L’état des finances publiques du Québec fait beaucoup jaser ces temps-ci. Mais quand on entend ce qui se passe en Islande, à Dubaï, en Grèce et même en Californie, la situation semble encore plus inquiétante.
Notre planète (lire pays industrialisés) souffrirait-elle d’endettement chronique?
Dans un rapport sur les dettes souveraines, l’agence de notation anglaise Moody’s a lancé lundi un avertissement aux détenteurs des meilleures cotes de crédit (AAA). Si le Royaume-Uni, la France, les États-Unis et l’Allemagne n’ont pas à craindre une décote, il reste que « le petit risque qu'ils (ces pays) ne parviennent pas à maintenir leurs finances sous contrôle, et soient donc dégradés, a augmenté ».
Le cas de la Californie
Aux États-Unis, le PDG de la société financière JP Morgan Chase, Jamie Dimon, a déclaré lors de sa dernière assemblée annuelle qu’il était plus préoccupé par la solvabilité de la Californie que celle de la Grèce. La 8e économie mondiale s’attend à un déficit budgétaire de 20 milliards en 2010. Des chiffres qui inquiètent les détenteurs de sa dette, on s’en doute.
La possibilité que l’État le plus populeux des États-Unis (presque 37 millions d’habitants) éprouve des problèmes à rembourser ses créances laisse craindre à plusieurs financiers (comme M. Dimon) un effet de contagion à l’ensemble des États-Unis.
Le prix des plans de relance
Les plans de relance économique très coûteux posent un vrai dilemme présentement à ces pays lourdement éprouvés par la crise financière. Ces États convalescents doivent à la fois stimuler leur économie tout en réduisant leurs dépenses afin de montrer à ceux qui détiennent leur dette (souvent des étrangers) qu’ils feront tout pour les rembourser.
Si les créanciers devaient perdre confiance (ou patience), ils vendraient en masse leurs titres de dette. Instantanément, le taux de refinancement de ces États augmenterait en flèche. De même, un simple défaut sur le remboursement des intérêts suffirait à alimenter les rumeurs d’insolvabilité et ferait le tour de la planète financière en quelques secondes. Un scénario catastrophe pour un État.
Durant la dernière crise, plusieurs banques (américaines) ont déclaré faillite. Les pouvoirs publics sont intervenus pour sauver les plus importantes. Maintenant, ce sont les États qui crient au secours. Qui les sauvera cette fois-ci? On verra dans les prochains mois, s’il y a une limite à l’endettement. Le Québec et le Canada peuvent certainement tirer des leçons de cette situation…
Autre billet :
Europe : pas de pitié pour les pays « cochons » (PIGS)
C est pas qu on vivent au dessus de nos moyens,c est qu ils y as ben du monde qui pige dans la bourse et des incompétants diplomé qui nous dirigent,quand l argent que tu récolte ne viens pas de toi et que t en as beaucoup, plus t en as plus t en dépense sans compté,si je ferais ca avec l argent de ma femme elle me fouterais dehors ca serais pas long.
Gérer un budget, que ce soit au niveau d’un pays, d’une province ou d’une entreprise, repose sur les mêmes principes. Il faut équilibrer les revenus et les dépenses. Lorsqu’il se produit un désiquilibre, il faut réduire les dépenses ou augmenter les revenus. Au niveau du Québec, notre gouvernement a déjà étiré au maximum l’option d’augmenter ses revenus; en effet, le niveau de taxation est maintenant l’un des plus élevé en Amérique du Nord. Cette option frôle la limite de l’acceptable. Si le gouvernement s’entête dans cette direction, le travail au noir, l’évitement fiscal, etc vont augmenter.
La seconde option consiste à réduire les dépenses. Il faut donc couper dans les programmes et ici on parle de garderies subventionnées, d’assurance médicament, congés parentaux, santé, éducation, etc. Il existe des centaines de programmes au Québec qu’il faudrait revoir. Des coupures dans ces programmes exige du courage de la part de élus.
Enfin, il existe une troisième alternative à nos problèmes budgétaires; il s’agit d’emprunter pour financer les programmes. Cette façon de faire est simple et populaire étant donné que les citoyens ne perçoivent pas les impacts dans l’immédiat. Tout va bien jusqu’au jour ou la somme des intérêts à payer devient si élevée que nous soyons obligés d’emprunter pour payer les intérêts. C’est là que la population se retrouve obligée de faire des choix incontournables.
Je crois que le Québec est pratiquement rendu à ce niveau. Notre niveau d’endettement est très élevé, le niveau de taxation frôle les records et le Québec est le plus gros récipiendaire de peréquation au pays. A plus ou moins long terme, il nous faudra faire des choix. Il faudra apprendre à vivre selon nos moyens. Autrement dit, le Québec pourra se payer un nouveau programme lorsque les marges de manoeuvre seront suffisants pour le faire et non pas en taxant davantage et encore moins en empruntant.
Ceux qui détiennent leur dette… souvent des étrangers, ah oui ? Quand j’ai regardé les chiffres il y a 15 ans la dette du Canada était clairement envers la nation.
Effectivement M. Soucy. Le parti québeçois avait le plan Paillé pour relancer l’économie… le Québec endossait des prêts aux petites entreprises auprès de banques… çà passe incognito dans un budget çà…
On a tout le temps un Messi pour nous sauver. Un frustré qu’on parle de la facture qui devient un sado mazo. C’est ainsi que l’État et les capitalistes font du parasitage mutualisme sur le peuple.
Les commentaires sont pâles à mon écran… j’aimerais que ce soit aussi foncé que l’article
1. I crois qu’il y a une limite à l’endettement mondial s’il y a une limite de niveau de riche.
2. Les dettes souveraines peuvent être controlées s’il on peut controler les systèmes financière. On doit persuader tous le monde que personne n’existe pas sans les autres. Donc, l’État a sauvé les banques. Maintenante, les banks doivent sauver l’État.
3. Il y a une série Montréal- Québec de hockey qui peut donner une l’idée psychologique positive pour tirer les citoyens(nes) à partager de résoudre le problème de lÉtat.
4. Zensimilarité vient à connaitre trop tard. On a traversé très loin. La question maintenante ce n’est pas d’élimier les dettes, mais la question de maintenir la situation stable qui maintenir nos exixtences.
5. Je pense il y a une limite (la constante périodique) pour les bourses pour un certain temps aussi. Pensez-vous?
Bonjour,l’endettements est insurmontable…il va faloir équilibrer l’argent mondiale avant de la faire disparaitre pour toujours.Regardé les étas unis il sont bencroute leur dollars ne vaudrat plus grand chose,les russe et la chine vont changer la valeur des richesseet les EU vont devenir un pay du tier monde…
Suite à la lecture des commantaires, les gens en ont mare je crois, et avec raison…
Nos dirigeant sont vraiement irresponsable ,et font l’autruche pour terminer leur mandat, et obtenir leur pension a vie…
Examiner l’organigramme du ministere de la santé, meme en enlevant le tier de l’organisation, il demeurerait encore comme immence, ou épreurant si vous voulez. Maintenant, voyons les autres ministère……aie….
C est beau équilibré les dépenses avec les revenus, mais ca marchera jamais. Tout le monde aime l argent mais personne comprend comment ca marche. Le system finacier implanté en 1914 au States copié par la majorité des G20,pays fort, est la cause méme de ce probleme. La Réserve fédérale est une compagnie privée incorporée au Delaware. Chaque dollars imprimé ou créé est prêté au pays en tant que dette, mais a condition qu il soit remboursé avec de L intérêt. Petit calcul simple, si on redeonne toute l argent emprunté, toute, il manque les intérêts quond ne pourra jamais rembourser a moins qu on paient les intérets avec des chèvres et des jeunes vierges. En gros nos nations appartiennent maintenant a des banques. Toutes les taxes imposées au québecquois ne font que serrer la vis au peuple en essayant de règler au probleme non réparable. Le pire dans tout ca, pendant que le pays va banqueroute au EU, des milliards de dollars sont taxés aux américains en Income Tax. Tout ces fonds qui pourrait etre réinvestit dans le system américain ne sert en fait qu a payer les intérets de la dettes. Tout ces bidoux dans les coffres d une compagnie privée. Le plus gros revenu de n importe qu elle corporation . Sauf que c est qui qui taxe cette compagnie, personne. Elle fait des profits astronomique sans taxes pis elle créé l inflation. A chaque fois qu elle réinjecte de l argent dans le system, c est quoi qui donne la valeur a cette nouvelle argent. Elle tire sa valeur de l argent existante dépréciant ainsi sa valeur. C est pour ca que 1$ aujourd hui valait comme 25$ en 1914.
Si seulement 1 personne sur 10 se donnait la peine de se renseigner sur notre système monétaire, il y aurait des changements..
Question Qu on en commun Abraham Lincoln et JFK outre l assasinat.
Réponse. Ces 2 présidents avaient eu l audace de créer une monnaie indépedante géré par l état et sans intérets pour son peuple. lincoln créa le Greenback pour financer la guerre. Kennedy a passé un bill au sénat de mémoir c est le 11110 et créé une devise qui n a été en circulation que 1 ou 2 jours puis bang.
L’économie telle que nous la connaissons n’est pas une entité autonome, indépendante qui agit à son propre gré. Jamais. En aucune façon. L’économie n’est pas une loi de la nature. Elle est une loi entièrement fabriquée, instaurée, et manipulée par des humains qui à leurs tours décident comme bon leur semble des ses fluctuations. Si on veut remonter l’économie, il ne suffit que de quelques interventions et coup de téléphone et voilà! Si on veut l’écraser et partir en guerre contre tous un chacun, le même procédé est appliqué par les mêmes personnes. Demander à Daviv Rockefeller, qui dirigent tout sur ce continent. Il est né en 1912 où sa fortune était alors évaluée à 200 milliards de dollars. Aujourd’hui, tout comme son homologue européen et conseiller de la reine d’Angleterre, tous deux valent pas moins de 600 trillions de dollars CHACUN. A eux seul, ils pourraient régler tous les problèmes de la planète. Le jour où vous vous apercevrez que ces gens contrôle même les chiffres réels de vos propres référendum, peut-être que vous réaliserez bien d’autres choses à votre propre sujet…Comme Monsieur Poutine a si bien dit dernièrement: »La démocratie, c’est la dictature de la loi. » La seule façon de ne pas désespérer devant tant d’arrogance est d’agir comme vous le faîtes tous majoritairement: le déni et la justification de votre égoïsme canadien qui commencent à vous faire une réputation peu enviable…
Les responsables du pouvoir économique sont quasiment tous issus du même monde, des mêmes milieux sociaux. Il se connaissent, se rencontrent, partagent les mêmes vues et les mêmes intérêts.
Ils partagent donc tout naturellement la même vision de ce que devrait être le monde idéal futur.
Il est dès lors naturel qu’ils s’accordent sur une stratégie et synchronisent leurs actions respectives vers des objectifs communs, en induisant des situations économiques favorables à la réalisation de leurs objectifs, à savoir:
Affaiblissement des états et du pouvoir politique. Déréglementation. Privatisation des services publics.
Désengagement total des états de l’économie, y compris des secteurs de l’éducation, de la recherche, et à terme de la police et de l’armée, destinés à devenir des secteurs exploitables par des entreprises privées.
Endettement des états au moyen de la corruption, des travaux publics inutiles, des subventions données aux entreprises sans contrepartie, ou des dépenses militaires. Lorsqu’une montagne de dettes a été accumulée, les gouvernements sont contraints aux privatisations et au démantèlement des services publics. Plus un gouvernement est sous le contrôle du « Cartel Bancaire Internationale », et plus il fait augmenter la dette de son pays.
Précarisation des emplois et maintien d’un niveau de chômage élevé, entretenu grâce aux délocalisations et à la mondialisation du marché du travail. Ceci accroît la pression économique sur les salariés, qui sont alors prêts à accepter n’importe quel salaire ou conditions de travail.
Réduction des aides sociales, pour accroître la motivation du chômeur à accepter n’importe quel travail à n’importe quel salaire. Des aides sociales trop élevées empêchent le chômage de faire pression efficacement sur le marché du travail.
Empêcher la montée des revendications salariales dans le Tiers-Monde, en y maintenant des régimes totalitaires ou corrompus. Si les travailleurs du Tiers Monde étaient mieux rémunérés, cela briserait le principe même des délocalisations et du levier qu’elles exercent sur le marché du travail et la société en occident. Ceci est donc un verrou stratégique essentiel qui doit être préservé à tout prix.
Pour appuyer mon commentaire précédent ci-inclus un article du Financial Times Deutschland d’aujourd’hui:
THE BILDERBERGERS, GREECE AND THE IMF: IS AN EU INVESTIGATION REQUIRED?
« Greece seemed to be saved. But the German government did a U-turn. Chancellor Angela Merkel suddenly announced that the IMF should play a role, » reports the Financial Times Deutschland today.
Angela Merkel is a member of the Bildeberg group, the secret shadow government that is believed to further the interests of bankers (Goldman Sachs, Rothschilds) and energy companies (Royal Dutsch Shell, Exxon, BP).
There is evidence the Bilderbergs wish to get control of the US and European economy, starting with Greece, as part of a push towards a new world currency and government.
The Bilderbergs met in Greece last May. David Rockefeller, Queen Beatrix was among the people attending the top secret convention close to Athens.
If Greece asks the UN linked bank, the IMF — as Merkel suggests — for a loan to cover its public debt, and cannot repay the IMF, then the IMF has the right to seize the infrastructure and assets of Greece.
The private bankers and oil companies, the Bilderbergs, who control the IMF can buy up an entire county for pennies on the pound, leaving the people impoverished. The IMF « austerity measures » will see to that.
Once Greece is in IMF hands, the same game can be played with Spain, Italy, Ireland, Portugal, France, Denmark…Eventually, Germany will fall into the IMF hands.
Under Merkel and Bildeberg German Finance Minister Wolfgang Schäuble debt levels in German have reached new heights, thanks in part to the gigantic bailout given to banks like Deutsche Bank engaged in creating the crisis, through the subprime fraud.
Germany’s export market will collapse as EU countries go into receivership and fall under the control of the IMF.
Other Bilderbergs involved in pushing an IMF take-over of Greece are the Greek Prime Minister Giorgis Papandreou, IMF Chief Dominique Strass-Kahn and Deutsche Bank Josef Ackermann.
There is, therefore, clear evidence that the Bildebergs Merkel, Papandreou, Ackermann and Strauss-Kahn are acting in a corordinated and systematic way to push Greece into the control of the IMF.
Other alternatives for Greece, such as ban on credit default swaps, a European Monetrary Fund, a default by Greece or Greece leaving the eurozone and setting up a new currency are being blocked. This, even though all these moves are clearly the better ways of managing the Greek crisis than handing Greece over to the IMF.
It is time for the EU to open an investigation into the Bilderbergs and their activities, focussing on Greece.
There is enough evidence of fraud on a gigantic scale involving banks, government officials, rating agencies and the controlled media.
There needs to be an investigation not just into Goldman Sachs role in masking Greece’s debt, but also Papandreou’s and the German governments.
What did Papandreou know about the true debt of Greece? What did EU officials know?
Why was this excess debt suddenly « discovered » only in February after Germany’s ban on naked short selling ran out, prompting Goldman Sachs and other hedge funds to speculate against Greece using naked short selling and unsecured credit default swaps.
Rating agencies immediately moved in, poised to downgrade Greece, Spain and others, triggering a debt spiral.
Once the entire eurozone collapses, the same banks, who have accumulated cash through bailouts, gold and silver bullion, as well as the oil and energy companies can buy up all of Europe for a song.
Artificial hyperinflation — an idea recently floated by the IMF — will drain the last financial wealth from Europe before a new currency is introduced by the Bilderbergs under the UN, such as the UNO.
Wars, including against Iran, can be started to kill the « excess » and impoverished population.
The Lisbon Treaty foresees a huge expansion of the EU military, a plan being pushed by Bilderbergs Herman van Rompuy, Catherine Ashton, Carl Bildt and David Milliband.
Swede Bildt floated the idea of turning the UN’s health body, WHO — at the focus of several false pandemic inquiries — into a world health body.
Europe can no longer afford to turn a blind eye to the activities of the Bilderbergers.
This is a financial war that can destroy the EU.
Papandreou, at the very least, should be put under investigation for his role in this « crisis ».
The people of Greece should start filing criminal charges against him if state prosecutors do not act as well as against Goldman Sachs, rating agencies and EU officials.
There needs to be a plan to take Greece out of the eurozone, but on terms that benefit the people of Greece.
If the Greek union leaders claim the fight to save Greece is hopeless, those leaders should be sidelined.
The people need to make their voice heard as happened in Iceland.
It is time to vote in a referendum – and say « NO » to the IMF, « NO » to the repayment of the fraudulent debts.
The future not just of Greece but of all of Europe is at stake.
Merci InfoMatch pour cette intervention qui ne fait que nous éclairer d’autant plus…Keep it up!
Regardez Zetgeist: Addendum sur http://www.zeitgeistmovie.com/add_french.htm et réveillez-vous !
Pour ce qui se passe au Canada avec les dettes du gouvernement : http://www.youtube.com/watch?v=eVBDwAuCdPw&videos=o2ChvjOYd8w&playnext_from=TL&playnext=1 en englais seulement…
Actuellement ce sont les chinois qui possèdent beaucoup d,argent ,ils achetent tout autour de la planete en plus de prêter des sommes colossales aux américains!