Par Sophie Stival
Le conflit de travail (lock-out) qui perdure au Journal de Montréal n’a jamais soulevé de vagues en plus de 20 mois. Il est vrai que les parties ne négociaient pas très fort… Et la dernière offre rejetée mardi par une vaste majorité (89,3 %) nous rappelle combien ce combat est inégal.
Pour le citoyen ordinaire, la situation et les enjeux du conflit ne sont pas simples à comprendre. D’un côté du ring, il y a les 253 employés en lock-out, de l’autre, une quarantaine de cadres qui produisent un journal grâce à l’aide de pigistes et d’une agence de presse créée un peu avant le conflit et qui alimentent l’empire médiatique de Pierre Karl Péladeau (Quebecor).
Beaucoup de gens ont, dès le début du conflit, rapidement jugé de la situation. Après tout, ces salariés profitaient des meilleures conditions de l’industrie ou presque (des chiffres publiquement étalés par les patrons). Pourtant, ces travailleurs les ont toutes gagnées de haute lutte ces négociations depuis la création du journal en 1964. Pierre Péladeau, son fondateur, a toujours négocié durement, mais justement avec ses employés (selon leurs dires).
Péladeau père connaissait la valeur de ses artisans. Aujourd’hui, le Journal de Montréal est le plus grand quotidien francophone en Amérique (tirage). Malgré la crise qui a sévi dans l’industrie de la presse écrite, rien ne laisse croire que le JdM n’est pas rentable, au contraire (lectorat en hausse). D’ailleurs, les employés ont mainte fois demandé à voir les états financiers (profits annuels) du JdM, sans succès…
Quebecor et la concentration des pouvoirs
Au-delà des conditions de travail de ces 250 employés, on peut s’inquiéter avec raison des impacts sur la qualité de l’information et la diversité des points de vue qu’un tel conflit peut avoir. La convergence et la concentration dans le monde des médias ont été maintes fois dénoncées par de nombreux joueurs du milieu.
La Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) dans un communiqué publié cette semaine déclare :
Malgré « la nomination d’un médiateur spécial (…), l’offre de Quebecor s’est révélée si contraire aux valeurs fondamentales du journalisme qu'elle s'est heurtée à une fin de non recevoir. Ce rejet démontre crûment les dangers considérables de la concentration du pouvoir médiatique entre une poignée de mains. (…) Le plan de Quebecor pour le Journal de Montréal est un plan pour brasser de meilleures affaires, et non un plan pour assurer la pérennité de l'information. Ce plan détruit en effet une grande salle de rédaction en l’atrophiant au maximum — l’offre patronale ne conserverait qu’un journaliste sur cinq -— et en utilisant les autres sources du groupe de presse pour remplir les pages, sans aucune limite. Cette consécration de la convergence entrainera un inévitable appauvrissement de la diversité des points de vue. »
La liberté de presse est souvent tenue pour acquise dans nos démocraties. Or, la recherche de rentabilité à tout prix engendre de nos jours de véritables problèmes de concentration et de convergence dans les médias. Et ceci représente une entrave à cette liberté de presse, ne l’oublions pas.
Qu’en pensez-vous?
Autre texte :
Journal de Montréal : négocier quoi? (Chronique d’Yves Boisvert de La Presse)
Ce n’est pas de la négociation
c’est de l’imposition
si nous étions capable d’appliquer la notion de sodilarité le problème serait réglé en peu de temps.
Je suis, depuis les débuts, le conflit au Journal. Je n’ai aucune difficulté à imaginer la situation, puisque j’ai été moi-même au coeur d’un premier conflit dans la presse hebdomadaire, alors que nous avons fondé le premier syndicat de la presse hebdomadaire au Québec, à Joliette Journal, le journal fondé par Georges-Émile Lapalme, à Joliette. C’était une autre époque où le droit d’association était encore bien moins reconnu qu’aujourd’hui…Nous avons négocié la première convention collective pour notre petit syndicat de quatre journalistes. Jean Cournoyer était alors ministre du Travail dans le gouvernement Bourassa. J’ai fait partie également des journalistes qui ont fondé la fédération professionnelle des Journalistes du Québec avec Claude Beauchamp, Lysiane Gagnon, Gilles Gariépy, Guy Lamarche, et un autre journaliste de Radio-Canada qui est décédé récemment. Nous ne connaissions pas à l’époque les plates-formes, la concentration était vraiment à ses premiers balbutiements au Québec, et la presse hebdomadaire émergeait un peu dans la panoplie des publications au Québec â travers Le Petit Journal, La Patrie, et Montréal-Matin.
BONNE CHANCE À TOUS,
p.s. jE NE PEUX M’EMPÊCHER DE VOUS CITER UN PASSAGE DE BEAUMARCHAIS: La difficulté de réussir ne fait qu’ajouter à la nécessité d’entreprendre!
Voyons donc ! Péladeau est un grand philantrope qui ne cherche qu’à faire du bien autour de lui. Un genre de Mère Térésa des médias porté sur la redistribution de la richesse. On devrait le canoniser !
Je n’arrive pas à comprendre pourquoi la population continue d’acheter ce journal. Ou est cette solidarité, notre peuple est-t-il si égocentrique?…Si nous ne sommes pas solidaire de nos compatriote…le seront-ils quand nous auront besoin d’eux? Pour ma part, je boycotte tout ce qui est produit et vendu par Québecor et ce jusqu’au jour où ce géant retrouvera le goût de développer le Québec avec ses concitoyents et non de profiter d’eux.
Le seul moyen de négocier pour Péladeau est d’imposer ses réformes et ce a n’importe quel prix.Malheureusement cela a des conséquences qui souvent dépassent le caractere économique.Plusieurs employés de longue date (voir 25 ans) ne peuvent pas comprendre comment leur employeur oublie certaines considérations.C’est ce qui est arrivé a mon beau-frere qui s’est suicidé pendant le conflit du Journal de Québec.
M. Péladeau doit tenir tête à ces privilégiés de la vie. Ces employés ont de superbes conditions de travail.
Cette industrie traverse une période difficile et même si le propriétaire fait de l’argent avec ses autres filiales, il en a le plein droit, C EST À LUI LA BUSINESS !
Je ne crois pas que Peladeau s’attendait a recevoir un accord a cette offre. C’est certainement le concilliateur qui lui a mis de pressions a bouger.
Pour la poignee de jouranlistes que pourraient retrouver leur emploi, je ne peux concevoir dans quel ambiance ils auont a travailler. Je peux croire que tres peu d’entre eux seront encore au JdM apres 12 mois. Tout sera mis en oeuvre afin de les forcer a quitter ou se faire evicer un a un.
Bon nombre de lecteurs de JdM ont cesses la lecture de ce quotidien, espererons que des situations telles celles de la semaine derniere auront effet a en convaincre plus.
Les employés du journal de montréal on reçu un offre au début du conflit qui était une des meilleurs en amérique du nord. Ce que le père a batti, le fils ne peut le maintenir avec des salaires aussi haut. Je ne lis plus le journal moi même. Toute l’information est sur internet. Les médias écrit devront se réinventer. C’est comme les industries qui construisaient des disquette ou les disques en vinyle. Moi je suis content de Péladeau, il résiste au syndicat, et il est le seul a faire encore de l’argent en employant des journalistes à la pige qui sans cela n’aurait pas d’emploi.
Vous vous plaignez que PKP veut s’enrichire, bien vous aussi les syndicats vous voulez vous enrichir ! Un ou l’autre. Le gros bout du baton n’est pas entre vos mains malheureusement et tout ce qui vous reste à faire c’est chialer !
Pour ce qui est de la solidarité… Moi je suis solidaire au journaliste qui ont maintenant un emploi pendant que les employés en grève qui sont en grève chiale.
On ne peut pas être riche au Québec. C’est le problème de notre peuple et pourquoi jamais nous nous en sortirons. Ensuite ce sont les américains qui vont nous rentrer dedans ! Continuez à chialé sur les riches et continuez d’aller au Walmart encourager les jobs à 8$ de l’heure… C’est ces pauvres gens là qui ont besoin de syndicat, pas les employers du JDM.
le journal de montreal avant chaque sondage concernant les vente du journal distribut des tonne de copie aux entree du metro ce qui fausse les donnees du sondage faisant croire que ses ventes son toujours en hausse,comme ca il peut faire croire que tout va bien et qu`il na pas besoin de ses employer syndique,est ce que les employer doivent paye pour assure plus de profit a mr.peladeau
je trouve ca pitoyable de sa part
Le Journal de Montréal s’est bâti à même ses artisans et aujourd’hui PKP veut se débarasser d’eux parce qu’ils coutent trop cher?
Belle mentalité!!!
Si on se débarassait de ceux qui coutent trop cher PKP serait le premier à perdre son emploi dans l’empire Péladeau.
Une des raisons qui font que le conflit perdure est l’embauche de « Scabs » virtuels, lors des négociations syndicales concernant les « Scabs » nul n’aurait pensé qu’un jour le personnel n’aurait même pas à franchir une ligne de piquetage pour pouvoir travailler et remettre ses textes.
Tout se fait à distance via l’Agence QMI et PKP profite de cet état de fait.
Et lorsqu’on dit qu ele lectorat monte sans cesse eh bien, il faut savoir que PKP distribue ses journaux gratuitement à qui en veut (les écoles entre autres) Ce qui fait monter virtuellement son nombre de lecteurs.
Une seule façon de rêgler ce conflit c’est d’imposer une entente de respect des employé(e)s par l’employeur.
Ce n’est pas en mettant tout le monde à la porte, en empéchant ceux qui quittent de pouvoir travailler et en obligeant la fermeture et l’utilisation de « Rue Frontenac » que le conflit va se rêgler.
Par respect pour son père et le nom de la famille, Pierre-Karl devrait revoir ses positions!
Leurs manque d’objectivité. et leurs manque de professionnalisme leurs rebondit au visage , les journalismes se sont prêtés avec les patrons à des injustices et de la désinformation pour faire faire plus de profits au journal ,maintenant vous devez payer pour votre manque de rigueur, d’un raélien qui se souviens
je pense que c’est gens la ont de tres bonne condition de travail,probablement les meilleurs de l’industrie,la seule facon d’en avoir des meilleurs que sont patron c’est peux etre de devenir sont patron!!! en d’autre mot si vous etes pas content ne mettez pas sur le dos du patron,c’est a lui la boite..créer votre boite et voyez si vous aller faire mieux,car ont est dans un pays libre….personne ne vous retien la!!Faites pas chier la main qui vous nourri,si ca fait pas allé voir ailleur si le gazon est plus vert…..
La majorité des gens crois qu’ils ont des conditions les plus aventageuses du québec, avant de me prononcé je me suis renseigner. Alors ne parler pas au travers de votre chapeau. Il est facile de critiquer quand on ne vie pas dans le conflit que ces gens vivre. Soyez donc solidaire pour un moment dans votre vie et vous aurez probablement réussi à nourrir les enfants de ces gens qui sont en lock out forcé.
PKP est vraiment déloyal envers ses ex employé(e)s car c’est eux qui ont construit la réputation du journal de Mooooourial. La convergeance c’est clair qu’on en est rendu là avec québecor et ça fait déja un bon bout de temps même. au Québec on a le choix entre La Presse(PowerCorp) ou bien JdeMontréal JdeQuébec(Québecor). Si ça c’est pas de la conc vers gens et bien nommer d’autre GRANDS tirages. Il faudrait tenter de m’expliquer pourquoi québecor ne peut se permettre de réemployer ces 253 journalistes mais qu’il peut se permettre de produire le 24H qui est distribuer gratuitement, je sais que les pub paient la majeur parti de la production mais quand même!!
À la remise de l’offre, face aux représentants syndicaux il n’y avait qu’un représentant mineur du côté de québecor. L’offre exigeait la mise à pieds de 200 employés sur 253 et la fermeture de rue frontenac.com, c’est à dire le journal électronique qui a été créé par les lock-outés.
Pour toutes ses raisons encouragez RueFrontenac.com et je tiens à mentionner que je ne fais pas parti de ces 253 journalistes qui méritent bien mieu.
Dans ce conflit comme dans tous les conflits, il y a de la vérité et de l’exagération dans les deux parties et ce conflit ne fait pas exception. Lorsque deux parties n’arrivent pas à négocier et arriver à une juste solution pour LES DEUX PARTIES, il reste que le divorce avec habituellement un gagnant et un perdant…à vous de juger qui en sortira le gagnant. En passant, je lis le Journal de Montréal ne pouvant endurer les éditoriaux d’André Pratte…excusé…de Power Corporation de La Presse (fallait que je le dise).
Jacques Renaud
La solidarité quebecoise a t’elle deja exister peut etre au temps des patriotes je n’en suis pas sur pour ma part je lis la presse tres bon journal baser sur les faits non pas sur le sensationaliste
Je nous sens solidaires et majoritaires puisqu’à quelques exceptions près, qui souhaite abaisser ses conditions de vie ?
La vie et la nature de l’information journalistique change. Péladeau et Québecor le savent. Tout le monde fait pitié. Il est facile de s’apitoyer sur le soi-disant « sort » des employés mais s’ils ne sont pas content, ils n’ont qu’à aller voir ailleurs. Si le journal de Montréal accroit ses parts de marché malgré la grève, ça démontre l’inutilité de ces travailleurs. Prétendre que cette grève ou la mise à pied de travailleurs et de journaliste nuit à la liberté de presse et à la démocratie est un mensonge total, petit discours socialiste populiste qui n’a strictement aucun rapport avec la réalité. Quand j’entends ou lit les mots comme « solidarité », « lutte syndicale », etc…, je lis des gens aussi menteurs que manipulateurs qui se moquent de nous en pleine face. Lorsque je perd un contrat, il n’y a personne pour me défendre, et certainement pas les syndiqué du JdM.
Ce conflit pourrait ce règler beaucoup plus vite si chacun d’entre vous arrêtais de suporter cette empire convergente au possible. Si vos patrons vous mettais à la rue au lieu de négocier et que tout le mondes au tour de vous continuerais de faire des affaires avec eux, vous n’aimeriez pas trop ça. La sodidarité envers les travailleurs est très importante.
Je ne suis pas un travailleur du journal, je suis camionneur et je boycott ce journal comme je boycotterais quelquonc compagnie en lockout.
On dirait que ce conflit n’intérrèsse personne basé sur le fait qu’ils ont des gros salaires…Ils ont emplement les moyens de les payer, donc qu’ils les paient justement et leur donnes des conditions digne du journaliste…après tout c’est nous les lecteurs qui en profitons!
Quel interminable conflit! D’un côté un employeur qui est la pour faire de l’argent, ce qui est tout à fait normal! De l’autre des employés qui ont pour la plupart aidé à bâtir cette empire qu’est devenu Québecor. Pierre Péladeau doit se virer de bord dans sa tombe car les conflits lui il n’aimait pas vraiment ça! Un homme d’affaire dur dans les négos MAIS JUSTE avec ses employés, il ne donnait pas tout cuit dans la bouche, par contre il a toujours trouvé un moyen de faire de l’argent en octroyant de bonnes conditions à ses gens.
Oui la réalité médiatique a changé énormément avec la panoplie de nouveaux médias électroniques, la nouvelle agence QMI contourne carrément la loi anti-scab, trop facile par internet maintenant de faire tout ce qu’on veut…malheureusement pour les journalistes « papiers » ce n’est pas une tendance qui va disparaître, au contraire ça va aller en s’accentuant. En tant que consommateurs de nouvelles, de reportages seront nous mieux servis??? Loin d’être sûr de ça! Je souhaite aux quelques 250 employés en lock-out un règlement négocié juste et équitable et à PK Péladeau une meilleure compréhension du mot RESPECT envers ses employés. Donner un gros salaire et de bonnes conditions à ses travailleurs est une chose, leur démontrer du respect en est une autre.
Pour finir, ici au Québec supporter un groupe de travailleurs par boycottage oublions ça…rappelez vous la SAQ, les gens allaient « encourager » les employés en conflit sur le trottoir mais tout de suite après allaient faire leurs achats dans les magasins de la SAQ….nous sommes trop rendus individualistes comme société!
Ceux qui sont pour les employés n’ont qu’à ne plus acheter les journaux du groupe Québecor , ça démontrera aux dirigeants s’ils sont vraiment dans l’erreur.
Pour les autres, comme moi, qui croit que l’information nationale ne peut pas être contrôlée par un groupe, je prends ce qui m’intéresse chez Québécor et le reste à Radio-Canada et sur Internet. Je pense qu’à trop insister sur la concentration, on déplace les vrais motifs : faire plus de profits et arrêter l’escalade des salaires et des conditions toujours plus avantageuses malgré ( souvent ) des baisses de productivité.
Je n’ai pas de solutions miracles mais il faudra qu’un jour on fixe une limite salariale de chaque profession, autant en normatif qu’en déboursés directs.
Toujours plus, toujours plus…….
Quand ce n’est pas les employés qui en veulent plus, plus, plus.. ce sont les patrons.
Si les employés recoivent et les patrons boudent. Les patrons recoivent et les employés boudent.
Étant moi même un dirigeant, non un propriétaire, et quand je vois mes employés avoir des gains supérieurs aux miens ça m’engage…. Mais c’est grâce à eux que l’empire se construit….
FOUTAISE! Si un dirigeantne voit pas à son affaire, la compagnie va fermer les portes, alors qui a démolit l’empire?
Si tout le monde aurait mit de l’eau dans leur vin, la vie ne nous coûterait pas aussi chère!
Donc, vous vouliez encore plus, il en veut plus lui aussi, j’en ai rien à foutre!
Du papier journal pour allumer le foyer il y en a d’autre et gratuit en plus…
Mon commentaire n’était pas nécessairement un éloge à la tribune ou au tribunal des journalistes, on a donc choisi de le soustraire: visiblement la censure habituelle?
Je ne suis pas pro-syndicat mais il y a une limite. Quel signal envoyé à la population puisque le journal continue d’être publié et que même les ventes augmentent. Est-ce donc un démenti aux demandes des employés?
Je ne crois que M. Péladeau va lâcher prise et pourquoi le ferait-il? En pleine récession (et oui!) la population ne va pas prendre part pour des employés qui sont, semble-t-il, bien traités, du moins monétairement.
Et puis, maintenant que Québécor a la télé, Videotron et maints autres moyens de communication, peut-être bien que le Journal est un bien petit joueur dans l’empire.
Qui gagnera? pour l’instant le match est du côté du patron. La suite on peut presque la deviner…
Bravo à M. Péladeau qui tient son bout dans ce conflit. Il a une entreprise privée et il respecte les règles. Un syndicat plus actuel, plus 2010 aurait surement réussi à s’entendre. Un syndicat qui vit dans le passé, avant Internet, avant le désintérêt des jeunes pour les lejournaux et avant les réseaux d’information en continu, a ce qu’il mérite. C’est malheureux pour les pauvres membres du syndicat qui se sont faits emportés par des gens dépassés.
aux journalistes qui OCCUPENT la tribune médiatique: » votre image vous y tenez avec une indulgence que vous n’ accordez à personne d’ autre » ?
@ Michel.andre
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Il y a des pays en Asie où les gens paient pour avoir une job. Ici l’employeur doit payer
pour se départir d’employés. C’est le monde à l’envers. Quand on a des conditions de travail
au dessus de la moyenne , on ne mord pas la main qui nous nourrit.
Alors que nombre de journaux ont déjà fermé ou sont sur le point de la faire, j’applaudis au Journal de Montréal qui a pris les moyens de s’ajuster aux nouvelles réalités économiques.
Personnellement je lis Le Journal de Montréal à tous les jours et je me considère aussi bien informé que n’importe qui.
Bravo Monsieur Péladeau. Ne lâchez pas.
PKP est-il pire que tous les gens d’affaire nord-américains qui ont abandonnés l’industrie locale pour du « made in China »?? L’objectif de PKP est le profit $$$; celui des syndicats est l’$$$ des cotisations.. La différence c’est que PKP ne s’en cache pas lui.. C’est triste, mais « business is business »..
Oublier la Solidarité au Quebec c’est fini depuis 20 ans tout le monde se fou de tout le monde . Conflit de travail au JdM , le monde continue d’acheter autant sinon plus qu’avant, Shell malgré sa fermeture il y a encore du monde qui y vont parce que ca prend leur petit 2 airmiles par semaine, quand ya eu la greve chez Petro Canada c’etait la meme chose y leur fallait leur petro point. Pour ceux qui disent que les journaliste doivent réduire leurs salaires leur avantage sociaux, le probleme c’est que vous n’avez probablement pas ca vous meme alors arrêter de vouloir rabaisser les autre et essayer de vous remonter. La génération des Bébé Boomers on compris eux , ils ont tout prient sans demander a personne, et continue de tout prendre sans laisser de miettes aux générations futurs.
Bonjour,
En lisant tous les commentaires haineux à l’endroit des employés en LOCK-OUT et non en grève, il est évident que les gens ne comprennent pas pourquoi ce conflit perdure.
Ça fait plus de cinq ans que l’Empereur voulait un lock-out des gens de la rédaction et des employés de bureau. Il en est à son QUATORZIÈME lock-out depuis qu’il a pris la relève de son défunt père, en bousculant les autres membres de sa famille.
Dès les premiers jours de ce conflit, il a obtenu des injonctions à profusion pour brimer les droits des employés, dont celui de manifester paisiblement devant l’édifice… sur le trottoir appartenant à la Ville de Montréal, et non au Journal.
Oui, les conditions de travail étaient bonnes, mais elles ont été obtenues en vertu de négociations précédentes dans les 40 dernières années. Feu Pierre Péladeau a toujours clamé haut et fort que ses employés seraient toujours les mieux rémunérés, car ils étaient responsables de ses succès.
Depuis 21 mois, 253 familles n’ont plus de salaire, d’assurance maladie, etc… mais PKP s’en cr*** parce qu’il veut faire encore plus de $$$ avec moins. Un produit moindre qu’auparavant. Ceux qui continuent de lire ce torchon et qui prétendent avoir la même information qu’avant le conflit sont dans les patates.
Pour signer une nouvelle convention, plus de 200 se retrouveraient sans emploi, alors que beaucoup de ces emplois seraient envoyés en ONTARIO, comme c’est le cas présentement avec les petites annonces et la comptabilité.
Ça, Quebecor ne s’en vante pas. Et PKP qui veut avoir nos dollars pour construire son aréna à Québec, pendant qu’il coupe des emplois au Québec, au profit de l’Ontario.
Quel être méprisant !
Il ne s’agit pas seulement d’une question de $$$. ET oui, les journalistes se sont adaptés aux nouvelles réalités avec l’Internet. Ruefrontenac.com est un exemple concret. À la fin des années 1990, le syndicat avait présenté un plan à Quebecor pour lancer un site Internet, avant celui de Cyberpresse, mais PKP avait claqué la porte à ce projet. Et aujourd’hui, il est tellement furieux que Ruefrontenac.com fonctionne très bien, qu’il veut forcer sa fermeture !
Conclusion, ceux qui prétendent que les lockoutés sont des priviligiés de la vie, pensez-y deux fois avant d’écrire une telle connerie. Si faire le trottoir et faire valoir ses droits depuis 21 mois est un privilège de la vie, eh bien c’est la même chose pour tous les B.S. qui « fourrent » le gouvernement, eux qui ne paient pour rien et qui reçoivent tout cuit dans le bec assis sur leur divan !
À bon entendeux, salut !
Michael a raison.. Les boomers ont surexploités les richesses naturelles et l’énergie, se sont donnés des conditions de travail et des retraites chromées, ont profiter de l’État-Providence, on laisser les jeunes avec le SIDA, des dettes insurmontables, un parc immobilier innabordable, et ils les traitent de sans-coeur si ils ne font pas comme eux.. Faut le faire!
Un des journaux des plus rentables en Amérique, bati sur une formule gagnante qui a enrichie son proprio autant que les employés et la CSN. La Presse connaît des difficultés se redresse mais l’avenir est incertain pour tous dans ce domaine, alors le syndicat doit lâcher du lest, mettre de l’eau dans son vin devant un PKP intransigeant sans grande qualité de coeur, difficile aussi pour la CSN habituée à imposer sa doctrine.
Le Québec est l’endroit le moins intéressant où investir en Amérique du Nord, trop risqué en raison des syndicats doctrinaire comme la CSN ou corrompus comme la FTQ. On a ce que l’on mérite. Le Québec vit dans sa bulle et n’intéresse presqu’aucun investisseur, le Québec bon an mal an c’est 2.5 fois moins d’investissement que l’Ontario toute proportion gardée de sa population et 2 fois moins que la moyenne canadienne.
La CSN veut un 4ième palier de taxation pour les plus riches, ben des riches au Québec il y en a presque plus. En 1990 la Suède à pris ses distance avec la social-démocratie et le Québec s’enlise encore davantage dans celle-ci. On a ce que l’on mérite. Rien de plus rien de moins.
Ne craignez rien en ce qui concerne les Gas de »shisme » personne ne va les exploiter car trop risquer devant une population qui n’a rien compris au défi majeur de l’énergie qui se pointe à l’horizon. Le Québec pas d’intérêt a y investir.
J’en reviens pas des commentaires anti-syndicat… Non mais les gens êtes-vous tous rendez complètement fou!!??? Vous êtez tellement auveuglés ou quoi!!! Les riches deviennent de plus en plus riche et les pauvres de plus en plus pauvres et cela a travers la planète entiere!!! Toutes les statistiques économiques du monde entiers le confirme… même l’O.N.U. Le syndicat permet aux pauvres et a la classe moyenne de s’enrichir… en tout les cas ils faut être completement fou pour croire de PKP est un homme bon. tout ce qu’il l’intéresse lui ces l’argent. ËTRE ANTI-SYNDICAT C’EST ËTRE FOU OU CAPITALISTE SANS COEUR!!! Vive les journalistes du JdeM qui se battent si courageusement contre un être si inhumain! Le papa de PKP doit avoir honte de ce fils même dans sa tombe!!
@Michael
Tu l’as dit, cela fait 20 ans que tout le monde se fout de tout le monde…alors pourquoi blâmer les baby-boomers?…
Bon bon bon. On vend plus de journaux à moins de frais. Les cadres font la job et ne sont pas syndiqués.
Le syndicat paye des prestations de grève à des employés qui ne sont pas nécéssaire.
C’est l’entreprise privée! Si nous trouvions 253 employés dont on peu se départir sans affecter le service et la rentabilité dans un CLSC, un bureau d’Emploi Québec, à la SAAQ… comment cela affecterait votre opinion?
Nous sommes à une époque ou on coupe dans le gras.
Lisez ou relisez 1984 de George Orwell et vous parlerez différemment de convergence. Si vous êtes capable de lire ceci, vous êtes capable d’obtenir de l’information de partout dans le monde. Généralement dans un bon français. Sinon en anglais ou en espagnol, peut-être en mandarin, malgré que… À nous de s’adapter.
Si j’étais un des journalistes en lock-out, la seule vue des nombreuses fautes de français des intervenants en faveur de la partie syndicale me convaincrait d’abandonner la lutte, tellement j’en serais déprimé!
Certains sont outragés par les commentaires négatifs sur les syndicats.
Je suis Montréalais depuis ma naissance et je subit régulièrement les demandes exagérées des syndicats cols bleus, celui des policiers, des pompiers qui ne comprennent pas que nous sommes écoeurer des augmentations de taxes et des demandes déraisonnables.
Comment expliquer ce sentiment, autrement que par les abus dont souffre la population de manière cyclique au Québec, et ça revient constamment. Tiens il se prépare une grève des services de garde en milieu familial et plus tard dans les CPE, encore une fois les citoyens seront vulnérables
aux exigences sydicales justes ou injustes, abusives ou pas.
Un enfant en garderie coûte à l’État 10 000$ par année et le Québec est sur le bord de la faillite
et les demandes déraisonnables de la CSN et autres syndicats continuent de prendre en otage les travailleurs qui ne peuvent garder leur enfant à la maison, alors ne nous demandez pas d’avoir de la sympathie pour eux.
Ne vous demandez pas pourquoi il manque tant de place en garderie, c’est que le gouvernement est à bout, pas d’argent, une dette de 220 Milliards et un déficit de 5 Milliards par an pour les prochain 5 ans.
Je suis en faveur d’un règlement qui tient compte de la capacité financière soit des gouvernements soit de l’entreprise privée. J’aimerais que l’on tient compte que nous sommes tannés des taxes qui augmentent constamment et des services qui ne sont guerres meilleurs qu’il y a 20-25 ans pour plus cher.
Non je ne suis pas un fervent de PKP, mais il reste qu’il faut savoir d’un côté comme de l’autre où et quand s’arrêter. PKP est en voie d’écraser le syndicat nous le savons tous mais il serait sage de la part des syndicats de changer de philosophie ça aidrait dans l’opinion publique.
Je l’écrit à nouveau, le Québec est le dernier endroit en Amérique où les investisseurs veulent investir, ça ne changera pas tant et aussi longtemps que ceux qui ont le pouvoir prônerons le socialisme et la taxation à outrance, alors on a le choix entre l’idéologie et le juste milieu valable pour tous, PKP comme rue Frontenac.com
Une majorité de Québecois n’ont plus confiance aux gouvernements parce que rien ne s’amméliore chacun défends ses privilèges au détriment de toute la société.
Le juste milieu et la fin des idéologies propulserait le Québec au 21 ième siècle bien en avant les autres pays et provinces c’est une question d’humilité et de bonne volonté. Nouis avons tout ce qui faut pour réussir, le talent, les connaissances, la science. Mais nous nous entêtons à vouloir faire des référendums ruineux, nous nous entêtons à maintenir 50 députés Blocquistes à Ottawa qui nous privent de tout pouvoir au gouvernement fédéral, nous sommes victimes de nous même.
Il suffirait de presque rien comme dit la chanson, juste un signal de bonne volonté et de respect envers les citoyens de cette Province. Salutations sincères à tous, en souhaitant que les gens de rueFrontenac puisse trouver grâce aux yeux de PKP et réintégrer leur travail avec dignité.
C’est incroyable que les intelligents de la CSN ne comprennent pas la situation présente dans les papiers? PKP doit tenir son bout… c’est une question de vie ou de mort.