Bill Bonner n’a pas la langue de bois. Ce blogueur financier suggérait lundi dans le magazine Forbes de laisser les Américains être en défaut de paiement sur leur dette. Au point où on en est, ça ne serait pas une si mauvaise chose, titrait son billet.
Laisser les États-Unis faire faillite. Suicidaire? Catastrophique? Peut-être, dit-il, mais ça vaut le coût d’essayer. On pourrait alors éliminer la dette et laisser nos dirigeants se rappeler comment dépenser dans la limite des revenus de l’État.
Si c’était aussi simple…
Après la Grèce, les États-Unis?
La Grèce a évité la faillite grâce au nouveau plan d’aide de 109 milliards d’euros et surtout, en raison d’un plan d’échange de dette garanti par des banques et des assureurs. Malgré ce sauvetage in extremis, les agences de notation placent la dette grecque juste au-dessus du défaut. En d’autres mots, on a fait que pelleter le problème vers l’avant.
Aux États-Unis, la date butoir pour relever le plafond de la dette ainsi que l’« Armageddon » craint par Barack Obama se rapproche (2 août). Tous s’entendent sur le fait qu’il faut réduire les dépenses du gouvernement. Chaque camp a présenté des solutions, mais aucun compromis n’a encore été conclu.
Tout foutre en l’air
Comme le rappelait il y a quelques jours la chef économiste de la Banque de Montréal, Sherry Cooper, les Américains ont connu il y a à peine dix ans, quatre années de surplus budgétaire. Pendant cette période, la dette publique a été abaissée de presque 450 milliards de dollars.
Malgré une situation aujourd’hui bien plus difficile, les taux d’intérêt américains sont toujours parmi les plus bas de la planète et sa dette profite d’une cote de crédit AAA (la plus élevée).
Pourquoi risquer de tout foutre en l’air? Eh bien, parce que la crise américaine est avant tout politique. Nos voisins du Sud sont en perpétuelle campagne électorale et ceci fait oublier les vrais enjeux, soit la santé économique de ses citoyens.
Ce combat de coqs entre républicains et démocrates aura des conséquences que les électeurs auront à juger l’an prochain. Souhaitons que le Canada ne soit pas trop secoué par cette crise. Rien n’est moins sûr.
Craignez-vous que la crise de la dette amércaine nous touche?
Autre billet :
Dette américaine : défaut de paiement possible?
C’est avant tout une bataille politique entre Républicains et Démocrates, comme elle l’a toujours été lorsqu’il y a des Présidents minoritaires par rapport à la Chambre et au Sénat, c’est la particularité de la constitution Américaine.
Il n’y a pas de gouvernement minoritaires qui peuvent être renverser et provoquer des élections anticipées, alors tout ce beau monde qui parfois se déteste doivent apprendre à faire des compromis. Ça viendra l’un teste le pouvoir de l’autre.
Les Américains sont hostiles au Socialisme et craignent un taux de taxation trop élevé qui paralise leur société, c’est aussi ce qui les distinguent des Européens et des Canadiens dont en particulier les Québécois qui y vont à fond la caisse dans les mesures sociales.
En fait les mesures socialistes et sociales finissent par se confondrent l’un et l’autre peuvent pousser à la ruine les États. Les Américains ont dans le sang cette sorte d’admiration pour la réussité individuelle et collective qu’on ne retrouve pas ailleurs, ils aimesnt les héros, self made man (and women). Voilà pourquoi il redoutent une trop grande présence de l’État et une taxation trop importante.
Le grand danger qui guette les Américains, qui ont au niveau de la taxation encore une bonne marge de manoeuvre contrairement au Québécois, c’est justement de perdre cette marge de manoeuvre.
Des pays comme l’Argentine la Grèce et même les USA sont victimes de crise créées de toute pièce de manière à affaiblir ces États. Dans l’ombre se tient Mister Barnanke et sa FED qui doivent bien se frotter les mains, ils attendent les politiciens qui vont bientôt passer à la caisse.
Mais la puissance de la créativité humaine et les générations qui se renouvellent sans trop être marquées par les traumatismes des générations qui les ont précédées fait en sorte que comme le Phénix un État peut renaître et devenir prospère à nouveau.
De toute façon la crise Américaine nous touche depuis plus de 10 ans, parlez-en aux entreprises forestières qui en plus de faire face aux nouvelles technologies éliminant le papier journal comme source de prospérité ont rendu le bois d’oeuvre difficile à vendre.
Le seul métier réconfortant c’est celui de banquier Américain mais pas certain que cela soit très bon pour la conscience.
J’ai lu l’article de Mme Cooper, c’est un excellent article qui décrit bien les erreurs passées des différents États. Elle parle de la FED qui n’a encore rien fait pour agraver la crise et qui ne touche pas au taux d’intérêt. C’est oublier ce que la FED a fait dans le passé depuis 2007 alors que la crise banquaire se dessinait et menait la planète à la débâcle financière.
C’est oubler aussi la place que tient la Chine depuis 1989 et même avant et sa politique monétaire qui place l’Occident dans une situation précaire. Étonnant qu’un pays aussi puissant que les USA n’ait jamais réussit en plus de 22 ans à demander des comptes à ce pays qui est une des causes de la débâcle du monde Occidental.
Tant mieux si la Chine prospère, pays improbable où 1 milliards d’humains vivent au moyen-âge. Mais une croissance moins fulgurante aurait permis aux pays Occidentaux d’ajuster leur économies et à la Chine d’ajuster la valeur de sa monaie. Ainsi tout le monde serait gagnant. La Chine possède 10% de la dette Américaine, pays qui dans mon livre à moi n’est pas un pays ami de l’Occident et de l’humanité.
La Grèce comme pays à évité la faillite mais pas les Grecs qui sont plus pauvres que jamais alors que ce pays n’a pas les ressources pour se rétablir dans un avenir proche.
Combiens d’Américains sont aujourd’hui dans la rue, sans emplois, sans grand avenir lorsqu’arrivés à 50 ans et plus. Des villes sont en failite, Détroit une zone sinistrée qui ne s’est jamais remi de la débâcle de l’industrie de l’automobile. Il y a des trésors d’architecture laissé à l’abandon dans cette ville qui était vivante autrefois.
Le monde s’en va-t-il vers une débâcle générale? Puis les réseves d’Or au USA n’ont jamais été aussi basse selon certains spécialistes……..Tous les principes d’une saine économie sont bafoués depuis Woodrow Wilson.
« Ce combat de coqs entre républicains et démocrates aura des conséquences que les électeurs auront à juger l’an prochain. »
Les « BANKSTERS » qui ont porté BUSH au pouvoir sont les mêmes « BANKSTERS » qui ont porté OBAMA au pouvoir.
« Nous sommes devenus un des moins bien dirigé, un des plus entièrement contrôlé et dominé des Gouvernements du monde, non plus un gouvernement de libre opinion, non plus un gouvernement par conviction et vote de la majorité, mais un gouvernement par l’opinion et la coercition d’un petit groupe d’hommes dominants. »
Woodrow Wilson (1856-1924), 28e président américain
Woodrow Wilson à dit aussi que le jour de la création de la FED, qui est inconstitutionnel, que c’était le jour le plus triste de l’histoire des USA.
C’est ce jour là qu’une poigné d’individus ont fait main basse sur la richesse de tout un pays pour l’orienter en fonction de son agenda plutôt que pour le plus grand bien de la masse.
Il y a quelque chose d’extraordinaire dans la mentalité Américiane qu’on ne retrouve pas ailleurs dans le monde, ou peut-être en Russie avant la révolution bolchévique la plus grande fourberie de l’histoire Européenne, pour ceux qui connaissent la vrai histoire de la Russie.
La Russie était loin d’être en reste avec l’Europe en matière de science, de culture (parmi les plus grands écrivains de l’histoire, parmi les plus grands musiciens et artistes et architectes et ingénieurs et scientifique et j’en passe).
C’est la même catégorie d’individus, ceux qui se tiennent dans l’ombre, qui ont mis à genoux ce magnifique pays en voie de modernisation lorsque le Tsar à été renversé.
Mais j’ai espoir que l’humainité va s’en remettre suis-je naïf?
Paul Martin disait suite à la débâcle bancaire de 2008, que cette crise serait un pik-nik à côté de ce qui risque de nous arriver bientôt, souhaitons qu’il ait tort.
@ Charles Auguste
« …la révolution bolchévique la plus grande fourberie de l’histoire Européenne, pour ceux qui connaissent la vrai histoire de la Russie. »
« L’invisible Pouvoir de l’Argent est à l’œuvre pour contrôler l’humanité et la réduire à l’esclavage. Il a financé le Communisme, le Fascisme, le Marxisme, le Zionisme et le Socialisme. Tous sont conçus pour faire des États-Unis un membre du Gouvernement Mondial. »
Extrait de la page 92 du American Mercury Magazine de décembre 1957
@INFOMATCH
Depuis toujours il y a une confrontation entre différentes forces à l’opposées l’une de l’autre sur cette terre, l’une travail pour le bien de l’humanité pour l’avancement de la science au service de l’humanité y compris les sciences humaines comme l’économie, d’autres sont à l’opposées et veulent enchaîner l’humanité, exemple Cuba, la Chine, le Communisme, le Capitalisme sauvage.
Pour l’humanité il s’agit de faire son choix et de demander des comptes aux politiciens.
Dans le cas de la Russie la majorité à cru aux mensonges de Lénine et Staline avec les conséquences que l’on connait, 75 ans de privations et de crimes contre l’humanité.
Dans le cas de Bush cela à mené à une guerre inutile et à une présence coûteuses en argents et en vies humaines et en souffrances comme l’Irak et l’Afghanistan.
L’Ignorance et le manque de courage et le mensonge sont des sources de la débâcle économique.
Des gouvernements qui se tiennent debout il y en a et qui ont accomplient de grandes choses. Exemple l’époque de Louis XIV, de Napoléon III, d’Élizabeth I d’Angleterre, du court règne de Kennedy, celui de Teddy Roosevelt, de Louis St-Laurent et Pearson au Canada. La Tchécoslovaquie était propère avant 1939 et indépendante.
Ces gouvernements sont possibles.
Le problème du Québec c’est souvent un manque de timming (sans élaborer).
Truseau à volontairement endetté le Canada (trop long à expliquer ici) conséquences le Fédéral à dompé sa dettes dans la cour des Provinces et ces dernières dans les Municipalités.
Le Québec à vu ses infrastructure se dégrader faute d’argent durant 20 ans et aujourd’hui en paie le fort prix car il doit tout réparer en même temps, avec l’argent des banquiers en espérant que la situation économique, dont une très grande partie lui échappe, s’améliore.
Le Québec à manqué de prévoyance???
Le Fédéral à toujours tenu le Québec à distance et favoriser l’Ontario, c’est connu, mais le socialisme et la quète de l’Indépendance ont aussi afaibli le Québec, en d’autre termes nous avons donné des munitions au reste du Canada qui voudrais bien que le Québec fasse moins bien qu’eux, c’est bien connu.
La cause de la deuxième guerre mondiale: essentiellement le karma de l’humanité. (je pourrais élaborer durant des heures sur ce sujet).
Mister Baird politicien très éclairé vient de faire décrocher deux magnifique tableaux de Pellan à Ottawa pour le remplacer par une copie de la photo de la reine, une façon de faire disparaître l’influence du Québec??? Je rêve ou quoi?
Pour résumer et en d’autres terme et c’est là l’essentile de mon propos on a le choix à tous les jours entre le bien et le mal, le courage et le mensonge, on a les politiciens qu’on mérite parce qu’on ne peut identifier ceux qui travail pour le bien aveuglé que nous sommes.
À propos d’Obama c’est pas un fighter, les Américains s’en rendent compte.
Les États-Unis sont en faillite depuis 1932.
La trésorie appartient au FEDERAL RESERVE BANK
@Benstix
Vrai ( la date je suis pas certain), un représentant Américain disait que c’est l’institution la plus corrompue aux USA.
Suite à la débâcle de 2008 la FED à renflouer 30 banques Américaines tout en refusant de dévoiler le nom de ces banques et qui en a bénéficier et surtout le montant donner à chacune.
« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des BANQUES PRIVÉES (FEDERAL RESERVE) contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’INFLATION, ensuite par la RÉCESSION, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, SANS MAISON et SANS TOIT, sur la terre que leurs parents ont conquis. »
Thomas Jefferson, 1802
The Federal Reserve Made $16 Trillion In Secret Loans To Their Bankster Friends
The American Dream
July 25, 2011
A one-time limited GAO audit of the Federal Reserve that was mandated by the Dodd-Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act has uncovered some eye-popping corruption at the Fed and the mainstream media is barely even covering it. It turns out that the Federal Reserve made $16.1 trillion in secret loans to their bankster friends during the financial crisis. You can read a copy of the GAO investigation for yourself right here. These loans only went to the “too big to fail” banks and to foreign financial institutions. Not a penny of these loans went to small banks or to ordinary Americans. Not only did the banksters get trillions in nearly interest-free loans, but the Fed actually paid them over 600 million dollars to help run the emergency lending program. The GAO investigation revealed some absolutely stunning conflicts of interest, and yet the mainstream media does not even seem interested. Solid evidence of the looting of America has been put right in front of us, and yet hardly anyone wants to talk about it.
Many Americans have a hard time grasping just how large 16.1 trillion dollars is. It is an amount of money that is almost inconceivable. It is more than the GDP of the United States for an entire year. It is more than the U.S. government has spent over the last four years combined.
The Federal Reserve was just creating gigantic piles of cash out of thin air and throwing them around with wild abandon.
à suivre sur The American Dream
THE AMERICAN DREAM Film-Full Length
http://www.youtube.com/watch?v=tGk5ioEXlIM
« Les États-Unis près de la faillite? »
Une faillite non pas officielle mais officieuse, sournoise…Les démocrates et les républicains nous offrent un beau combat de « marionnettes », mais en réalité, l’agenda est le même. celui des « banksters » et leurs complices de la « Federal Reserve »: endettement du pays au maximum pour l’enrichissement au maximum des banques privées internationales.
« Après la Grèce, les États-Unis? »
Ne pas oublier les « PIIGS » (Portugal, Ireland, Italy, Greece, Spain).
« Craignez-vous que la crise de la dette amércaine nous touche? »
Si ton meilleur client (80% de ta « business ») fait faillite…alors qu’advient-il de ta propre « business »?
NOUS ASSISTONS À LA TIERS-MONDIALISATION DE L’ÉCONOMIE OCCIDENTALE. PRÉPAREZ VOUS À LA VENTE À RABAIS (PRIVATISATION) NOS COMPAGNIES DE LA COURONNE, DE NOS RICHESSES NATURELLES, SANS OUBLIER L’APPLICATION DE MESURES D’AUSTÉRITÉ DRACONNIENNES »
Je me demande comment les USA vont pouvoir se relever avec cette grosse dette qui leurs pend aux nez.Comment vont-il payez cette dette et avec que argent.Avec les impôts ce n,est pas assez il faut que ceux qui sont très riche donne un petit coup de pouce aux Président des USA
M.Barrack Obama il a en grandement besoin en ce moment je ne vois aucune solution de rechange en ce moment.Il faudraits qu’il sorte un lapin de son chapeau et qu’il nous disent pour de bon comment il va payez cette horrible dette.Tout cela a cuase du Président M. Georges Bush
fils qui a voulue faire sa petite guerre pour éliminé beaucoup de méchant garnement et cela nous a couté beaucoup d,argent et beaucoup de soldat mort au combat il ne faudraits pas oubliez ce que M.Georges Bush fils a endetté les USA pour plusieurs décénies.M.Barrack Obama essaye de réparez les erreurs passé du Président Georges W.Bush fils et de payez cette dette qui traîne depuis trop longtemps.
Si l’économie américaine tombe le reste du monde suivra, mais je ne crois pas que nous en soyons rendu là. Ce qui est à craindre c’est de voir la marge de manoeuvre que constitut le pouvoir de taxation diminuer, c’est à dire la capacité de l’économie américaine d’augmenté les impôts sans trop affecté la consommation et la productivité.
Il y a encore une marge de manoeuvre aux USA ce que je crains c’est qu’elle soit gruger avec le temps à un point tel que dans quelques décennies les USA soit au même niveau que les autres pays de l’OCDE.
Ce qui m’inquiète encore plus c’est la facilité et la manière dévergondée que la FED imprime de l’argent sans productivitée accrue du pays et on le voit par l’affaiblissement de la monaie.
Dans un autre ordre d’idée, je lisais le bilan à travers les journaux du salon du Bourget, en France, où Airbus semble avoir obtenu le Gros-Lot en ce qui concerne la vente des avions commerciaux. Par contre Boeing est plus profitable et semble rencontrer ses propres objectifs, par conséquent l’économie américaines a encore des atouts.
Les 50 prochaines années, selon moi, seront cruciales pour les USA tant sur le plan militaire qu’économique et les deux sont reliés.
Lorsque les classes ouvrières sont brimées et affaiblies le danger de conflit majeur augmente.
C’est une façon subtile de tourner les humains les uns contre les autres.
Je crains un autre conflit majeur où cette fois ce sera l’Amérique du Nord qui sera le champ de bataille.
Ce qui m’étonne c’est la croissance fulgurante de la Chine au détriment des USA et des économies Occidentales, cela m’inquiète d’avantage que la situation actuelle et sans que les puissance occidentales demande des comptes à la Chine ex ajustement de sa monaie.
Un pays important comme le Brésil en souffre déjà avec un chômage qui s’accroit dans des domaines où les petites gens sans instructions ont besoin de travailler.
Le problème c’est l’inconscience de la classe politique américaine.
Récemment sur Antenne 2 j’ai entendu un citoyen Grec au chômage dire » ils sont en train de faire de nous des esclaves ».
@Claude Fortin
On oublie trop souvent la capacité fiscale des Américains qui est l’un des pays les moins taxé et imposé du G8. Il n’existe pas de TPS là-bas. En montant les impôts ils pourraient récupérer plusieurs milliers de milliards de dollars… Les Républicains et le Tea Party ne veulent pas en entendre parler. C’est pourquoi je parle de combat de coqs qui pourrait mal se terminer, et ce, au détriment des citoyens de ce pays.
Je vous invite à lire la chronique de Claude Picher (La Presse) qui explique très bien la capacité fiscale inutilisée des Américains. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201107/12/01-4417065-le-douzieme-commandement.php
GIANT BANKS LOBBY TO RAISE THE DEBT CEILING AND SLASH PUBLIC BENEFITS
… So They Can Keep Sucking at the Public Teat
Washington’s Blog
July 29, 2011
Economist Dean Banker notes:
Wall Street will suffer more than anyone from a default and it will not let it happen. The public should know this, certainly Wall Street does.
No wonder the fatcats running the giant banks which received tens of trillions in bailouts, loans and guarantees from the American public are screaming loudly that the debt ceiling must be raised.
Robert Reich points out:
Why has Standard & Poor’s decided now’s the time to crack down on the federal budget — when it gave free passes to Wall Street’s risky securities and George W. Bush’s giant tax cuts for the wealthy, thereby contributing to the very crisis its now demanding be addressed?
Could it have anything to do with the fact that the Street pays Standard & Poor’s bills?
Remember, the big 3 government-sponsored rating agencies routinely took bribes as their normal business model, committed massive fraud which greatly contributed to the financial crisis, covered up improper ratings after the fact, and otherwise sold their soul (in their own words). And see this and this.
Some complain about the poor sucking on the government teat.
But the fact that Wall Street controls the rating agencies, and the rating agencies are now creating an artificial emergency sounds like the powers-that-be – the giant banks which run this country – are trying to protect their government teat of perpetual bailouts from the public coffers.
And of course, they are the ones calling for slashing of spending which helps the public. Even though – as conservative writer Michael Rivero points out:
Social Security is not “unfunded” nor is it an “entitlement.” That is YOUR money in that trust fund. You worked for it, and it was taken out of all your paychecks your entire working life.
The Social Security Trust fund invested your money by loaning it to the US Government, which is the largest single holder of US Government debt. But the US Government is already in default in fact, as the actual tax revenues have not even come close to the projections on which the budgets were drawn up.
So the US Government has looked at all the entities they owe money to and decided that stiffing the American people is the least likely to cause them harm. They will pay the bankers and they will pay foreign nations and they will continue to bail out Wall Street for the mortgage-backed securities fraud by embezzling your retirement money you gave them in trust. The US Government is robbing you to save the private central bank!
The debt crisis might be real … I’ve been warning about it for years.
The potential downgrade to America’s credit is real … I’ve been warning about thatfor years, as well.
But the way that the rating agencies and Wall Street are approaching the debt ceiling debate is a scam.
After all, they aren’t even discussing the spending cuts which must be enacted to reduce our debt:
(1) Ending the imperial wars, which reduce – rather than strengthen – national security (and see this and this);
(2) Ending the never-ending bailouts for Wall Street;
(3) Prosecuting fraud and clawing back the ill-gotten gains;
(4) Ending the Bush tax cuts, which are hurting the economy; and
(5) Slashing pensions for public employees, at least when they are pegged to an artificially “spiked” final year’s salary.
DANONG SAYS WILL CUT US RATING AS EARLY AS MONDAY
Zero Hedge
July 28, 2011
And while our rating agencies still get their marching orders from Bill Gross and from Obama, in that order, China is not waiting. In a just posted Reuters interview, Dagong said on Thursday it plans a further downgrade as early as next week, even as politicians race against the clock to avert a ruinous debt default. Guan Jianzhong, Chairman of the Beijing-based Dagong Global Credit Rating Co, said he still believed U.S. lawmakers will clinch a last-minute deal on the U.S. debt ceiling, but the damage has been done. “We will react soon, probably next Monday or Tuesday. We need to look at whether they reach a compromise and the scope of the compromise, then we decide how deep the rating cut will be,” Guan told Reuters in an interview in his spacious office. Naturally, this move will be aped by our own mockeries of a “rating” agency, leading to a very curious paradox: after all is it not the sock puppet at the top of it all – our very own distinguished tax evading eminence Tim Geithner himself who had the following exchange with Fox’ Peter Barnes as recently as April: “Is there a risk that the United States could lose its AAA credit rating? Yes or no?” Geithner’s response: “No risk of that.” “No risk?” Barnes asked. “No risk,” Geithner said.” So… when the US is downgraded in a week or so…. does that mean it is time to fire Geithner?
As for Dagong, who as usual is ahead of the curve:
“We will definitely cut the rating, regardless whether there will be a compromise. It has already dealt a blow to investors’ confidence,” Guan said. He said it could slash the rating to D if Washington defaults.
Guan’s warning was starker than in an interview with Reuters on July 14, when he threatened to cut U.S. ratings in the coming three to six months if there was no major event to make real improvement in the U.S. fiscal situation.
Guan defended Dagong’s higher AA plus rating for China, saying it’s natural for Washington’s biggest creditor to have a higher rating.
Economists estimate that China has parked about 70 percent of its $3.2 trillion foreign exchange reserves in U.S. assets.
Naturally, while bashing the US, Dagong is happy to close its eyes to the mess in its own back yard:
In contrast to his bearish view on the United States, Guan said China’s economy would remain on a sound footing, which will contain default risks from piles of local government debt.
Dagong has no plan for now to downgrade or monitor ratings of debt issued by local government financing vehicles (LGFVs) or other debt rated by the agency, Guan said.
“I’m not worried about local government debt,” he said, pointing to hefty government revenues and state assets.
“The Chinese government is a strong government, it has ability to mobilise resources,” he said.
Further more, Chinese banks would not exacerbate default risks by cutting loans to LGFVs.
We expect Moody’s to retaliate promptly to Dagong’s downgrade of the US by downgrading China in kind, and so the great race to the mutuall assured D-rating of the two great superpowers will enter its second of three laps… A race which will be won by China once it realizes that its $1.2 trillion in US paper will never be repaid.
THE ESSENTIEL RULE OF TYRANNY
As we look back on the horrors of the dictatorships and autocracies of the past, one particular question consistently arises; how was it possible for the common men of these eras to NOT notice what was happening around them? How could they have stood as statues unaware or uncaring as their cultures were overrun by fascism, communism, collectivism, and elitism? Of course, we have the advantage of hindsight, and are able to research and examine the misdeeds of the past at our leisure. Unfortunately, such hindsight does not necessarily shield us from the long cast shadow of tyranny in our own day. For that, the increasingly uncommon gift of foresight is required…
At bottom, the success of despotic governments and Big Brother societies hinges upon a certain number of political, financial, and cultural developments. The first of which is an unwillingness in the general populace to secure and defend their own freedoms, making them completely reliant on corrupt establishment leadership. For totalitarianism to take hold, the masses must not only neglect the plight of their country, and the plight of others, but also be completely uninformed of the inherent indirect threats to their personal safety. They must abandon all responsibility for their destinies, and lose all respect for their own humanity. They must, indeed, become domesticated and mindless herd animals without regard for anything except their fleeting momentary desires for entertainment and short term survival. For a lumbering bloodthirsty behemoth to actually sneak up on you, you have to be pretty damnably oblivious.
The prevalence of apathy and ignorance sets the stage for the slow and highly deliberate process of centralization. Once dishonest governments accomplish an atmosphere of inaction and condition a sense of frailty within the citizenry, the sky is truly the limit. However, a murderous power-monger’s day is never quite done. In my recent article ‘The Essential Rules of Liberty’ we explored the fundamentally unassailable actions and mental preparations required to ensure the continuance of a free society. In this article, let’s examine the frequently wielded tools of tyrants in their invariably insane quests for total control…
Rule #1: Keep Them Afraid
People who are easily frightened are easily dominated. This is not just a law of political will, but a law of nature. Many wrongly assume that a tyrant’s power comes purely from the application of force. In fact, despotic regimes that rely solely on extreme violence are often very unsuccessful, and easily overthrown. Brute strength is calculable. It can be analyzed, and thus, eventually confronted and defeated. Thriving tyrants instead utilize not just harm, but the imminent THREAT of harm. They instill apprehension in the public; a fear of the unknown, or a fear of the possible consequences for standing against the state. They let our imaginations run wild until we see death around every corner, whether it’s actually there or not. When the masses are so blinded by the fear of reprisal that they forget their fear of slavery, and take no action whatsoever to undo it, then they have been sufficiently culled.
In other cases, our fear is evoked and directed towards engineered enemies. Another race, another religion, another political ideology, a “hidden” and ominous villain created out of thin air. Autocrats assert that we “need them” in order to remain safe and secure from these illusory monsters bent on our destruction. As always, this development is followed by the claim that all steps taken, even those that dissolve our freedoms, are “for the greater good”. Frightened people tend to shirk their sense of independence and run towards the comfort of the collective, even if that collective is built on immoral and unconscionable foundations. Once a society takes on a hive-mind mentality almost any evil can be rationalized, and any injustice against the individual is simply overlooked for the sake of the group.
Rule #2: Keep Them Isolated
In the past, elitist governments would often legislate and enforce severe penalties for public gatherings, because defusing the ability of the citizenry to organize or to communicate was paramount to control. In our technological era, such isolation is still used, but in far more advanced forms. The bread and circus lifestyle of the average westerner alone is enough to distract us from connecting with each other in any meaningful fashion, but people still sometimes find ways to seek out organized forms of activism.
Through co-option, modern day tyrant’s can direct and manipulate opposition movements. By creating and administrating groups which oppose each other, elites can then micromanage all aspects of a nation on the verge of revolution. These “false paradigms” give us the illusion of proactive organization, and the false hope of changing the system, while at the same time preventing us from seeking understanding in one another. All our energies are then muted and dispersed into meaningless battles over “left and right”, or “Democrat versus Republican”, for example. Only movements that cast aside such empty labels and concern themselves with the ultimate truth of their country, regardless of what that truth might reveal, are able to enact real solutions to the disasters wrought by tyranny.
In more advanced forms of despotism, even fake organizations are disbanded. Curfews are enforced. Normal communications are diminished or monitored. Compulsory paperwork is required. Checkpoints are instituted. Free speech is punished. Existing groups are influenced to distrust each other or to disintegrate entirely out of dread of being discovered. All of these measures are taken by tyrants primarily to prevent ANY citizens from gathering and finding mutual support. People who work together and organize of their own volition are unpredictable, and therefore, a potential risk to the state.
Rule #3: Keep Them Desperate
You’ll find in nearly every instance of cultural descent into autocracy, the offending government gained favor after the onset of economic collapse. Make the necessities of root survival an uncertainty, and people without knowledge of self sustainability and without solid core principles will gladly hand over their freedom, even for mere scraps from the tables of the same men who unleashed famine upon them. Financial calamities are not dangerous because of the poverty they leave in their wake; they are dangerous because of the doors to malevolence that they leave open.
Destitution leads not just to hunger, but also to crime (private and government). Crime leads to anger, hatred, and fear. Fear leads to desperation. Desperation leads to the acceptance of anything resembling a solution, even despotism.
Autocracies pretend to cut through the dilemmas of economic dysfunction (usually while demanding liberties be relinquished), however, behind the scenes they actually seek to maintain a proscribed level of indigence and deprivation. The constant peril of homelessness and starvation keeps the masses thoroughly distracted from such things as protest or dissent, while simultaneously chaining them to the idea that their only chance is to cling to the very government out to end them.
Rule #4: Send Out The Jackboots
This is the main symptom often associated with totalitarianism. So much so that our preconceived notions of what a fascist government looks like prevent us from seeing other forms of tyranny right under our noses. Some Americans believe that if the jackbooted thugs are not knocking on every door, then we MUST still live in a free country. Obviously, this is a rather naïve position. Admittedly, though, goon squads and secret police do eventually become prominent in every failed nation, usually while the public is mesmerized by visions of war, depression, hyperinflation, terrorism, etc.
When law enforcement officials are no longer servants of the people, but agents of a government concerned only with its own supremacy, serious crises emerge. Checks and balances are removed. The guidelines that once reigned in police disappear, and suddenly, a philosophy of superiority emerges; an arrogant exclusivity that breeds separation between law enforcement and the rest of the public. Finally, police no longer see themselves as protectors of citizens, but prison guards out to keep us subdued and docile.
As tyranny grows, this behavior is encouraged. Good men are filtered out of the system, and small (minded and hearted) men are promoted.
At its pinnacle, a police state will hide the identities of most of its agents and officers, behind masks or behind red tape, because their crimes in the name of the state become so numerous and so sadistic that personal vengeance on the part of their victims will become a daily concern.
Rule #5: Blame Everything On The Truth Seekers
Tyrants are generally men who have squelched their own consciences. They have no reservations in using any means at their disposal to wipe out opposition. But, in the early stages of their ascent to power, they must give the populace a reason for their ruthlessness, or risk being exposed, and instigating even more dissent. The propaganda machine thus goes into overdrive, and any person or group that dares to question the authority or the validity of the state is demonized in the minds of the masses.
All disasters, all violent crimes, all the ills of the world, are hoisted upon the shoulders of activist groups and political rivals. They are falsely associated with fringe elements already disliked by society (racists, terrorists, etc). A bogus consensus is created through puppet media in an attempt to make the public believe that “everyone else” must have the same exact views, and those who express contrary positions must be “crazy”, or “extremist”. Events are even engineered by the corrupt system and pinned on those demanding transparency and liberty. The goal is to drive anti-totalitarian organizations into self censorship. That is to say, instead of silencing them directly, the state causes activists to silence themselves.
Tyrannical power structures cannot function without scapegoats. There must always be an elusive boogie man under the bed of every citizen, otherwise, those citizens may turn their attention, and their anger, towards the real culprit behind their troubles. By scapegoating stewards of the truth, such governments are able to kill two birds with one stone.
Rule #6: Encourage Citizen Spies
Ultimately, the life of a totalitarian government is not prolonged by the government itself, but by the very people it subjugates. Citizen spies are the glue of any police state, and our propensity for sticking our noses into other peoples business is highly valued by Big Brother bureaucracies around the globe.
There are a number of reasons why people participate in this repulsive activity. Some are addicted to the feeling of being a part of the collective, and “service” to this collective, sadly, is the only way they are able to give their pathetic lives meaning. Some are vindictive, cold, and soulless, and actually get enjoyment from ruining others. And still, like elites, some long for power, even petty power, and are willing to do anything to fulfill their vile need to dictate the destinies of perfect strangers.
Citizen spying is almost always branded as a civic duty; an act of heroism and bravery. Citizen spies are offered accolades and awards, and showered with praise from the upper echelons of their communities. People who lean towards citizen spying are often outwardly and inwardly unimpressive; physically and mentally inept. For the average moral and emotional weakling with persistent feelings of inadequacy, the allure of finally being given fifteen minutes of fame and a hero’s status (even if that status is based on a lie) is simply too much to resist. They begin to see “extremists” and “terrorists” everywhere. Soon, people afraid of open ears everywhere start to watch what they say at the supermarket, in their own backyards, or even to family members. Free speech is effectively neutralized.
Rule #7: Make Them Accept The Unacceptable
In the end, it is not enough for a government fueled by the putrid sludge of iniquity to lord over us. At some point, it must also influence us to forsake our most valued principles. Tyrannies are less concerned with dominating how we live, so much as dominating how we think. If they can mold our very morality, they can exist unopposed indefinitely. Of course, the elements of conscience are inborn, and not subject to environmental duress as long as a man is self aware. However, conscience can be manipulated if a person has no sense of identity, and has never put in the effort to explore his own strengths and failings. There are many people like this in America today.
Lies become “necessary” in protecting the safety of the state. War becomes a tool for “peace”. Torture becomes an ugly but “useful” method for gleaning important information. Police brutality is sold as a “natural reaction” to increased crime. Rendition becomes normal, but only for those labeled as “terrorists”. Assassination is justified as a means for “saving lives”. Genocide is done discretely, but most everyone knows it is taking place. They simply don’t discuss it.
All tyrannical systems depend on the apathy and moral relativism of the inhabitants within their borders. Without the cooperation of the public, these systems cannot function. The real question is, how many of the above steps will be taken before we finally refuse to conform? At what point will each man and woman decide to break free from the dark path blazed before us and take measures to ensure their independence? Who will have the courage to develop their own communities, their own alternative economies, their own organizations for mutual defense outside of establishment constructs, and who will break under the pressure to bow like cowards? How many will hold the line, and how many will flee?
For every American, for every human being across the planet who chooses to stand immovable in the face of the very worst in mankind, we come that much closer to breathing life once again into the very best in us all.
Gerald Celente: « Deal or no debt deal, the debt still exists »
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