Le 4 septembre, nous avons élu notre première femme à la tête du Québec.
Jean Charest avait convoqué les Québécois aux urnes avant la reprise des audiences de la commission Charbonneau. On craignait les scandales avec raison. Les libéraux peuvent se compter chanceux d'avoir « remporté » l’opposition officielle.
Pauline Marois dirige maintenant un gouvernement minoritaire. On espère que ses qualités de rassembleuse seront suffisantes pour faire avancer certains dossiers. Ça reste à voir.
En attendant, c’est une autre femme, très compétente, qui dirige la commission d’enquête sur l’industrie de la construction. Les travaux de la commission Charbonneau et sa présidente ont créé l’événement en 2012.
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