Dans les années 70, aux abords des autoroutes, on ouvrait la fenêtre et on lançait quelques pièces dans le panier métallique. Les péages faisaient partie du paysage québécois.
Aujourd’hui, la technologie s’est raffinée. On utilise des vignettes électroniques (transpondeur) et des lecteurs de plaques d’immatriculation.
Le retour du péage sur le pont de la 25 et le futur pont Champlain semble accepté par la population (récent sondage Léger Marketing). Le principe de l’utilisateur-payeur est sensé.
Mais doit-on étendre les péages à l’ensemble du réseau routier québécois? Quelles sont les conditions gagnantes du péage?