Dans le dossier du financement des partis et de la présumée collusion dans le milieu de la construction, une commission d’enquête publique doit être instituée. Ce que dit le juge à la retraite, John Gomery, est plein de bon sens. Une enquête policière qui cible certains individus n’est qu’un pansement sur un problème beaucoup plus important. Et l’un n’empêche pas l’autre. Il est plus efficace « de déterminer la cause d’une maladie avant d’administrer un traitement à un patient », rappelle le président de la campagne de financement du parti Projet Montréal de Richard Bergeron.
Une commission d’enquête publique n’a d’ailleurs pas le même objectif. L’argument de laisser le champ libre à la police est un prétexte commode qui permet d’éviter les explications qui s’imposent à la population. Retarder une telle commission n’est pas non plus une bonne chose. Si la Sûreté du Québec prend autant de temps que l’Autorité des marchés financiers à boucler ses enquêtes, ce n’est pas demain la veille que l’on connaîtra le fin fond de l’histoire. C’est pourtant l’utilisation responsable des milliards de dollars injectés par Québec et Ottawa pour les infrastructures qui est en jeu.
Les policiers récoltent des preuves et tentent de trouver des coupables. Or, dans notre système de justice, la présomption d'innocence des accusés est fondamentale. Tant qu'un individu ne plaide pas coupable ou qu'un juge ne le condamne pas hors de tout doute raisonnable, on ne peut lui imputer une infraction criminelle. Dans le cas des caisses électorales occultes, son nom le dit bien, ce n'est pas simple de trouver les vrais coupables.
Enfin, le désir de transparence du gouvernement Charest bien qu’il soit louable ne réglera pas grand-chose. Revoir la loi électorale qui encadre le financement des partis politiques pourra clarifier qui donne quoi dans le cas particulier des dons anonymes, mais pour le reste, un fait demeure : les partis n’arrivent pas à s’autofinancer en respectant la loi. Rendre les choses plus transparentes oui. Mais avant, tâchons de comprendre à quel point la corruption est généralisée. Il est hors de tout doute que la justice ne peut à elle seule faire toute la lumière sur ce scandale.
M. Jean Charest doit abandonner son penchant pour les cachotteries et aller chercher la vérité sur ces crimes; on peut dire que M. Charest sème le doute au cas où il serait considéré par les citoyens.
Une Commission d’enquête publique est obligatoire, comme M. le Juge John Gomery le dit, est obligatoire. M. John Gomery est une personne juste, droite et impartial.
j en perd mon latin . a mon avis le scandale des commandites ,qui a fait l objet d une comission d enquete, est un gros stencil de la facon dont nos politiciens font pour piger dans nos taxes sans trop se faire remarquer et financer leur campagne electorale et leur pati afin de s accrocher au pouvoir et ce . a n importe quel prix.
on n a qu a penser au programme des armes a feu , qui a couté une vrai fortune au contribuables canadiens , qui est en fait qu une base de données sur les proprietaires d armes a feu et rien d autre
pour y voir encore une fois un beau systeme pour détourner des $$$$$ vers leur campagne et parti et meme vers leur propre gousset personnel.
maintenant on s apercoit que les contrats de travaux d infrastructures sont minés eux aussi par ce modele ou facon de faire et que les grandes villes aussi sont parvenues a faire de ce systeme de detournement de fonds public leur facon de faire ( scandale des compteurs d eau )
en resumé c est assez simple, tu me soumissionne un prix gonflé de 30 % ou 40 % , je te donne le contrat et tu me retourne de belles grosses enveloppes brunes pour moi et lors de la prochaine campagne electorale tu me prete du personnel soi disant benevole pour m aider a ganer les elections afin de continuer a piger dans les poches du bon peuple que l on est.
ensuite on fait face a de tres gros déficits budjetaires que l on attribue a la crise economique et financiere et on nous demande desefforts et de se serrer la ceinture. puis on se retourne puis on achete hydro NB pour effacer 40 % de leur dette pis on augmente encore nos tarifs a nous pour financer tout ca. CHERCHER L ERREUR bonne journée
une enquete publique c est bien beau mais cela ne dure qu un temps et ca recommence de plus belle.
la démocratie est malade et cancéreuse, on se gave dans nos taxes et ce , a tous les niveaux de gouvernement. federal,provinciale, municipal et commission scolaire. ASSEZ C EST ASSEZ.
le bon peuple doit se donner un outil de vérification indépendant de toute couleur politique qui ne sera pas nommé par les élus mais bien pour et par le peuple. outil qui pourra aller vérifier partout ou une piastre de nos taxes est dépensé afin de vérifier si elle l a bien été dépensé pour le peuple et toute la collectivité et non a des fin partisannes.
cet outil de vérification aurait aussi le pouvoir de trainer les fautifs devant les tribunaux et de les juger pour vol et apres condamnation , de les obliger a rembourser le peuple des montants volés.
a défauts de le faire , cela donnerait le pouvoir de saisir les biens des fautifs , de les vendre et de rembourser ces montants au peuple.
les fautifs identifiés se verraient congédier d office sans prime de départ que ce soit et verraient leur fonds de pension mis a contribution pour rembourser le peuple avant de saisir leur bien ( maison ,placements,REER etc en plus de se voir condamner a des peines de prison si leur pécule est insuffisant a rembourser le bon peuple.
sincerement c est la seule facon de purifier le systeme ( démocratie ) de tous les abuseurs qui y sont incrustés depuis longtemps et , de ce fait, revenir a des surplus budjetaires dans tous les niveaus administratifs gouvernemental. bonne journée a tous les fonctionnaires que j ai pu traumatiser avec cet opinion et facon de faire . bye