J’aime bien la viande chevaline. Elle est moins grasse que le bœuf et son goût est assez doux.
Mais quand j’achète du cheval, je n’achète pas du bœuf ou de l’agneau. Je m’attends à manger et à payer le prix, de ce qui est indiqué sur l’étiquette.
Je fais ici allusion au scandale européen de l’hiver dernier où plusieurs pays ont étiqueté des produits « 100 % bœuf », alors qu’ils contenaient du cheval…
Puisque cette viande coûte souvent moins cher que le prix du bœuf, plusieurs ont vu là une façon de faire de l’argent facilement, à l’insu des consommateurs.
D’après le blogue français « bien manger » de Slate, de plus en plus de produits sont volontairement mal identifiés, dilués ou carrément manipulés.
Voici les 10 fraudes alimentaires les plus communes, selon la base de données de la U.S. Pharmacopeial Convention.