Je l’avoue. Je ne croyais pas que la protestation étudiante survivrait jusqu’à Pâques. C’est chose faite. Les deux clans ont des opinions assez tranchées. Et de part et d’autre, on a mis peu d’eau dans son vin.
Il n’y a pas que chez nous où la hausse des frais de scolarité provoque un vif débat. L’an dernier, les universités et collèges de l’État de la Californie ont augmenté leurs droits et frais de scolarité de 25 %. Les étudiants américains terminent leurs études supérieures avec en poche une dette qui dépasse les 25 000 $, semble-t-il. Plusieurs d’entre eux sont en colère.
Pour dénouer cette crise, un regroupement d’étudiants californiens propose une solution digne d’intérêt, rapporte le blogue économie du magazine The Economist. Cette mesure permettrait aux étudiants de ne payer aucuns frais pendant leur scolarité tout en étant redevables à la société lorsqu’ils seront sur le marché du travail.
La solution proposée par Fix UC est ni plus ni moins l’échange du passif actuel des étudiants (dette) contre un actif financier diminué (salaire) dans le futur. Autrement dit, en sortant de l’école tous les diplômés paieraient un pourcentage fixe de leur salaire pendant 20 ans. Ceux qui gagnent entre 30 000 $ et 200 000 $ annuellement verseraient 5 % de leur paie pendant cette période.
Ceux qui touchent moins de 30 000 $ ne paieraient rien pour leurs études. Ceux qui encaissent plus de 200 000 $ seraient limités à 10 000 $ de remboursement annuel. Ainsi, les étudiants qui choisissent des champs d’études moins bien rémunérés financeront dans une moindre mesure le système universitaire.
Il n’y a donc pas d’emprunts bancaires ni de fluctuations de taux d’intérêt à gérer. Chacun paie dans la mesure de ses revenus. Selon les étudiants, cette mesure rapporterait suffisamment d’argent pour financer tout le système universitaire public de la Californie.
Discriminer selon le revenu futur
Selon The Economist, ce n’est pas clair si les revenus engendrés sont suffisants pour garnir les coffres des universités. Ces dernières devraient également assumer plus de risque puisqu’elles financeraient à l’avance les étudiants. Il faudrait s’assurer qu’un système efficace de perception de ces redevances soit mis en place.
Le modèle américain discrimine déjà les étudiants selon le revenu familial. L’idée, ici, c’est de discriminer selon le revenu futur de l’étudiant et non, en vertu du revenu actuel de ses parents. On se rapproche du principe de l’utilisateur-payeur, il me semble.
Un étudiant en médecine contribuera davantage au financement des universités. Faut-il craindre que l’on investisse plus de sous dans ces facultés qui rapporteront éventuellement plus? Peut-être. Mais comme le souligne The Economist, le modèle actuel, où bien des étudiants doivent s’endetter lourdement pour obtenir leur diplôme, rend déjà moins attrayant certains domaines d’études.
Les prochains jours seront déterminants, tant pour nos étudiants et le gouvernement. Il existe plusieurs voies au problème de financement de nos universités. Des solutions mitoyennes, par exemple. Regardons ce qui se fait ailleurs et ouvrons le débat avant que seuls des perdants ne soient couronnés.
Pensez-vous que les étudiants et le gouvernement doivent trouver une solution de compromis? Laquelle serait acceptable?
Le fait de d’accroitre les prêts et bourse ressemble pas mal ça mais en prenant un autre chemin… Les étudiants ont craché sur l’offre traitant le gouvernemt de tous les noms. Ce qu’ils veulent c’est la gratuité, comme si la gratuité existait? Dans les faits ils veulent que ce soit payé par les autres. Ils ont grandi en voyant les guichets automatiques cracher du pognon en croyant ces machines magiques et ils semblent, malgré qu’ils aient vieilli, qu’ils le pensent encore.
A première vu ça semblerait l’idéal mais je rejoins aussi le commentaire de François mais je rajoute le fais que les étudiants devraient avoir l’obligation de demeurer dans leur communauté pour un certain nombre d’années car plusieurs pourraient s’expatrier pour éviter de payer. La question est comment faire pour récupérer cette argent que le gouvernement aura à continuer à financer de toute façon les universités.
Si on proposait aux étudiants d’ailleurs de ne payer que 17% de leurs frais d’études, il accepteraient à l’unanimité.
Je vais vous dire une vérité.
L’étudiant qui paie 2000$ de frais de vscolarité recoit en retour d’impot 1250 $ il lui en coute donc 748$. En effet les frais de scolarité sont déductibles aux deux gouvernements, de plus au fédéral 465 $/mois est accordé pour les études Post secondaire (annexe 11)
Pour 3000$ de frais de scolarité le retour d’impot est de 1602 $ donc l’étudiant paie 1398 $.
Ces sommes sont transférables aux parents si l’étudiant n’est pas imposable ou cumulatifs pour lui mème quand il travaillera, donc c’est de l’argent garantie.
Au Cégep ou il n’ya pas de frais de scolarité le retour d’impot est de 7oo$ aux mèmes conditions. (Annexe 11 Fédéral) Merci
Ceux qui sont pour l’augmnentation des frais de scholarité sont en générale des gens peu instruit qui sont jaloux des gens qui sont plus intelligent qu’eux. Malheureusement la majorité de la population sont stupide ….. alors ca donne ce que ca donne.
La violence physique ou verbale ont deux choses en commun: Le manque d’argument et d’intelligence. Je constate que ceux ici qui semblent pour la hausse dans leurs commentaires s’appuient sur des arguments pour justifier leurs dires et ce sans insulte. Quel dommage qu’il existe des Oli qui n’ose pas s’identifier convenablement qui insultent ceux qui ne partagent pas leurs vues. Avec de tels commentaires dégradants leurs messages n’a pas une très grande porté; Heureusement!
Selon moi, le gouvernement québécois n’est pas à l’écoute des étudiants et de ses concitoyens. Les étudiants parlent de frais de scolarité et non de prêts et bourses. Je viens de perdre une session d’étude malhonnêtement. Je suis d’accord pour une hausse progressive de 10 ou 15% par année et non une facture salée qui empêcherait les moins nantis de la société de poursuivre leurs études. Le gouvernement ne doit pas mettre à l’écart l’électorat étudiant et les prochains élus de la société. Une rencontre doit entre le regroupement des étudiants et le gouvernement doit se faire dans l’immédiat afin d’arrêter cette hémorragie sociale.
Ah oui la super Line Beauchamp qui propose des prêts et bourses bonifiés pour les étudiants dont les parents font 60 000$ et – dont l’enfant n’a AUCUN salaire. Bien évidemment, ajustable si l’étudiant et/ou les parents font moins??? Quelle proportion d’étudiant ne travaille pas du tout durant ses études? Et quelles familles font moins de 60 000$/année… C’est pas la majorité admettons. La maman caissière qui fait environ 10$/l’heure à 40 heures semaine fait déjà près de 21 000$/année. Si le papa est aussi caissier ils font ensemble 42 000$. Si l’étudiant fait 10$/l’heure et fait 15 heures/semaine ça fait 7800$… J’pense pas qu’ils vont avoir droit à un gros montant de prêts et bourses, pauvres eux ils font parti de la classe moyenne-faible. Lisez cesi ça vous allez comprendre. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201203/16/01-4506104-prets-et-bourses-la-classe-moyenne-quebecoise-est-la-plus-sollicitee.php
Il est malheureux de voir que le gouvernement ne veut pas prendre le temps nécessaire et s’asseoir avec les intéressés et disucter. Que ça prenne 1 jour, 1 semaine ou 1 mois, il devrait avoir une bonne discussion franche. Ce n’est pas qui à tord ou raison. C’est le manque de communication et que le gouvernement prenne une décision si drastique envers l’avenir du pays, car on sait très bien que tous ces étudiants sont notre avenir, sans même consulter, discuter, ce n’est pas réaliste. Est-ce que le gouvernement pensait que tout le monde allait accepter cette augmentation sans même dire un mot. Il est temps de révellier ce gouvenrement ou de le sortir de là!!!!
Monsieur Clément Pelletier, ce que vous dite est complètement faux.
Pour ma part et étant monoparentale, j’ai plus de 10 000 $ de frais de scolairité à mon actif et je n’ai jamais pu les mettre sur mes impôts car je ne fais pas assez d’argent pour les réclamer.
Ma comptable est fiscaliste, elle sait de quoi il en est question…
Les étudiant pauvres n’ont pas accès à ces remboursements.
C’est encore ceux qui on l’argent qui la récupère en bout de ligne…
PS: Désolée pour les fautes, j’ai tapé trop vite!!! lol
Je trouve le commentaire de Mimi plutôt pertinent. Je suis une grand-mère de la classe moyenne/moyenne qui a supporté ses 2 filles à l’Université dont 1 à l’extérieur de notre région. Quand on sait ce que ça implique comme couûts pour les parents… Elles ont travaillé toutes les 2 à la mesure de leur temps disponible… elles ont bénéficié du minimum de prêt (jamais de bourse pour elles) les parents vivant ensemble. Il aurait été plus profitable pour elles que nous soyons séparés pour qu’elles bénéficient de bourse, alors… où est la justice sociale? Nous vivons dans une société où les valeurs ne priment plus. Je suis d’accord avec la proposition Californienne. Il suffirait que le gouvernement porte ses culottes et mette en place un système de prélèvement à même les revenus futurs des diplômés (il le fait si bien lors du rapport annuel d’impôt…). PRENDRE LE TEMPS DE SE PARLER… C’EST ENCORE LE MEILLEUR MOYEN DE S’ENTENDRE…
Mme Iza
Si l’étudiant n’est pas imposable et que les Parents ne le sont pas non plus, alors ces montants sont cumulatifs année apres année, et quand cet étudiant travaillera il aura 1 an 2 ans ou plus sans payer d’impot, je le sais mon fils l’a fait. Alors ce n’est pas faux du tout
Juste un petit commentaire à Isa qui écrit concernant les impôts. J’ai terminé mes études avec plus de 20 000$ de dettes (aucune bourse) l’année dernière. Depuis la fin de mes études l’année dernière, je travaille au salaire minimum (deux emplois). Cette année a été la première année ou j’ai pu obtenir mon retour d’impôt concernant les frais d’études. Tous mes impots me sont revenus… Et il me reste encore plusieurs de ses frais en « storage » pour l’année prochaine pour mes impôts à venir. Vous allez avoir votre retour d’impôt, mais c’est lorsque vous allez commencer à faire de l’argent. Bonne nouvelle, il me reste que 5000$ de dettes. (Une grosse année de compromis a portée fruit)!
De plus, un petit commentaire pour ceux qui disent que l’université doit demeurer accessible pour les plus nantis. Les plus nantis ne terminent pas leur secondaire. Ils vont dans des écoles secondaires sous financés et mal encadrés. Ils ont des parents qui ont de la difficulté à mettre de la nourriture sur la table, des heures de travail irrégulières et des fois des problèmes dans la demeure. Ainsi, Les plus nantis se rendent beaucoup plus difficilement à l’université. Les plus riches investissent tout leur argent et toutes leurs resources dans leurs enfants depuis leur naissance. Donc, les bancs de fac sont plutôt remplit de la classe moyenne et riche. Ceux qui se rendent à l’université sont les gens les mieux nantis quant à leur savoir et à leur chance de succès. Mon opinion est qu’il faudrait investire d’avantage pour éviter le décrochage scolaire afin d’avoir une véritable égalité des classes sociales. Ce n’est pas rendu à l’université que ca se joue.
C’est exact Mims ce que tu écris.
Quand mon fils a travaillé et qu’il a récupéré ses impots he bien il a rendu ces prèts étudiants. Merci de de me justifier
Je pense que si on prenait le temps de regarder la situation à moyen ou long terme, on se rendrait compte que le véritable problème n’est pas tellement l’augmentation des frais de scolarité mais l’accessibilité à ces mêmes études.
Mon fils va avoir 25 ans, il a fait un retour à l’université à l’automne 2011. Il travaille environ 20 heures semaines et moi j’ai des revenus de moins de 20,000/année. Comme il était en appartement depuis déjà quelques années, il a fait une demande d’aide financière croyant aller chercher un montant de bourse qui lui permettrait de survivre pendant ses 3 ans d’études. Mais SURPRISE, pas de bourse pour sa subsistance, seulement le prêt pour payer ses frais de scolarité. POURQUOI?
Selon la loi sur l’aide financière aux études, il est encore considéré comme un étudiant qui dépend de ses parents… Résultat, il a dû revenir vivre chez moi et je n’ai pas les moyens de l’aider pour ses frais d’études et le quotidien me coûte plus cher que quand il n’était pas à la maison.
Les critères d’admissibilité aux prêts et bourses sont dépassées à mon avis et ne répondent plus à la réalité des familles d’aujourd’hui.
Ce n’est pas sur les prêts qu’il faut travailler Mme Beauchamp mais sur les bourses à ceux qui en ont besoin pour réaliser leurs rêves.
Oli! quel manque de classe devant une si pauvre argumentation! Ton propos est si prétentieux qu’il justifie à lui-mème cette hausse des frais. Retraité depuis peu, j’ai fréquenté l’UQAM et l’U de M. Bacc, maîtrise et 3 certificats. Et ce, sans aucune dette. Ni bourse ni prêt. J’ai tout payé moi-même en travaillant les fins de semaine et l’été, mes parents ne pouvant assumer les coûts. Et je suis pour la hausse !! Pour moi c’est l’équité. Tu veux un service, tu paies pour. Lorsque j’entends certains prétendre que l’avenir de notre société dépend des étudiants à l’université, vous me faites bien rire. De votre propre discours vous méprisez ceux et celles qui font un DEP ou encore un DEC technique. S’il y en a qui répondent aux besoins de notre société et qui la font évoluer, ce sont bien eux. Savez-vous que pour faire un DEP en machinerie lourde dans un centre reconnu il en coûte 45 000 $ à un étudiant pour un an? Et vous combien déjà ? Vous clamez haut et fort que plus tard la société profitera de votre savoir …Combien rapporte un étudiant à la société lorsque celui-ci gradue en ‘Histoire de l’art’, en ‘Muséologie’ ou encore en ‘Théologie’ et qu’il se ramasse sans emploi au bout de 3 ans parce qu’il n’y a aucun débouché dans ces sphères ? À 12 000$ par année par étudiant pour étudier dans ces domaines, l’avenir de notre société n’est pas très reluisant. Faudrait-il alors supprimer tous ces programmes qui ne mènent à rien et dans lesquels se complaisent les prétentieux? Il est que temps que vous descendiez de votre nuage de pseudo-élite juste parce que vous fréquentez l’université.
Si toutes les entreprises du Québec parrainaient 1,5 10, 100 étudiants en payant leurs frais de scolarité avec la possibilité de déduire ces frais en dons de charité le système ne s’en porterais que mieux.Tout le monde y trouverait son compte et ceux qui se trainent les pieds…fini…. l’entrepreneur coupe les vivres. Pas facile toutefois d’établir les règles, a vos crayons les étudiants les gouvernements et les entrepreneurs.
Hélas c’est toujours la même histoire !tout le monde veut tout est en plus faudrait se prostituer pour les erreurs de nos élues !moi personnes ne me demande un avis?c’est encore une combine gouvernementale ,Lucien Bouchard avait commencer à donner l’idée d’augmenté les services des étudiants(es) lui il es tmort de rire en ce moment…tout pour faire de l’argent …pourquoi ne pas faire les études tout simplement par internet (domicile ou autre moyen d’inspiration) ce que je décrire tout simplement que chacun paye pour son(sa) coefficience intellectuelle?faut choisir les études ou un ipad avec les vacances dans le sud ?oui je sais je suis dur.Mais faut reconnaître une chose sur 200000 étudiant(es) les 3 quarts d’entre eux vont décrochées ,moi même j’aurais aimé étudier!défois on est trop jeune pour étudié,moi c’est l’école de la vie ,d’ailleur aujourd’hui je me retrouve de puis même quelques année sur la solidarité avec un revenue de survit ,bien évidemment personnes n’en à rien à ciré!!!VBonne journée
C’est clair que sans parler, pas moyen de s’entendre!!! Il faudrait se donner les moyens d’un grand débat national là-dessus.
Pour ceux qui s’intéresseraient au débat de société : « éducation pour instruire, pour éduquer ou pour former? » je vous suggère d’aller voir sur YouTube « Inculture 2 » de Franck Lepage (en 16 parties, 2h30 de spectacle); même si dans son monologue il ne s’attarde que sur le modèle français, reste que son allégorie du parapente est non seulement hilarante, mais fait aussi preuve d’une acuité remarquable.
Tout est toujours question de CASH. Avant, pendant, après, qu’importe. Etudes, sports, loisirs, culture, image, vacances, jobs, écologie, santé, nutrition, justice, droits, guerres… nommez-les… Le CASH a toujours été de bon ton à toutes les époques, pour toutes les nations, en tout lieux. Il n’y a pas de religion plus universelle que c’elle-là ! Par exemple; l’écologie sera prise au sérieux lorsqu’elle permettera de faire autant de CASH (et un peu plus) que la pollution en a fait faire… Démocratie, droits de l’homme, équité… Dormez-bien les petits et surtout, rêvez ! C’est ESSENTIEL pour toute votre vie « active », on s’entend…
Nos étudiants se plaignent de la hausse des droits (frais) de scolarité,,,et non de la méthode de remboursement ou d’endettement.
Commencons dont par statuer sur notre systeme de prets et BOURSES,,ensuite nous pourrons parler du reste
Ils veulent aller a l’école gratuitement,,alors a quoi ca sert de se casser la tete avec un systeme de remboursement.
Le noeud du problème concernait l’accessibilité aux études pour tous. On craignait que la hausse proposée vienne limiter (voire réduire) cette accessibilité aux études. Le gouvernement s’est donc proposé de bonifier les prêts et bourses. Désormais l’argument de l’accessibilité ne tient plus. On a donc déplacé le noeud du problème pour parler de la gratuité des études. Nous avons maintenant l’heure juste. En fin de compte, l’accessibilité était un simple prétexte.
Je suis présentement étudiante à l’université, je n’ai ni prêt, ni bourses et selon moi, la hausse sera favorable. Après tout, l’inflation du coût de la vie augmente de 2% par an, alors pourquoi pas aussi nos frais scolaire?! De plus, le gouvernement paie déjà une grosse part que la pluspart des étudiants ignorent car ils sont mal renseigner. Si au lieu d’acheter des cafés et des mets (à des restaurants à services rapide que je ne nommerai pas), ils utilisaient cet argent pour mettre de côté, leurs dette serait moins élevée. Également, combien parmi eux ont un véhicucle et un prêt pour le rembourser? Au lieu d’acheter du superflux et des inutilités lorsqu’ils sont commencer à travailler à l’âge de 16 pourquoi n’ont-ils pas plutôt investi cet argent afin de pouvoir payer leur frais de scolarité?! Autre question, si leur session est annulée, vont-ils perdent les frais de 1 200$ qu’ils avaient engagé pour la session d’hiver? Irronie du sort.
J’ai moi même fait des études universitaires jusqu’au doctorat et j’ai payé mes études moi-même avec des prêts et ensuite des bourses. À partir du deuxième cycle universitaire, on est jugé indépendant des parents et on n’a le droit pleinement aux prêts et bourses. Ma mère ne gagnait que le salaire d’une simple couturière à domicile, donc un milieu assez pauvre. Je faisais très attention à mon argent et contrairement à beaucoup d’étudiants qui avaient appartement, auto et qui parfois faisait des voyages dan le sud, moi j’étudiais pour finir mes études rapidement. Et les étudiants sortent beaucoup dans les bars et consomment beaucoup d’alcool, on n’a tous entendu des histoires de party avec beuveries. La réalité est que beaucoup d’étudiants sont près à dépenser pour des cafés chez Tims, manger à la caf à gros prix, sortir toutes les semaines ou presque, les cellulaires, les iPod, les iPad… Moi, j’avais toujours mon lunch, je ne buvais pas, je restais chez ma mère… Je n’ai eu aucune difficulté à payer mes études et ensuite à les rembourser. Faire des études universitaires demandent des sacrifices. Je ne crois pas que la hausse de frais de scolarité va nuire à l’accessibilité, j’en suis le meilleur exemple, issue d’une mère monoparentale qui ne pouvait aucunement m’aider à financer mes études et dont le salaire ne dépassait pas 20 000$ avec trois enfants à sa charge. Par contre, dès l’âge de 15 ans, tout ce que je gagnais, je le mettais de côté dans des certificats dépôt car je savais que j’allais en avoir besoin plus tard pour mes études universitaires. J’avais assez d’argent pour financer mon premier cycle universitaire plus ce que je gagnais l’été. Je n’ai pas eu à travailler durant l’année scolaire. On doit être débrouillard et mettre notre argent pour financer nos études et non notre style de vie. Je ne suis pas certaines que beaucoup d’étudiants comprennent cette subtilité.
La Californie a beaucoup de barrières quand à l’augmentation de l’imposition sur le revenu et la taxation. Leur augmentation dans leur cas a vraiment rapport au fait qu’ils ne peuvent pas prendre l’argent ailleurs (surtout pas avec les Républicains qui disent non à tout comme des enfants de 4 ans).
Le montant prélevé du salaire ne considère pas si c’est une job temporaire ou non, si le salaire reçu est suffisant pour payer toute ses dépenses vitales ou non. Ce dont l’Economist ne parle pas, c’est la difficulté de trouver de l’emploi pour la jeune génération. Depuis 2008, la reprise économique c’est fait à 90% auprès du 1% le plus riche des ÉUA. Les étudiants californiens, en fait, n’aiment pas cette proposition alors je ne vois pas pourquoi les Québécois apprécieraient plus. Il s’agit pas vraiment d’un compris, mais d’une concession.
Si on prélevait 0.1% (1 dollar sur 1000) sur tous les transferts monétaires à la bourse de Montréal, on serait capables de presque en arriver à la gratuité scolaire. Nous devrions observer les pays qui ont de meilleurs systèmes comme la Finlande (#1 au monde) et en tirer des leçons plutôt que de regarder là où c’est pire que nous.
Je paie les études de mes enfants et je fait partie de la classe moyenne élevée. Je suis pour la gratuité scolaire. NON pas pour m’éviter de payer davantage mais parce qu’une société instruite est une société riche… et ça toutes les études s’entendent sur le sujet. OÙ ALLEZ CHERCHER L’ARGENT? Entre autres, dans mes poches. Quelques exemples, les régimes d’épargne étude… Qui en profite davantage? Les plus aisés tels que moi. ABOLISEZ-LES. Il est prouvé que cela défraierait une grande partie des frais de scolarité exigés. Autre avenue: Une taxe sur les objets de luxe (exemple, une voiture de 50 000$ ou une maison unifamiliale de plus de 500 000$, on y ajoute un taxe supplémentaire de x%.) Et, voilà que l’argent coule à flot et que les étudiants d’aujourd’hui mieux instruits dans l’avenir (donc, avec un meilleur salaire) font réussir eux aussi à participer à leur conviction collective d’aujourd’hui. Mais les élus ont toujours eu peur de toucher à ce point sensible des avars du système, entre autres parce qu’ils en font probablement partie et que leur coffre électoral se remplirait moins. Sont-ils là pour gouverner un pays qu’ils souhaitent prospère ou pour se donner du capital politique?
D’une maman qui paie et qui est prête à payer davantage pour la cause collective.
Allez, debout parents, c’est l’avenir de nos enfants, petits-enfants et de notre société qui est en jeu. Ne nous américanisons pas.
Aussi, puis-je rappeller à tous ceux qui se plaignent de la jeunesse d’aujourd’hui, de ses valeurs et de ses attentes, que vous, les vieux, leur avez enseigné.
Pour tous ceux qui utilisent les comparables avec d’autres pays, il faut toujours faire attention, tant qu’à se comparer, faut le faire correctement. Pas juste prendre pire ou mieux, autrement dit trouver le meilleur comparable, ensuite on pourra parler de chiffre.
Un pays qui : offres un système universel de pension, un pays qui offre l’assistance social sans trop de condition, un pays qui offre un système de santé gratuit, un pays qui offre une assurance médicament, un pays qui offre un congé parental (RQAP), un pays qui offres les garderie à 7$ jours,un pays qui offre une assurance auto pour les passagers (no fault), un pays qui offre l’électricité au même tarif, un pays qui offre des allocations pour enfants universel, un pays qui subventionne 88% des frais scolarité universitaire, un pays que nous avons la libre expression et le droit de manifester sans risque de représailles , et ce même pays doit avoir le même niveau d’imposition et de taxation que nous, si ce pays existe, nous pourrons alors nous comparé à lui, en mieux ou en pire.
Bon petite précision. Premièrement, tous les étudiants issus de famille pauvre, la hausse ne les atteints pas car leurs bourse est automatiquement ajusté en conséquence. Donc pour l’accessibilité aux études supérieurs pour les pauvres, le problème est réglé, IL N’Y EN A JAMAIS EU !!!! Deuxièmement, pour ceux qui ont un prêt, les programmes de prêts ont été bonifiés pour que non seulement plus de gens soient admissible aux prêts mais aussi pour couvrir les frais de logement et de subsistance en plus des frais de scolarité. Troisièmement, ce système de remboursement en fonction des revenues vient d’être instauré dans le dernier budget donc là aussi le problème est réglé, l’étudiant qui est allez perdre son temps à faire un bac en théologie dédira je crois 5% de sont 10$/heure au MacDonald pour rembourser son prêt durant 15 ans et celui en médecine remboursera le même 5% mais ça lui prendra 5 ans puisqu’il a choisit un domaine qui a de l’avenir et des débouchés. Pour finir, arrêtez de dire que le gouvernement n’écoute pas les étudiants car la ministre n’arrête pas de dire : « La hausse aura lieux mais nous sommes près à nous asseoir avec les représentants des association étudiantes pour trouver un moyen de minimiser l’impact de la hausse. » mais les étudiants disent : « Tant que la ministre annoncera pas que la hausse est annulé, nous ne discuterons pas !!! » C’est qui qui ne veut rien entendre là dedans ??? LES ÉTUDIANTS !!!!
»Aussi, puis-je rappeller à tous ceux qui se plaignent de la jeunesse d’aujourd’hui, de ses valeurs et de ses attentes, que vous, les vieux, leur avez enseigné. »
Nous les vieux, avons protéger cette démocratie, cette liberté, nous avons créer ce que vous cracher dessus aujourdui, et jamais, jamais je n’ai enseigné à mes enfants l’arrogance et le non respect des biens d’autrui
Il y a des nations en guerre civil dans le monde, mais ils ont tous une chose en commum, le respect de leur vieux. L’ouverture d’un débat inter-génération ne sera pas à votre avantage.
Plus je lis les commentaires, plus je constate qu’il est question de moi, moi, moi…
Je vois très peu de rigueur intellectuelle, mais surtout très peu de compassion pour autrui, que ce soit pour nos ainés, nos aïeux ou nos enfants. La guerre intergénérationnelle est bel et bien commencée.
C’est soit la collaboration ou la confrontation !
Mais ou prennent-ils leur argent pour les autobus,les pancartes et tout le reste.C’est encore nous qui payons pour ça.
On ne se rapproche pas du concept de l’utilisateur-payeur dans cette solution américaine (comme mentionné dans le texte), mais on s’en éloigne!! Pensez-y, ce concept affirme que celui qui utilise une quantité de services doit payer en fonction de cette quantité… La solution fait valoir que le diplôme coûtera plus cher à un étudiant gagnant plus au cours des 20 prochaines années (jusqu’à 200 000$ pour le diplôme si revenu le plus élevé), encore plus, que pour un étudiant dont le revenu est de moins de 30 000$, il n’y aura pas de remboursement. Est-ce qu’on peut vraiment affirmer que le diplômé avec de gros revenu a utilisé plus le système universitaire…
Faut savoir que la presque gratuité scolaire, est ce qui a permis a la province de Québec de sortir de la pauvreté. La culture et l’instruction d’un peuple est ce qui a de plus payant…grosse job pour instruit= grosse paye et gros impot pour la province….La gratuité scolaire est un investissement payant pour notre future en tant que sociétée. M. Charest et compagnie veulent sauver queques dollars aujourd’hui…et brimer le développement économique futur de la province….quel erreur grotesque et stupide!!
Il y a plusieurs solutions qui mériteraient d’être étudiées; celle mentionnée dans l’article n’en est qu’une. Le plus malheureux est que les mouvements de masse et la cohue des assemblées générales minent le climat qui pourrait être propice à une réflexion constructive sur la question.
Voici quelque chose à prendre en considération. Plusieurs ignorent que, dans les universités privées américaines (celles là où les frais de scolarité oscillent parfois autour de 50000$ annuellement, comme dans la Ivy League), une proportion importante des étudiants ne paie pas de frais de scolarité—pas seulement aux cycles supérieurs, ce qui est plus connu, mais aussi au premier cycle.
Ces universités sélectionnent sur le mérite académique, et à l’international qui plus est. Les étudiants les plus prometteurs sont recrutés et bénéficient de bourses qui couvrent souvent la totalité des frais de scolarité. Ces bourses sont financées notamment par les dons privés.
Pour le Québec, je proposerais une solution apparentée, mais adaptée à notre contexte. Une réforme complète du système de prêts et bourses, combinée à des examens d’entrée plus rigoureux. Ceux qui démontrent leurs capacités académiques obtiennent une bourse qui couvre les frais de scolarité. Ceux qui ne remplissent pas les critères doivent compenser pour le risque social en assumant une dette, et des prêts leurs sont donc offerts, possiblement selon un schème adapté au revenu parental. Les frais seraient de leur côté maintenus avec la hausse actuelle.
Cette solution faciliterait l’accès aux études en fonction du mérite, sans discrimination quant au revenu (ni contre la classe moyenne), et favoriserait la compétitivité internationale et la qualité des universités québécoises.
Monsieur Benjo!!
Vous dites que si tu vas à l’université tu vas faire un gros salaire et payer plus d’impôt! Mais d’où ça vient cette affirmation? C’est une prémisse qui date des années 70 fort contestable aujourd’hui. Allez voir les chiffres concernant les gradués notamment en droit au Québec et vous y verrez qu’à peine 56 % des finissants ont un emploi relié à leur domaine et que le salaire varie entre 19 et 24$ de l’heure. Savez-vous qu’un conducteur de grue avec un DEP fait 3 fois ce salaire en commencant? Alors qui paie plus d’impôt ? Un monteur- soudeur fait tout autant et le taux de placement frise les 100% .
M Duhaime….vous me faite bien rire a réecrire les vérités qui perdure depuis toujours…j’ai un fils qui est dentiste et une fille qui est actuaire et je vous assure qui a pas un conducteur de grue au Québec qui gagne mieux sa vie et de belle facon, que mes enfants…et de plus si ce que vous dite était une généralitée confirmé….y aurait pu grand monde dans nos universités….
Je crois sincerement que la gratuité scolaire, a tout les niveaux, universitaire ou pas….est la solution pour un bon développement économique. Les seules jobs qui ne se retrouveront jamais en chine a 2 ou 3$ par jour, seront simplement des Jobs qui nécessitent une instruction qu’on ne retrouvent pas encore en chine ou autres pays émergents….m Charest, agisser en bon pere avec votre peuple, et laisser nos jeunes s’instruirent facilement.
M. Benjo
Qui répare l’auto de vos enfants ? un notaire?
Qui a construit leurs maison ? un avocat?
Qui ramasse leurs ordure ? un comptable
Ridiculisé les ouvriers et leur utilité ainsi que le salaire. Je ne crois pas que l’université que vos enfants ont étudié a été construit avec des diplomés universitaire…
Chere Sylvain…
La supposée gratuitée scolaire ca commence au primaire, ca se continue au secondaire, ca se poursuit a peine au collégial et sa s’arrete la!!!!…..Peu importe le diplome que nos jeunes obtiennent…y a pas un diplome qui est pas bon!!!….Si on fait pas attention au bon gouvernement de m Charest…bientot….tu va avoir le choix entre manger….et payé le primaire de tes enfants!!!….La… tu comprend tu, l’enjeux!!!???
Je ne crois pas que vous ayez compris le sens, si tout les étudiants décroche un diplome universitaire, est ce que il y aura plus de travail, est ce que un notaire va ramasser vos ordures?
»Les seules jobs qui ne se retrouveront jamais en chine a 2 ou 3$ par jour, seront simplement des Jobs qui nécessitent une instruction qu’on ne retrouvent pas encore en chine ou autres pays émergents »
C’est vos propos, l’obligation jusqu’a 16 ans est une loi, oui pour un minimum D.E.S. oui pour le collégial presque gratuit, mais pourquoi payer des multi diplomé de l’université, pourquoi payer pour ceux qui passe 5 ans a faire un BAC de 3 ans, pourquoi financé ceux qui ne font pas d’effort. Pourquoi financé des secteurs sans débouché, pourquoi ne pas contingenté. Allez faire un tour dans les corridors vous serez surpris a quoi vos impot servent. Et quoi dire de l’exemple des professeurs, pourquoi il y a 2 justice actuellement, essayer de défier un ordonnance de juge.
Donc simplement respecter les gens ordinaire qui assure un confort a votre vie.
Et l’enjeux que je comprends de certain Québécois, ils ne sont pas fort en comptabilité.
si j’ai 1000$ de revenu, je ne dépense pas 1200$, a moins que vous vouliez laisser a votre enfants cette dette, ca je trouve ca Hypocrite de votre part, un cadeau !!!! une dette
Sinon on coupe ou dans les programme sociaux? BS, CPE, Allocation, RQAP, assurance médicament, dites moi ou ? dans les fonctionnaires ?
Donner votre nom comme ministre des finances. La journée que vous allez comprendre que les revenus de l’état viens de votre poche, vous allez peut etre arreter de demander autant et faire votre part.
La…je pense que y en a qui compennent pas l’enjeux de »LA GRATUITÉ SCOLAIRE »….Et de toutes les conséquences futur de sont abolition….Le gouvernement a réussi a nous faire croire que le déficit zéro est plus important que l’avenir de nos jeunes…Ca va vraiment encore plus mal que je le pensais!!
Sylvain…si tu cherche de l’argent…cherche la pas dans les poches des étudiants….tu en trouvera pas! Cherche plutot dans toutes les crosses des partis politiques qui te font payer les routes deux fois le prix pour financer leurs activitées partisanes et en profiter pour sans mettre plein les poches en meme temps!
Toujours les mêmes histoires, les partis, les autres, les députés, posé votre candidature dans votre comté.
Il y a une méchante différence en déficit zéro et une dette accumulé, le déficit zéro ne permet même pas d’arreter l’augmentation de la dette, juste l’intéret va la faire augmenter.Payer vous juste les intérêt sur votre hypothèque.
Si vous donner votre maison en héritage avec une hypothèque a 95% c’est un cadeau. Nous n’avons pas la même notion de cadeau.
Faites un essai, changer de discours ou couper ailleurs dans les autres programmes et services gratuit que vous exiger de votre gouvernement.
Sylvain, si j’étais un élu…la seule place ou je couperais pas…c’est l’éducation! Mais je te jure que de l’argent mal placé et dilapidé….ca serait pas difficile a trouver….mais les amis des amis et des amis…voudrait assurément tous me tuer!!lol
N.Y a t’il que Banjo et Sylvain qui commentent. Mon commentaire vous a posé problême ou quoi ??
DR Zoidberg a raison de mentionner que les universités du IVY LEAGUE ou du BIG TEN finance gratuitement les meilleurs étudiants pauvres des E-U et de l’étranger. En agissant de la sorte, il écrème les meilleurs parmi les meilleurs, c’est une autre forme d’élitisme, par le mérite vous me direz, mais ultimement c’est de l’élitisme aussi. Faut-il ajouter que toutes ces universités possèdent des fonds de dotation gigantesques. La plus petite des universités américaines possède un fond de dotation 4 fois supérieur à la plus grosse université québécoise.
Il existe une tradition aux E-U qui n’est pas très répandue ici au Canada, encore moins au Québec. Les plus riches des plus riches font des dons massifs à leur ancien alma mater. Nos citoyens fortunés devraient volontairement contribuer davantage. Pour terminer, bien que je souhaite que la gratuité scolaire prévale, je suis convaincu que ce n’est pas la solution. L’utilisateur doit rattacher un cout réel au service. Si tout est gratuit, les utilisateurs se dirigeront presque naturellement vers les professions les plus rémunératrices. Personnellement, je trouve que nous avons assez d’avocats à l’assemblée nationale et à la Chambre des communes.
La gratuité scolaire est loin d’être la solution car si il n’y a pas de coût relié aux études, à quoi ça sert de se forcer ??? Si je coule, c’est pas grave ça n’a rien coûté !!!! Et dites vous bien que dans le peut de pays au monde qui offre la gratuité scolaire, l’accès est encore plus difficile qu’ici car seul l’élite académique y est accepté et il y a probation et revois en cas d’échec. Et dans ces pays, un bac de 5 cours/session, ben c’est 5 cours/session, pas d’histoire de : »Ha ben là 5 cour c’est trop je vais en prendre juste 3 ça vas me laisser le temps de vivre un peut. » C’est 5 cours, si t’es pas content, la porte est par là !!!!! Et la folie de l’Université Laval de ne pas faire échouer les étudiants qui ne vont plus à leurs cours depuis minimum 3 semaine, c’est quoi ça ??? Je connait plusieurs personne membre d’ordre professionnel (avocat, notaire, ingénieur…) et sachez que les ordres professionnels sont en train de discuter de la possibilité de ne pas reconnaître les diplômes émis en 2012 justement parce que les étudiants vont recevoir leurs diplôme sans avoir suivit la totalité des cours n’y avoir réussi les examens finaux. Il y a un dicton qui dit que quand tu crache en l’air, ça te retombe en pleine face, les étudiants vont bientôt voir le balancier leurs revenir et quand il va frapper, il vas frapper fort !!!
pous vous changer les idée cliker sur mon nick je suis celibataire pseudo missangelina 🙂
Si je comprend bien, la « Solution Califourchonne » c’est comme pour l’écologie… c-à-d; on hypothèque l’avenir en peltant le problème d’aujourd’hui à la (les…) génération suivante. PET fesait comme cela il y a une vaingtaine d’années… voyons où nous en sommes… Dorval = PET et Mirabel = Pèter ! Içi, le gaspillage c’est comme un sport, un passe-temps, j’irais même jusqu’à dire que c’est le miroir de notre IDENTITÉ si chère pour certains… notre façon à nous de s’affirmer, de prouver qu’on existe… LE PLEIN AIR À PLEIN GAZ… si je comprend bien?!
« Le Jour de la Terre » ; Le Québec qui se dit le plus sensible à l’écologie… surtout quand il est éliminé des « SÉRIES »… Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre? 4% aux dernières élections, tout comme les précédentes… » LA STAG-NATION ». Voilà ce que le « LOOKISME » québécois cherche à camouffler! Une coquille vide résonne plus fort… S’pas?