d’immigration, comme les travailleurs qualifiés, la catégorie de l’expérience canadienne, les travailleurs sélectionnés par les provinces, les investisseurs, les entrepreneurs et les travailleurs autonomes. Il est aussi possible pour les immigrants potentiels d’être parrainés par leur famille ou par un membre de leur famille qui réside au Canada. Seulement certains membres d’une famille sont admissibles à être parrainés pour s’installer au Canada. Si les immigrants choisisent de garder leur langue maternelle, ils le peuvent.
@Isabelle Bélanger | 30 mai 2011 12:34:07
Et moi, j’ai toujours été sous-payé par manque de scolarité. Un salaire à 66%
d’un universitaire pour le même travail. Mon éducation s’est fait par mes années de travail de ma jeunesse. Mes maîtres étaient aussi sur le marché du travail.
Maîtres et apprenti…..Qu’y a t-il comme différence? Le diplôme qui dit que vous aviez un professeur dans une institution.
La connaissance avec ou sans diplôme!
Un cheval pur-sang avec pedigree long comme le bras et n’importe quel autre demi-sang ou batard. Attelé à une cariole, seul tout ce qui est artificiel et axé sur
le snobisme trop souvent étalé, transparait.
L’essentiel : il tire tous une cariole.
@Monsieur Lalancette
La différence ? Des années sur les bancs d’école, de soirées et de fins de semaine à étudier et d’ emplois au salaire minimum pour survivre. Il y a sûrement des étudiants qui se la coulent douce, mais quand on veut d’excellents résultats, il faut bûcher. C’est dur, étudier et c’est normal que ceux qui passent par là soit récompensés par un meilleur salaire. Malgré mes nombreuses années d’études, je n’ai jamais travaillé dans mon domaine. Je suis travailleuse autonome dans un tout autre domaine que j’ai appris par moi-même et par des cours par correspondance. Ce cheminement a été beaucoup plus facile et vous avez raison sur un point : il est tout aussi valable quand le but est de travailler. Il est toutefois moins complet quand le but est d’acquérir des connaissances pointues dans un domaine.
Ben moi je suis 100% d’accord avec Isabelle et Thurisaz
Premièrement c’est vrai, Claude, que le baby-boomers ont travailler fort pour avoir ce qu’ils ont. C’est à dire avoir le droit de garder sa paye pour soi et laissé payer leurs enfant pour leur retraite et leurs médicament. Tu te pète les bretelles que tu n’a pas besoin du gouvernement pour ta retraite mais si demain matin je te coupe toutes tes chèques de pension que tu reçoit, tu vas être le premier à pleuré à TVA !!! Les gens de votre génération aiment jouer à la vierge offensée. Je vais vous parler de la vie d’un jeune de 22 ans et de la réalité de sa vie. J’ai fini l’école avec mon diplôme en main. Je loue un 31/2 pour 450$/mois, en région, ça m’a coûté 1500$ d’électricité à date cette année parce que la bâtisse où je reste (qui appartiens à un baby-boomer en passant) est à sacrer à terre tellement elle est finit. Mon propriétaire me rit dans la face quand je lui demande le minimum d’entretient que nécessite sa bâtisse (il a tondu le gazon 3 fois l’été passé et ne veux pas me laisser de tondeuse). J’ai eu toute la misère du monde à me trouver une job car la plupart des patron sont des baby-boomers et que la moitié d’entre eux n’aiment tout simplement pas les jeunes et l’autre moitié a peur de perdre sa place au profit d’un jeune qui n’aura pas besoin d’un syndicat pour lui assurer sa place. J’aimerais bien m’acheter une maison dans quelques années mais non, impossible car le baby-boomers qui a payé sa maison 100 000$ la vend aujourd’hui 500 000$ ce qui représente plus de 10 fois mon salaire comparativement à votre 3.5 fois dans les années 70. Mettre de l’argent de côté pour ma retraite ?? Ok mais comment qui fait le monsieur quand ça lui coûte 1.30$/litre pour du gaz qu’il se fait augmenter de 0.10$/l’heure à cause que l’entreprise a fait moin de profit que prévue mais que son boss, un baby-boomers, se paye une prime au rendement de 35 000$. Je paye de la RRQ et l’équivalent au fédéral mais les coffre seront vide à ma retraite. Quand j’écoute TVA, je comprend que moi et tout les jeunes sommes responsable de tout les fléaux de notre société. J’invite 2 amis à venir souper à la maison et les voisin se plaignent que je fait le party alors que quand eux invite 2 couples d’amis je doit fermer ma gueule. Quand je vais à l’hôpital, faut que j’attende 8h car l’urgence est pleine de vieux qui n’ont pas d’affaire là. Et quand viens le moment des élections, vous nous taper sur la tête que l’on ne vas pas voter et que l’on ne s’implique pas assez. Ben au dernière élection plusieurs candidat de moin de 30 ans ont été élus. Quel a été la réponse des baby-boomers : » Des flos qui savent pas comment se marche » »150 00$/ans pour un jeune de 19 ans c’est trop !!! » et j’en passe Pourtant si 150 000$/ans pour un jeune c’est trop, c’est trop pour un vieux aussi !!! Surtout si le vieux est là depuis 10 ans et qu’il n’a rien fait à part se garantir un pension.
L’État est controllée à 99% par des baby-boomers qui se votent des lois pour protéger leurs acquis sans pensé au futur génération. Mon prof d’économie disait que les travailleurs du temps de Duplessis vivait avec l’argent de la génération futur et ainsi de suite jusqu’à l’arrivé des baby-boomers sur le marché du travail. Eux ils ont hypothéqué l’avenir de 4 génération avec leurs valeurs de gauche et leurs mentalité du plus possible pour le moin possibles. Donc avant de dire que vous n’avez rien à vous reprocher, pensez donc au 60 000$/tête de dette commune que vous laissé à vos enfants, vos petits enfants et leurs enfants le soin de payer à votre place. Et n’oubliez pas que grâce à vous nous sommes l’endroit le plus taxé en Amérique, le plus syndicé et où l’État est le plus pauvre en comparaison au revenue moyen.
Isabelle Bélanger | 30 mai 2011 14:09:04
—–Il est toutefois moins complet quand le but est d’acquérir des connaissances pointues dans un domaine.——
Mon ancêtre, arrivé à la Malbaie, il y a quelque 270 ans, ensuite installé à Ste-Anne de la Pocatière, était chirurgien. Il pouvait être péremptoire en faisant valoir ses
connaissances pointues en médecine. Si nous pouvions lui faire traverser la frontière
du temps, il aurait très sûrement un accès d’humilité aujourd’hui.
J’ai des nièces qui ont un poste de responsabilité pour des entreprises très connues. Elles n’ont pas d’études universitaires et sont simplement formées
par leurs employeurs. Elles sont très bien payées.
N’oublions pas surtout que les connaissances pointues limitent les connaissances élargies.
Nous avons tous plus ou moins raison à des pourcentages différents.
Faire une synthèse de nos écrits nous rapprocheraient de la vérité.
Jean Gabin
dans « Maintenant je sais »
« Maintenant je sais…je sais qu’on ne sait jamais »
Comparer la chirurgie d’il y a 270 ans à celle d’aujourd’hui est totalement risible. Non seulement, vous nous avez indirectement forcés à aller à l’université pendant des années (en ne défendant pas notre place sur le marché du travail), mais en plus, vous trouvez que ce que nous y avons appris n’avait pas plus de valeur qu’une simple formation donné par un employeur. C’est typique de votre génération. J’ai un enfant à l’école primaire et ce qu’on lui demande d’apprendre comparativement à ce que moi-même j’ai appris au même âge est hallucinant. Les jeunes doivent en apprendre plus que leurs parents qui eux on dû en apprendre plus que leurs parents parce que la quantité de connaissances augmente de façon exponentielle avec le temps et que le marché du travail en demande toujours plus. Quand j’étais dans la vingtaine, on disait qu’il fallait avoir un bacc en journalisme pour livrer les journaux. C’était une exagération, biensûr, mais elle représentait bien ce à quoi nous étions confrontés quand nous cherchions du travail. Il y a des domaines où les connaissances n’évoluent pas beaucoup avec le temps, mais vos nièces n’auraient pas pu acquérir des connaissances scientifiques, par exemple, par une simple formation ou même sur le tas, comme ça se faisait beaucoup de votre temps. Ce genre de connaissances ne s’acquièrent qu’après de nombreuses années d’études.
Pour en revenir au sujet de l’article, le but de mes interventions était de dire que le même même indice aura chuté drastiquement d’ici quelques décennies, car lorsque vous ne serez plus là, ce sera nos conditions de vie qui seront évaluées et elles ne sont pas terribles et seront épouvantables dans pas longtemps. Moi aussi, je me demande parfois si je ne devrais pas quitter le bateau avant qu’il coule.
——C’est typique de votre génération. J’ai un enfant à l’école primaire et ce qu’on lui demande d’apprendre comparativement à ce que moi-même j’ai appris au même âge est hallucinant.———
Il en fut ainsi pour ma génération comparativement à celle de mes parents.
Mais probablement pas aussi marquée.
———Comparer la chirurgie d’il y a 270 ans à celle d’aujourd’hui———
Je ne faisais pas de comparaisons. Pour son temps, il croyait sûrement en savoir beaucoup….Ce que nous croyons savoir aujourd’hui et ce qui s’enseignera dans
270 ans comportera peut-être autant de différence
J’ai simplement dit ceci :
J’ai des nièces qui ont un poste de responsabilité pour des entreprises très connues. Elles n’ont pas d’études universitaires et sont simplement formées
par leurs employeurs. Elles sont très bien payées.
En aucun cas je n’ai fait de comparaison pareille, vous avec fait une conclusion.
Et implicitement j’exprimais ce qui suit : A quoi bon une formation universitaire
dans un domaine lorsqu’il n’y a pas d »ouverture.
Une petite note en passant : j’ai déja fait des travaux en informatique pour un
universitaire. Programmation en 3e génération. C’est lui qui a les crédits maintenant. Et une augmentation de salaire proportionnelle.
——–Moi aussi, je me demande parfois si je ne devrais pas quitter le bateau avant qu’il coule.——–
Mon grand-père a perdu beaucoup en 1929. Il s’en est sorti. Si une pareille situation
se représente, je m’en sortirai aussi. C’est une question de volonté et de
détermination.
Votre force de caractère ressort de vos textes. Vous n’avez pas à vous inquiéter
outre mesure. Les gens décidés forcent leur destinée.
+ 10000 avec Isabelle et tous ceux qui étaient de son avis.
Je suis « heureusement » dans la génération qui va prendre la place des baby-boomers ( j’ai 18 ans ). Je viens de retourner vivre chez ma mère parce que je n’étais plus capable de payer mon appartement + bouffe + électricité + chauffage avec un salaire minimum. Non, je n’ai pas de Ipod – Ipad, télé plasma et toute la technologie I-tech, ni de voiture comme la majorité des jeunes qui ne sont pas des » gosses de riches « . Le seul « luxe » que j’avais, c’était Internet ( On va me dire que vous viviez très bien sans, mais quand on étudie en Multimédia, on fait quoi sans internet?). Toute l’année je me suis épuisée à la tâche École 30h + boulot 35h souvent 40h + devoirs + projets + stage, et je devrais faire encore pire l’année prochaine. J’ai envoyé mon CV pour commis dans un hôpital, puisque j’ai été virée de chez McDo pour un Baby-Boomers. Je vais devoir travailler de nuit – si je suis acceptée. Mon rêve est de travailler chez Ubisoft, car c’est un des rares endroits où ils emploient des » jeunes » au lieu de garder leurs baby-boomers.
Je sens venir les remarques du style » nous on marchait pour aller en cours » » on avait pas d’ordi » » je travaillais à 12 ans « . Certes, on a le bus, l’ordi et l’âge légal pour bosser est de 16 ans. Mais de 1) le coût de la vie a beaucoup augmenté par rapport au salaire ( ex: Le salaire de ma mère a augmenté de 2 000$ en dix ans, et ma maison est passé de 180 000$ à 540 000$ en dix ans sur la même période) donc il faut travailler plus pour obtenir les mêmes choses 2) Il faut des études plus poussées pour avoir un boulot ( avant un sec 5 tu bossais partout, maintenant, un BAC t’as rien du tout ) donc + d’études. 3) Dans lesdites études, on apprend kyrielles de connaissances que vous n’aviez pas, en PLUS de ceux que vous aviez . 4) On s’endette très jeune pour étudier puisque que c’est important pour trouver un emploi, donc on peut pas épargner pour la retraite, et le gouvernement ne nous donnera rien, puisque vous avez tout pris.
Et ma génération n’est même pas la pire, puisque les jeunes dans la 20taine se retroussent les manches pour changer le tout ( y’a qu’à voir les élus du NPD. Bravo à vous! On va enfin être entendu!). Non, la pire, c’est celle d’Isabelle. Celle de ma mère. La génération X, qui n’aura rien du tout, alors que ma génération on peut encore espérer faire du changement. La génération X qui n’avait pas d’emploi, que tout était pris par les Baby-boomers et qui bossaient tout aussi dur qu’eux pour beaucoup moins.
Isabelle, je te souhaite bonne chance pour ta vie future! Tu as toute mon admiration pour ce que tu as accompli dans la vie, ce que peu de baby-boomers auraient eu le courage de faire. C’est des gens comme toi qui méritent d’être entendu!