Très tôt on a des décisions financières à prendre. Ça commence dès l’enfance quand nos parents nous versent une allocation hebdomadaire, par exemple. Bien vite on aura à payer ses sorties, à planifier épargner pour s’acheter une voiture ou encore pour se payer des études supérieures.
Ensuite, ça se complique encore un peu plus. On contracte un premier emprunt hypothécaire, on planifie sa retraite. Pendant ce temps naissent de nouveaux programmes : le REEE, le REEI, le CELI… Autant d’acronymes qui rendent confus plusieurs d’entre nous.
Comment fait-on pour avoir les connaissances, les compétences et la confiance en soi nécessaires pour prendre des décisions financières responsables? C’est à cette question que souhaite répondre le groupe de travail sur la littératie financière.
Oui, c’est un mot (littératie financière) bien compliqué pour rien, je vous l’accorde. Mais les intentions de ce groupe de travail sont louables. Beaucoup de gens qualifiés ont proposé des solutions afin d’aboutir il y a quelques jours à une stratégie nationale, un plan d’action pour améliorer les connaissances financières du grand public canadien et québécois.
Dès la petite école
Et la plupart s’entendent sur le fait que tout devrait commencer à la petite école.
Dès le primaire, on devrait inculquer des connaissances de base sur les questions financières. Au fur et à mesure que les gens vieillissent, on doit continuer à les éduquer sur la meilleure façon de gérer leurs finances personnelles.
Par exemple? Comment (et quand) acquiert-on une première carte de crédit? Comment sont calculés les intérêts? Comment magasine-t-on un emprunt hypothécaire, une assurance auto ou habitation? Comment ouvre-t-on un compte lié à un régime enregistré? Toutes ces décisions nécessitent d’avoir les connaissances nécessaires si on ne veut pas faire de mauvais choix.
En plus de cours et de séminaires tout au long de la scolarité, il faut également joindre les gens à toutes les étapes de leur vie. Le groupe de travail propose des concours à l’intention des jeunes, de la formation en milieu de travail, des programmes gratuits offerts par des organismes bénévoles et enfin, plus d’informations et de transparence de la part des institutions financières. Des propositions pleines de bon sens.
Notre relation à l’argent est souvent malsaine. Certains disent même que les Québécois sont nés pour un petit pain. Il est temps de déboulonner ces mythes et de se prendre en main. Et ça commence par une meilleure compréhension de nos finances personnelles.
Qu’en pensez-vous? Êtes-vous d’accord avec ces propositions?
Pas une mauvaise idée. Après tout apprendre à hurler correctement parmi les loups prépare mieux
chaque individu. Cependant y ajouter des valeurs morales serait grandement nécessaire.
Et si on entend par petite école, la maternelle ou la première année scolaire….oh la la!
Ceux qui ont des tendances de requins vont avoir les dents effilées à 20 ans.
À l’école, nous avons laisser tomber la religion. L’enseignement de la morale se dégrade. Que restera-
t-il?
N’oublions pas que l’argent n’est pas un accessoire religieux!
FINANCES 101 par Ben Bernanke, Président de la Réserve fédérale des Etats-Unis.
http://www.dailymotion.com/video/xgovse_la-politique-monetaire-de-la-fed-expliquee-vostfr_news#from=embed
C’est vrai que ce n’est pas à l’école ou à l’université que j’ai pris connaissance des rouages de la finance et de l’argent.
Mais ne devrait-on pas pas ajouter l’étude et le maniement des armes dès le primaire pour apprendre à défendre nos intérêts ?
Allez voir celà pour en apprendre sur la finance mondiale et son utilisation: http://www.dailymotion.com/video/xazfws_lets-make-money-part1_news
FINANCES 201 Oh Canada! Our sold and bought out land.
http://picasaweb.google.com/ohnocanada/OhCanadaMovie#5452543728926279634
L’État providence a détruit la famille.
Hors le juge Thompson, qui puisse se prendre pour Dieu le père, n’est qu’un branleur.
L’État s’amuse avec le poulailler… il n’y a pas de volonté d’émanciper le peuple mais qu’une recherche de moyens de lui vendre des frais financiers…. Comme l’État providence a détruit la famille, Une telle ingérence de l’État dans les affaires financières va créer un peuple de gens déresponsabilisé… ce qui fera l’affaire des prestateurs de services…
Traite le monde comme de la merde et ils vont te chier dans face.
On pourrait être des leaders mondiaux dans l’édification du nouveau monde mais on se fait faire des prêtes-noms du néo-Libéralisme: cotise pi écrase
C’est risible les CÉLI et tout… pendant que la Sureté du Québec dort dans son char et donne une amande punitive de $160 à un citoyen pour l’avoir filmé…
C’est la loi du plus fort pi c’est les guns qui baissent ma femme et c’est comme çà que çà marche…
FINANCES 301 Citation de Norman Montagu (ex-gouverneur de la Banque d’Angleterre).
« Le capital doit se protéger par tous les moyens possibles, à la fois par la combinaison et la législation. Les dettes doivent être collectées, les hypothèques saisies le plus rapidement possible. Lorsque, en vertu de la loi, les gens perdront leurs maisons, ils deviendront plus dociles et plus faciles à gouverner grâce au bras fort du gouvernement mis en oeuvre par un pouvoir central de la richesse sous le contrôle de grands financiers. Ces vérités sont bien connues parmi nos principaux hommes qui sont maintenant engagés dans la formation d’un impérialisme pour gouverner le monde. En divisant les électeurs par le système des partis politiques, nous pouvons les amener à dépenser leur énergie en se battant pour des questions sans importance. C’est donc par l’action discrète que nous pouvons obtenir pour nous-mêmes ce qui a été si bien planifié et ainsi accompli avec succès. »