Povera Italia (Pauvre Italie), titrait l’hebdomadaire L’Espresso en août dernier. Mise sous tutelle l’été dernier par l’Union européenne, c’est maintenant le Fonds monétaire international (FMI) qui surveille la 3e puissance de la zone euro.
La prochaine Grèce, l’Italie? Peut-être bien. Et ce n’est pas en jouant à l’autruche que Berlusconi y changera quelque chose.