Selon le Centre canadien sur l’apprentissage, les coûts économiques et sociaux associés au décrochage scolaire s’élèvent à 37 milliards de dollars chaque année! Cette étude établit un « lien direct entre le décrochage et la santé, les revenus d'emploi, la productivité économique, la criminalité et l'aide sociale ».
Comment (r)accroche-t-on nos jeunes sur les bancs d’école? Notre nouvelle ministre de l’éducation, Line Beauchamp, a promis d’envisager la possibilité de rendre la fréquentation de l’école obligatoire jusqu’à 18 ans ou l'obtention d'un diplôme (comme en Ontario). Un peu extrême comme approche, me direz-vous. Plusieurs moyens sont à la disposition des parents, des intervenants et des professeurs, mais chacun doit faire son bout de chemin et ça inclut les élèves!
Pourquoi décroche-t-on?
Un enfant qui décroche de l’école commence souvent par s’absenter. C’est pourquoi on accorde autant d’importance aux signes avant-coureurs du décrochage. Il faut aussi détecter pourquoi l’enfant ne veut plus faire l’effort d’apprendre et de réussir.
Il peut s’agir d’une difficulté d’apprentissage, de démotivation, de problèmes à la maison ou parfois d’un ado qui travaille trop et n’a plus le temps ni le goût d’aller en classe.
Dépistage à l’aide d’un logiciel
Les chercheurs universitaires Laurier Fortin et Pierre Potvin ont développé un logiciel qui permet d’identifier les élèves à risque de décrocher (questionnaire). Les ados de 14-15 ans sont habituellement ciblés par cet outil. Plusieurs dizaines d’écoles secondaires utilisent déjà cette méthode.
Le Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec (CTREQ) a aussi publié un Guide de prévention du décrochage scolaire, fort utile non seulement aux intervenants et aux professeurs, mais également pour les jeunes (site web pour eux) et leurs parents.
Ce guide permet de comprendre quel est le profil du décrocheur (comportements et attitudes) afin d’agir adéquatement en favorisant sa réussite grâce à des interventions appropriées.
Les 4 types de profil,
• L’élève « peu intéressé / peu motivé »
• L’élève avec des « problèmes de comportement »
• L’élève qui a des « comportements antisociaux cachés »
• L’élève « dépressif »
Le décrochage scolaire est un problème qui concerne l’ensemble de notre société. Les parents aussi ont un rôle important à jouer. Et l’enfant doit comprendre qu’il existe des outils pour s’en sortir, car abandonner ses études ne devrait jamais être la bonne solution.
Qu’en pensez-vous?
Autres liens :
Des moyens concrets pour accompagner nos enfants vers la réussite scolaire : cliquez ici
Décrochage scolaire (comparaisons de l'OCDE): 31 pays OCDE: 15%, Canada: 20%, Québec: 23%…
Il faut trouver le moyen de provoquer chez le jeune la satidfaction de l’apprentissage et les moyens que cela procure. La curiosité intellectuelle est souvent innée, alors dans les autres cas il faut motiver. Peut-être que cela devrait débuter chez les parents…La valorisation de la connaissance!!!! enfin ce serait mieux que le ‘je m’en foutisme que nous connaissons actuellement’.
Je me demande pourquoi nous les adultes, nous les gâtons tant les enfants…..comment sauront-ils qu’il faut travailler pour obtenir la moindre chose que l’on désire…..
Aimer son enfant est lui montrer à pêcher et non lui donner du poisson!!!!
Centaure.
Non a l’école obligatoire
Passer une lois pour que les depaneurs,pme,et grose compagnie ne peuve enbaucher en permanence une personne (JEUNE de 15-18 ans) qui na pas de DES.
Élevé l’âge minimal pour quitter les bancs d’école est une mesure qui rate sa cible:
Ceux qui n’ont déja pas leur diplôme ne l’auront pas d’avantage! Je crois que au contraire cela accenturais le problème.
Les jeunes qui peine a finir leur secondaire 5 en se disant « aller encore XX semaines et je peut c**sser mon camp! » seront totallement décourager.
La solution selon moi c’est de donner plus de plaçe a des diplômes secondaire professionnel. Les décrocheur fuient les aprentissages théoriques alors encourager ces jeunes vers des apprentissages manuels serait la voie.
Exemple type du garçon turbulant qui a horreur du français, des maths, des sciences et de tout ces adultes habiller en brun et beige qui lui disent des faires des devoirs et que c’est bon pour lui.
Si on lui dit: Hey mon gars si tu prend ça tu auras moins de français, de math et de sciences et dès que tu as fini B-A-M! Emploi rémunéré au dessus du salire minimum!!!
Mais en ce moment une minorité de jeunes on accès a cela. Ce n’est pas valoriser. On en parle pas!
Aussi il faudrait un système de prèts et bourse dès le 3 eme secondaire. Pour contrer le travail étudiant si tôt…
Quand on voit Charest contre Bellemare… çà donne pas le goût de participer. J’ai vu des juges comdamner un jeune vendeur d’auto usagé à payer pour la faillite de son boss… Le décrochage scolaire est une signe du désengagement devant la société de lèches-cul québeçoise. L’État est dans un contentement de mauivaise foi.
Térrorisé par la grossierté de la magistrature et de l’État en général… un diplome professionnel est une bonne application pour sa pensée…
Il y a des métiers comme plombier ou électricien qui demandent relativement peu d’étude et paye très bien.
Moi j’ai une maitrise et j’ai reçu des menaces de la GRC qui fesait un cover-up de fonctionnaires corrompu… mon entreprise de haute technologie est morte et les fonctionnaires sont toujours là… les études c’est moins important que l’entregens… le 3% de kick back…
Non à l’école obligatoire mais si l’élève ne termine pas son secondaire cinq il perdrait certains privilèges comme l’assistance sociale, bien-être sociale, soin médicaux etc…Voilà des mesures incitatives à continuer ses études! N’est-ce pas ?
@stéphane pouliot
… La volonté de participer à la société ne se pousse pas dans la gueule du monde avec des menaces sur le bien-être social et l’assurance santé…
Je prône le revenu minimal garantie et qu’on sorte de ce jeu d’étiquetter le monde… c’est un jeu qui plait aux fonctionnaires sado-mazo mais qui n’est pas associé à une économie performante… au contraire
Moi je dit oui à l’école obligatoire jusqu’à l’obtention d’un diplôme !!! Il faut arrêter de faire miroiter au jeune que même avec un secondaire 2 tu peut réussir dans la vie et lui faire comprendre que si il lache l’école il vas travailler au Mac Donald toute sa vie !!! L’idée d’empècher les entreprises d’embaucher un mineur à temps plein est exellente. Au IGA à côté de chez nous, ils ont engager un jeune de 14 ans, à temps plein, qui a décidé que l’école s’était pas important et que de toute façon en ce moment il travail et que c’est plus payant que d’aller à l’école !!! C’est aussi la responsabilité des parents de controler sont enfant. Moi chez nous c’était Tu lache l’école, chte criss dehors !!! Le jeune qui se ramasse à 15 ans obliger de payer sont loyé, sa bouffe, son cable, sont cellulaire, etc, vas comprendre assé vite merci que tu vas pas chier loin dans vie avec 10$/heure !!!
Il faudrait aussi restreindre l’accès au BS pour pas que ce jeune devienne un parasite de la société, payé à boire de la Laurentide dans sont divant !!! Apte à travailler mais sur le BS, Travaille ou crève !!! La société n’a pas besoin de gens comme toi !!!
Cela est bien pour les élèves qui ont juste des problemes de comportement qui travaillent trop ou qui sont démotivés mais je considère que c’est dangereux d’établir une telle loi pour ceux qui ont de réels problèmes d’apprentissage. Ceux-ci, même avec des efforts parfois surhumains ne réussiront jamais à atteindre le fameux diplôme. Cela risque de faire encore plus baisser leur estime de soi et de possiblement les emmener au suicide. Je valoriserait toujours l’éducation mais ce n’est malheureusement pas toute la population qui peut jouir d’une bonne éducation car les facultés intellectuelles élevées ne sont pas données à tous. C’est terrible parfois que l’on oublie que toutes les sociétés pour fonctionner doivent être munies d’intellectuels, de créateurs, de scientifiques, de techniciens et de bons manuels. Je considère qu’avec une telle loi, on oublie une proportion importante de la population.
Mme Sulyvan, je comprend votre point de vue mais je ne croit pas qu’il y aie tant de gens qui ont réellement des difficultées d’apprentissage. C’est facile de dire que tu a un problème quand tu ne veut pas faire d’effort pour le réglé. Moi j’ai un déficite de l’attention et j’ai quand même réussi mon secondaire avec des notes élevé. À mon école il y avait des otistes qui réussissait mieux que bien de mes amis qui passait leur temps à sécher les cour. En plus, avec la réforme, plus personne ne peut couler car la note la plus faible est D et cela équivaut à 65%. Et on s’entend pour dire qu’il n’y a rien de compliquer dans un secondaire normal avec des option de cour du genre technique de relaxation, art plastique, méditation, etc.
les jeunes qui decrochent devraient etre oblige de completer un secondaire 5 ou un professionnel cours. tant et aussi longtemps qu`ils ne l`auront pas termine ils ne devraient pas etre admissible a l`aide sociale . Donc motivation a retourner a l`ecole.
Bien, je crois que c’est une bonne chose, les jeunes qui ont de la difficulté et qui ont doublé leur année pour repartir en force et on bien besoin de cette nouvelle réforme. Car à 18 ans si tu n’as pas ton diplôme bien tu dois le complèter à l’école des adultes. Si les jeunes peuvent aller à l’école publique de jour jusqu’a 18 ans bien cela leur donnera l’aide qu’ils ont besoin. Ma fille et mon garçon ont été obligé de doubler 1 année et même deux mais ils réussisent très bien maintenant sauf qu’il y a toujours l’age qui nuit à ceux qui veulent se reprendre.
Et qu’est-ce qu’on fait avec ceux qui ne respectent pas la lo??i….DPJ?Prison?On poursuit les parents?..une autre de nos lois pas applicables!
L’école ne devrait pas être une obligation mais un droit.
L’éducation est à la fois un droit et une obligation. Il existe déjà une loi établissant l’obligation jusqu’à 16 ans. Rien n’empêcherait de faire passer la barre à 18 ans ou à l’obtention d’un diplome. Il n’y a aucun intérêt de glorifier le décrochage, de prétendre qu’il y aurait un droit à décrocher par la seule volonté de l’élève déprimé ou en trouble de comportement. C’est une étape déterminante dans la vie des gens et les laisser faire la gaffe qu’il regretteraient toute leur vie est la pire chose à faire.
Il faut des plans d’action pour que les élèves tourmentés trouvent un baume sur leurs tourments et fassent en sorte qu’ils obtiennent leur diplôme.
Le plus grosproblème vient plutôt du fait que depuis des années, on refuse de faire doubler un enfant. Les profs doivent alors passer plus de temps avec ces élèves qui n’ont pas les acquis et favorise le désintérêt des autres. Pourquoi faudrait-il avoir un secondaire 5 pour être un bon plombier? Tous n,ont pas les mêmes aptitudes scolaire, mais tous peuvent faire quelquechose et souvent, si au lieu d’emerder un élève avec les autres matières, on lui avait permis de toucher tôt à un métier, il aurait fini par apprendre la base du français et ferait un bon plombier!
Ce serait une bonne chose parce que je connais énormément de jeune qui délaisse l’école pour aller à l’école des adultes et ne sont pas plus avancés. Maintenant l’école des adultes doit mettre des règles pour ces jeunes étudiants qui se croient tout permis alors les vrais adultes se voient pénalisés. Déplorable parce que ces jeunes qui veulent être traités en adultes n’ont pas encore la maturité pour. Je ne dit pas que tous les jeunes ne le sont pas mais dans la vie une étape à la fois et à 16 ans bien souvent ils ne sont pas encore rendus là.
bonjour,
pour moi l ecole obligatoire serait bien pour certain jeunes . pour ca , le gouvernement qui dit, que ca lui coute tres cher le decrochage scolaire, ne pense pas a donner un salaire a les jeunes etudiants pour leurs apprentissages , qu ils font leur cour normal jusqu a 18 ans .
je pense, que cela motiverait le jeune, qui gagnerai un salaire pour apprendre .
le gouvernement penalise les parents en suprimant l allocation a 18 ans . pourquoi, ce meme gouvernement ne donnerait – il pas, une allocation a ce meme jeune adulte pour l encourager a poursuivre ses etudes. ou……..l ecole militaire , cela serait un choix a ce jeune adulte, qui devra choisir ( l ecole ou l ecole militaire ) .
Je suis bien d’accord avec Alain. Comment appliquer cette loi?
Il va en coûter tellement d’argent pour l’appliquer que ce serait bien plus sage d’investir plus pour donner un suivi, des programmes d’aide aux élèves en difficulté.
Je ne crois pas qu’apprendre de force donne un résultat. Dévellopper chez les jeunes le désir d’apprendre serait selon moi le meilleur investissement.
À tous ceux qui en ont contre les personnes sur le BS je dirais Attention! Seulement un petit pourcentage de gens profitent du système les autres sont dans le besoin réel.
Et je suis toujours surprise d’entendre les gens dénigrer les assistés sociaux comme si c’était de leur faute si le gouvernement est dans le « trou ». Que pensez-vous de tous ceux qui se remplissent les poches à notre détriment. Ils sont bien plus capables de mettre le pays en faillite que tous les assistés sociaux réunis.
Ah oui! en passant je n’ai jamais reçu d’aide sociale mais si j’en avais un jour un grand besoin je serais bien contente que ce soit possible.
Pour donner un encouragement aux jeunes de poursuivre leur étude pourquoi ne pas mettre un but a l’obtention d’un diplome.
Si le diplome était nécessaire a obtenir un permis de conduire cela pourrais les motiver.
Je suis un etudiant, j’ai 19 ans et je vais a l’ecole de soir au adultes. Les parents jouent un role cle mais parfois cela de suffit pas. Si dans notre vie on ne c’est jamais fait boter le cul et qu’ont nous a jamais appris a forcer et a perseverer alors qui le fera? IL FAUT + D’AIDE SOCIAL QUEL QU’IL SOIT DANS NOS ECOLES !! Il pourrait engenrer de moin grosse perte pour notre societe qu’on cheri tant…Je suis tout a fait d’accord avec l’alternative d’YVETTE !! Le choix entre l’ecole millitaire ou ecole reguliere (mieux adapter selon nos propres besoin) L »armer a besoin de monde ses temps-ci !!
Je ne dis pas ca parce que mon propre but est d’y allez mais que dans l’armer il y a a peu pres tout se qu’il y a dans notre societe (par exemple: Dentiste, mecanicien, Thecnicien en electronique) en plus de nous apprend c’est quoi etre dicipliner et de l’appliquer.
Salut, la volonté d’apprendre est un choix, et quand cela est une obligation, ce n’est plus un plaisir et on ne se sent pas motivé à apprendre. Je sais bien de quoi je parles. J’ai décroché l’école à 15 ans (maintenant j’en ai 24), et sans regrets, je préfère vivre mes expériences et développer mes propres connaissances, plutôt que d’apprendre ce que l’on tente de nous inculquer durant notre adolescence.
@Moi
C’est justement à cause du monde comme toi qu’il veulent passer une loi de même !!! Qu’est ce que tu a bien pue apprendre par toi même de plus utile que ce que l’ont apprend à l’école ???? Regarde toi, regarde ta situation, peut-être quelle est bien pour quelqu’un de 24 ans mais quand tu sera rendu à 50 ans et que rien n’aura changé pour toi tu regrettera ton choix !!! Moi j’ai 21 ans et je peut te dire que beaucoup de mes amis qui ont décroché veulent retourner à l’école car il sont tanné de gagner le même salaire depuis qu’il ont laché l’école. Souvient toi aussi que peut importe l’emploie pour le quel tu vas aller postuler, à compétence égale, c’est celui qui a le plus de scolarité qui sera engagé. Les gens comme toi réalise l’ampleur de leur bètise le jour où il se compare à ceux qui était avec lui à l’école. Lorsque tu réalise que tes amis de l’époque ont un bon emploie, stable, à l’année, la maison, le beau char, la femme, les enfants, un chalet, un bateau et que toi tu a ta petite minoune, ton 4½ pis ton chomage l’hivers, que tu réalise que l’école était peut-être pas aussi inutile que tu le pensait !!!
Oui diriger les jeune sur le point de décrocher vers un DEP peut être une solution mais pas à 15-16 ans car à cette age tu ne sait pas ce que tu veut faire dans la vie. C’est en étant franc, direct et crue envers c’est gens l’à que tu réussi à les raisonner et là je parle par expérience. J’ai une de mes amie qui a toujour voulue la grosse cabane, le char de luxe bref la grosse vie sale, mais qui a laché l’école en secondaire 4. Un jour elle s’est mise à ce plainde qu’elle avait de la misère à arrive à la fin du mois et qu’elle n’aimait pas trop la direction vers laquelle elle allait. Je lui est répondue : Ta pas fini de regretter pis j’espère que tu aime ta vie en ce moment parce que sa vas être ca ta vie pour les 40 prochaine années !!!! Crue vous me direz mais sachez que rendue à l’automne elle est retourné à l’école et en ce moment elle fait une technique au Cégep.
le gros char et tout l’ensemble ? Personnellement ça ne m’effleure pas l’esprit, je me sens bien au dessus de tout ça. Je préfères m’enrichir spirituellement et non pas physiquement.
la liberté est avant tout faire ce que l’on veut faire, apprendre ce que l’on est forcé d’apprendre ne m’intéresse donc pas du tout. Laissez donc les jeunes apprendre ce qu’ils leur plaient, plutôt que de les former comme personnalités déjà toutes faites. La diversité c’est ce qui fait la richesse de l’espèce humaine.
Et note bien que je ne suis pas du tout contre l’enseignement, je serais plutôt du genre pour l’accès à la scolarité gratuite pour TOUS et à TOUT les niveaux. car si l’on doit payer en plus pour le savoir…
Et d’abord pour David, c’est en répondant point par point aux idées communément reçues, avec un idéal comme quoi il faut une bonne éducation, plein d’argent et de biens matériels, qu’on ne pourra jamais résoudre le problème du bien-être et du bonheur universelle. c’est en maintenant le cap vers la recherche un peu égoïste du bonheur pour soi-même, que le monde est condamné pour toujours à ce que certains soient heureux, et d’autres malheureux.
Il faudrait une refonte totale de nos valeurs humaine, et aussi de notre système éducatif. Je me repète : il faudrait commencer par introduire la gratuité de scolarité pour tous. Une éducation obligatoire de base pour les enfants, et ensuite choisir notre propre voie en nous en laissant la possibilité en toute liberté pour ceux qui en ont fait le choix.
Le problème est loin d’être le fait de décrocher. Le problème est de demander a des jeunes entre 15 et 18 ans de choisir ce qu’il veulent faire plus tard dans la vie.